•  Climat : les apprentis sorciers qui trafiquent les climats!

     

     

     

     

    Que gagnent les hommes qui trafiquent le climat ? Pensent-ils aux conséquences de leurs actes sur le devenir de la terre? Beaucoup décriée avant, l'accusation de la manipulation du climat est devenu un fait et acceptée par les médias... mais pourquoi les gouvernements ont ils « des choses à cacher » ? Pourquoi ces mêmes gouvernement ne disent-ils rien? La transparence des actes, des études sur le climat n'est elle pas obligatoire pour qu'un peuple puisse faire confiance à des élus qui les représentent ? Nous, pauvres moutons, réveillons nous, exigeons des explications!

     

    Maintenant que nous savons que les mensonges sont biens réels avec des preuves à l'appuies, ces élites qui nous dirigent n'ont pas la légitimité de décider pour le monde entier de l'avenir de la terre .

     

    En Chine, la neige tombe...

     

    Mais nous connnaissions le déréglement climatique avec H.A.A.R.P

     

    Posez vous la question, regardez le ciel de temps en temps, découvrez les "chemtrails" qui sont toujours plus présentes  !

    Ouvrez les yeux, bon sang, j'ai questionné des gens s'ils avaient ne serait ce qu'une petite idée sur les trainées omniprésentes. Les réponses les plus importantes que j'ai eu : "je n'avais jamais remarqué..." , "je n'avais jamais fait attention... mais maintenant que vous me le dite...c'est étrange!"

     Si vous êtes curieux exigez des réponses !

    Appel a Meteo France - Les CHEMTRAILS

     

    Nervyoko


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  • Pourquoi L’Iran Ne Peut Pas Faire Confiance A La France Et A La Russie Pour L’Enrichissement De Son Uranium

     

    source: planetenonviolence.org

    La proposition de l’AIEA, dite « Accord de Genève », présentée sous pression du groupe P5+1, demandant à l’Iran d’expédier son LEU à l’étranger était au départ difficilement faisable. Compte tenu des précédents historiques, L’Iran ne peut faire d'emblée confiance à la Russie, encore moins à la France, pour son enrichissement d’Uranium, sauf d'avoir des garanties spécifiques de l'AIEA. Explications.

     

    L’AIEA sous pression du groupe P5+1 - 5 membres permanents du CSONU + l’Allemagne et on devrait aussi ajouter Israël qui œuvre en coulisse - a proposé à l’Iran d’envoyer environ 80% de son LEU produit à la centrale de Natanz (environ 1200kg) en Russie puis en France pour qu’il soit enrichi de 3.8 à 19.75% et converti en barres de combustible pour approvisionner le centre nucléaire de recherche médical iranien prés de Téhéran qui fournit les isotopes nécessaire à plus de 200 hôpitaux pour les traitements contre le cancer. L’AIEA a obligation de fournir à l’Iran, qui est signataire du TNP, cet uranium enrichi à 19.75% pour utilisation à des fins pacifiques et cela sans contre partie. Sa demande est par conséquent injustifiée et témoigne simplement de la main mise des puissances occidentales et du régime sioniste (non signataire du TNP) sur l’AIEA.

    L’Iran n’a pas répondu immédiatement à cette proposition, laissant la porte ouverte à de possibles négociations sur les conditions techniques de cet «échange », mais aussi afin d’obtenir des garanties que son LEU lui serait effectivement bien retourné sous forme de barres de combustible enrichi à 19.75%. L’Iran, pour tester le sérieux et l’honnêteté du P5+1- et plus précisément pour ce deal du P3 (Les US, la France, et la Russie) – a dit qu’il serait prêt à livrer leur LEU en plusieurs fois à condition qu’on le leur retourne enrichi à chaque fois, et ce dés le premier envoi. La réaction américano européenne ne s’est pas faite attendre : « inacceptable », révélant en fait l’objectif principal de ce « deal» : confisquer l’uranium enrichi à 3.8% par les iraniens (sous stricte surveillance de l’AIEA) sous prétexte que l’Iran pourrait l’enrichir à 98% pour fabriquer une bombe nucléaire.

    L’Iran, par expérience, avait de bonnes raisons dés le départ de se méfier de cet arrangement bidon.

    La France n’a pas été un partenaire fiable de l’Iran en matière d’enrichissement d’uranium


    L’Iran fait peu confiance à la France et depuis l’élection de Sarkozy - un pion sur l’échiquier sioniste en Europe, et une catastrophe pour la diplomatie française et l’influence de la France dans le monde. L’hostilité quasi incessante de ce dernier et des agents sionistes infiltrés au Quai D’Orsay (Kouchner et Lellouche) n’ont fait qu’accroître cette méfiance.

    Mais celle-ci remonte bien avant la main mise sarkosioniste sur la France. Le consortium Eurodif, fondé en 1973 par la France, la Belgique, l’Espagne, et la Suède, possède une centrale d’enrichissement en France. En Juin 1974, le Shah Mohamad Reza Pahlavi etle Dc Akbar Etemad, qui dirigeait à l’époque l’Organisation à l’Energie Atomique en Iran sont venus en visite officielle à Paris. La France et l’Iran ont alors ratifié un accord, par lequel la France s’engageait à fournir 5 réacteurs nucléaires de 1000MW chacun pour enrichir de l’uranium et aider à la création d’un centre de recherche nucléaire en Iran.

    Afin de s’assurer que l’Iran reçoive ce LEU, le Shah a accepté d’acheter les 10% de parts que la Suède possédait dans Eurodif. La Cogema, une entreprise publique française, et l’Iran ont créé la Sofidif Société Franco-Iranienne pour l’enrichissement de l’uranium par diffusion gazeuse, qui appartient pour 60% à l’état français et pour le reste à l’Iran. Sofidif a alors acheté 25% d’Eurodif, l’Iran devenant ainsi directement actionnaire à concurrence de 10% d’Eurodif.

    L’Iran a payé 1 milliard de $ en 1975 et 180 millions de $ en 1977, en échange de 10% de la production du LEU d’Eurodif. Mais le régime du Shah a été renversé en Février 1979 par la Révolution islamique. Depuis, la France a refusé de donner à l’Iran sa part de LEU ou même de rembourser les parts de l’Iran dans la société. Par conséquent, à la base, il existe des raisons historiques solides pour que l’Iran se montre méfiante vis-à-vis de la France sur la question de l’enrichissement d’uranium.

     

    La Russie zig zag selon ses intérêts

     

    L’Iran a aussi de bonnes raisons historiques de se méfier de la Russie. Cette dernière s’est emparée de vastes territoires de l’Iran dans le Caucase en 1813 et 1827 et ne les a jamais rendus. La Russie a aussi aidé les contre révolutionnaires lors de la Révolution Constitutionnelle de 1905-1911, et s’est opposée par le biais de proxies iraniens à l’industrialisation de l’Iran au XIXème et XXème siècles.

    A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’Union Soviétique a refusé de quitter le territoire iranien et ne l’a fait que sous la pression des pays de l’Ouest en 1946. Il a tiré avantage de la faiblesse du gouvernement iranien de l’époque et a pillé le caviar de l’Iran et ses zones de pêche dans la Mer Caspienne de 1927 jusqu’au milieu des années 50 quand le coup de la CIA a ramené au pouvoir le régime du Shah soutenu par l’Occident. C’est seulement à ce moment là qu’un accord bilatéral a été signé par les deux nations.

    L’Union Soviétique et l’Iran ont signé deux traités en 1921 et en 1940, qui interdisaient aux deux nations d’agir unilatéralement concernant les ressources naturelles de la Mer Caspienne, pourtant c’est ce qu’a fait la Russie, signant des accords bilatéraux, malgré les fortes objections de l’Iran, avec d’autres états du littoral de la Caspienne, dont l’Azerbadjan, le Turkmenistan, et le Kazakhstan.

    De même, c’est devenu un rituel annuel pour la Russie d’annoncer chaque début d’année que le réacteur nucléaire de 1000MW qu’il construit à Bushehr va démarrer en milieu d’année. Quand on arrive en milieu d’année, il est annoncé que le réacteur sera opérationnel «au début de l’année suivante». L’Iran supporte bon gré mal gré ce stratège car la Russie représente régionalement un partenaire stratégique.

     

    L’Iran se méfie, l’opposition à cet accord se développe dans le pays y compris chez les adversaires d’Ahmadinejad

     

    Cet « Accord de Genève » a été dénoncé par l’opposition iranienne menée par Hossein Mousavi qui a qualifié ce dernier «d’étonnant ». La semaine dernière il a dit «si l’Accord de Genève est mis en pratique par l’Iran, cela détruira le travail et les réalisations de milliers de scientifiques iraniens. »

    Le Dc Etemad, qui vit en exil en France, a dit lors d’une interview : «C’est un mauvais deal. Eux (le groupe P5+1) veulent s’emparer de l’uranium de l’Iran. On ne peut faire confiance à la Russie et à la France sur le fait que si elles reçoivent l’uranium de l’Iran elles le renverront. Elles ont par le passé rompu leurs promesses ».

    Pour l’instant le gouvernement iranien n’a pas fait connaître officiellement sa réponse.

    Aujourd’hui, la presse iranienne (Press TV proche du gouvernement) rapporte qu’un haut responsable politique iranien, Alaeddin Boroujerdi, qui dirige le Comité de Sécurité Nationale et de Politique Etrangère du Majlis (parlement iranien) a dit qu’il était hors de question pour l’Iran d’envoyer son LEU à l’étranger ni en une seule fois ni en plusieurs fois. « L’Iran ne va pas donner à l’autre partie ces 1200kg de Leu produit pour recevoir de l’Uranium à 20%. La cargaison ne sera ni envoyée dans sa totalité ni en plusieurs fois. » Il a dit que l’Iran étudiait actuellement d’autres moyens de se procurer l’uranium enrichi à 20%, que le représentant de l’Iran auprès de l’AIEA, Ali-Asghar Soltaniyeh, en discutait afin de trouver une solution mais qu’aucune décision n’avait été prise pour le moment. Il a également rejeté l’idée qu’une date limite ait été fixée pour que l’Iran donne sa réponse à la proposition de Genève.

    Le ministre des affaires étrangère iranien, Manouchehr Mottaki, a rappelé que son pays , s’il acceptait l’Accord de Genève, ne livrerait son LEU qu’en plusieurs fois en échange d’uranium enrichi à 20%, les questions techniques devant d’abord été résolues et des garanties « spécifiques » au préalable apportées.

    Actualisation 08/11/09

     

    Selon Press TV, l'Iran cherche à obtenir un accord sur un échange en deux étapes de son LEU pour de l'uranium enrichi à 20%.

    L'Iran a besoin de 110kg de cet uranium enrichi à 20% pour approvisionner son réacteur de recherche médical à Téhéran qui produit des isotopes pour le traitement contre le cancer.

    Selon certains diplomates proches des négociations l'Iran a proposé d'échanger en deux fois et simultanément 400kg de son LEU pour 60kg d'uranium enrichi à 20%, une proposition honnête et raisonnable.

    Le P3 sera -t-il lui aussi raisonnable, ou toujours enclin à récupérer le LEU de l'Iran sans rien échanger en retour ?

    Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, doit se rendre cette semaine à Washington puis Paris. Gageons que sa mission principale sera de faire pression sur Obama et Sarkozy pour qu'ils refusent ce deal.

    Réponse dans quelques jours.

    Selon la réponse, on saura qui dirige réellement les Etats Unis et la France.

    Samedi 7 Novembre 2009
    Mireille Delamarre


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  • Les plus gros bobards de Nicolas Sarkozy

    Christophe Kantcheff       Mardi, 03 Novembre 2009 15:13 

    source: michelcollon.info

    Finance, pouvoir d’achat, médias, écologie : voici un un échantillon des contrevérités proférées par le Président. Plus que tout autre, Nicolas Sarkozy aura contribué à décrédibiliser la parole politique. Mais il arrive au chef de l’État de tenir parole : quand il s’agit de promesses faites aux riches.

     

    Quoi de plus classique, quand un président se situe à mi-mandat, que de faire le bilan des promesses de campagne honorées et de celles non encore tenues, dont on subodore qu’elles ne le seront jamais ? Pourtant, avec Nicolas Sarkozy, l’exercice ne semble pas de même nature que pour les présidences précédentes. Question de mesure, de personnalité et de morale. La mesure : on a assisté depuis 2007 à une offensive antisociale d’une violence inédite. La personnalité : le bling-bling, la vulgarité incarnée, du jamais vu à ce poste sous la Ve République. La morale : une baudruche, invoquée par ceux-là mêmes qui baignent dans le cynisme décomplexé, dont l’affaire Jean Sarkozy est une nouvelle marque.

    Alors voilà. Quand vient le temps d’examiner ce qu’il en est des promesses de Nicolas Sarkozy, un seul mot semble à la hauteur de la réalité : « bobards ». La rédaction de Politis en a réuni ici quelques-uns, parmi les plus gros. Ils recouvrent tous les domaines : politique, économie, écologie, société, culture… L’hyperprésident est hypermenteur. À eux tous, ces bobards forment une politique destructrice pour beaucoup, profitable à quelques-uns. C’est le plus inquiétant. Mais autre chose se joue au plan des représentations : l’entreprise de sape de la parole politique n’a jamais été aussi performante. De plans com’ relayés par des médias qui chantent les nouvelles parures culturelles du chef de l’État en « storytellings » absurdes où Nicolas Sarkozy apparaît maître de ses nerfs, c’est la crédibilité de ceux qui nous gouvernent qui est toujours plus entamée, et le divorce entre les élites et le peuple qui se creuse. Avec les conséquences qui en découlent. La plus grave n’est pas l’éclat de rire que provoque la lecture de cette déclaration du Président, lors d’une conférence de presse en janvier 2008 : « L’authenticité se lit sur mon visage […], personne ne m’a pris le doigt dans le pot de confiture du mensonge ».


    Il avait dit que… Mais finalement…

    Si l’on en croyait les promesses, le pouvoir d’achat des travailleurs augmenterait, les sans-abri trouveraient un logement, les projets industriels respecteraient l’environnement… Bernique !

    Banques : « Elles devront financer le développement économique »

    Au plus fort de la crise, dans un discours de Toulon resté dans les mémoires, Nicolas Sarkozy appelait, le 25 septembre 2008, à « moraliser » le capitalisme financier et déclarait : « Il faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation. » Cette phrase mémorable est à mettre au Panthéon des mensonges les plus éculés car, plus d’un an après ce discours, les banques ont adopté l’exact contre-pied de l’affirmation présidentielle et soutiennent plus que jamais le capitalisme financier.

    Or, Nicolas Sarkozy s’est engagé dans un plan d’aide aux banques de 360 milliards d’euros (320 sous forme de prêts et 40 milliards sous forme de fonds propres qui devront être remboursés) pour remettre en état de marche le système bancaire. Les crédits accordés aux ménages et aux entreprises ont malgré cela enregistré une baisse « d’une ampleur historique », au premier semestre 2009, indiquait récemment l’Association française des sociétés financières (ASF). En revanche, les multinationales du CAC 40 ont reversé cette année 37,5 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires (plus de 60 % des bénéfices), des milliards que les entreprises auraient pu investir directement dans le « développement économique » et l’emploi.

    Répartition : « Il faut redonner du pouvoir d’achat aux travailleurs »

    Le Président du « pouvoir d’achat » a eu cette belle envolée ce même 25 septembre 2008 : « Ne pas donner tous les bénéfices aux dirigeants et aux actionnaires, en destiner une part plus grande à ceux qui par leur travail ont créé la richesse, redonner du pouvoir d’achat aux travailleurs. » Or, les paquets de mesures adoptées ces deux dernières années contredisent largement le propos présidentiel. Au prétexte de réduire le déficit de l’État, l’empilement de taxes (taxe carbone, taxes locales et peut-être taxe sur les indemnités journalières en cas d’accident du travail), les hausses des prix, franchises médicales, hausse du forfait hospitalier et le déremboursement de certains médicaments sont autant de nouvelles entailles dans le pouvoir d’achat de la France d’en bas. 7,9 millions de personnes sont désormais considérées comme pauvres (avec moins de 900 euros par mois) ; parmi elles, 3,4 millions de travailleurs. Et le pays compte 3,5 millions de mal-logés. De plus, le chômage a explosé : dans sa nouvelle projection, l’Unedic annonce 509 000 demandeurs d’emploi supplémentaires en 2009, dont 328 000 indemnisés. Et l’on assiste à une explosion des inégalités de revenus. Or, Nicolas Sarkozy continue d’augmenter les exonérations patronales (28 milliards d’euros : c’est le coût pour l’État des compensations d’exonérations de cotisations sociales patronales cette année), notamment avec la suppression de la taxe professionnelle.

    Crise : « Les responsables doivent être sanctionnés »

    Toujours dans son fameux discours du 25 septembre 2008, Nicolas Sarkozy affirmait à propos de la crise que « les responsabilités doivent être recherchées et les responsables de ce naufrage doivent être sanctionnés au moins financièrement ». Les bonus des traders n’ont rien à craindre, la BNP Paribas a, par exemple, provisionné un milliard d’euros de bonus, et leur paiement sera « différé », selon des nouvelles règles… totalement floues.

    Lors du dernier Conseil européen à Bruxelles, le président de la République avait aussi affirmé « qu’il ne serait pas normal qu’une banque à qui nous octroierions des fonds propres continue à travailler dans des paradis fiscaux ». La situation n’a pas changé, et un décret de mars 2009 censé fixer les conditions de rémunération des dirigeants des seules « entreprises aidées » par l’État pendant la crise a montré les limites de l’engagement présidentiel : il est apparu très en deçà des tonitruantes déclarations sur les « patrons voyous ». En fait, actionnaires et grands patrons continuent de toucher de confortables dividendes, salaires ou avantages divers, sans qu’aucune enquête visant à établir leurs responsabilités ne soit engagée. Pourtant, l’ensemble des aides publiques aux entreprises représente en effet près de 65 milliards d’euros, dont 90 % sont financés par l’État. Les banques françaises qui ont reçu l’aide de l’État continuent d’exercer dans des pays ou territoires qui combinent fiscalité privilégiée et secret bancaire. La BNP Paribas n’a envisagé la fermeture que de quelques filiales dans les paradis fiscaux. Le décalage est grand entre les paroles et les actes sur cette question centrale.

    Logement : « Plus de SDF d’ici à deux ans… »
    « Je veux que d’ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid… », lançait le candidat Sarkozy, depuis Charleville-Mézières, le 19 décembre 2006. Près de trois ans plus tard, trois millions de personnes sont en situation de mal-logement ou sans logement en France. Christine Boutin, ministre du Logement et de la Ville, a été jusqu’à proposer en novembre 2008 que l’hébergement des sans domicile fixe devienne obligatoire passé le seuil des - 6 °C. La très attendue loi sur le droit au logement opposable (Dalo) du 5 mars 2008 n’aura pas suffi à réaliser cette promesse de campagne. À ce jour, 93,5 % des prioritaires parisiens du Dalo n’ont reçu aucune proposition de logement. Plus grave encore, les expulsions ordonnées par les préfectures continuent de plus belle, alors même que l’État est désormais le garant du droit de chacun à bénéficier d’un toit.

    Le président de France Télévisions : « Nommé avec l’accord de l’opposition »

    Le 5 février 2009, en réponse à une affirmation de David Pujadas, Nicolas Sarkozy avait été catégorique : ce n’est pas le président de la République qui nommera et révoquera le président de France Télévisions puisque le nom de celui-ci sera proposé par le gouvernement en Conseil des ministres au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Et qu’une fois cette candidature acceptée par le CSA, elle doit encore être transmise « aux commissions des affaires culturelles de l’Assemblée nationale et du Sénat et, tenez-vous bien, ce nom doit être accepté à la majorité des 3/5, et l’opposition doit être d’accord avec la majorité pour accepter le nom ». Faux ! La nomination avec l’accord des 3/5 des commissions, qui traduirait un certain consensus républicain, avait bien été réclamée par le PS, mais le gouvernement s’y est opposé. Et le projet de loi adopté le 4 février, la veille de l’émission, stipule que le nom peut être… refusé à une majorité des 3/5. La nuance est importante car cela signifie qu’il suffira que le choix du président de la République soit approuvé par 2/5 des commissions, soit moins que la majorité, pour que sa volonté soit exaucée.

    Écologie : « Les projets n’auront plus à prouver leur intérêt »

    En conclusion du Grenelle de l’environnement, Nicolas Sarkozy affirmait : « Nous allons renverser la charge de la preuve. Ce ne sera plus aux solutions écologiques de prouver leur intérêt. Ce sera aux projets non écologiques de prouver qu’il n’était pas possible de faire autrement. […] Nous allons appliquer immédiatement ce principe à la politique des transports. » Las, presque tous les projets autoroutiers engagés avant le Grenelle (2) ont été maintenus ! Une clause d’exception du texte final prévoyait de les poursuivre s’ils répondaient à des intérêts locaux ou économiques considérés comme supérieurs : elle est très systématiquement invoquée. Le tronçon Pau-Langon (A65) est l’un des plus emblématiques de la langue de bois grenellienne : utilité économique très douteuse, impact sur la biodiversité locale, existence d’alternatives, etc. (3).

    Quant à la réforme du fret ferroviaire, actuellement en cours, elle vise la suppression d’un million de « wagons isolés » (petits volumes pour des dessertes locales) : de quoi provoquer un afflux de camions sur les routes pour assurer les livraisons dans les régions éloignées des grands axes.

    Déchets : « Priorité au recyclage »
    Au cours du même discours, le chef de l’État assurait que « la priorité ne sera[it] plus à l’incinération mais au recyclage des déchets. Il faudra prouver pour tout nouveau projet d’incinérateur qu’il s’agit bien de l’ultime recours ». La France est toujours une championne européenne de l’incinération, et l’on n’en voit guère le bout. Au moins deux projets d’incinérateur sont en flagrante contradiction avec la parole présidentielle : celui de Fos-sur-Mer, qui a déchaîné les passions pendant des années. Il est sur le point d’entrer en service ; et celui de Flamoval (Pas-de-Calais), très contesté (4), mais soutenu explicitement par le ministre de l’Écologie, Jean-Louis Borloo. À chaque fois, des projets alternatifs réduisant la part de l’incinération ont été écartés.

    La filière bénéficie en fait de multiples « coups de pouce » qui finissent par constituer un ersatz de politique d’incitation. Tout d’abord, les nouveaux incinérateurs sont tenus de fournir de l’énergie à partir de la combustion des déchets. Ils y sont incités, mais seulement pour la production d’électricité, par des tarifs d’achat préférentiels incitatifs. Mais à rendement très médiocre : les deux tiers de l’énergie de combustion partent en chaleur dans l’atmosphère – sauf si l’incinérateur la livre à un réseau de chauffage urbain ou à un industriel, cas rare et qui ne fait pas l’objet d’incitations.

    Autre aide déguisée : les incinérateurs bénéficient de baisses, voire d’exonération de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP), qui peut être divisée par 10 s’ils se plient à quelques exigences environnementales assez peu contraignantes. Par ailleurs, considérés comme une production d’énergie renouvelable, ils ne sont pas soumis à la taxe carbone. Au nombre de 130 en France, ils émettent pourtant autant de CO2 que 2,3 millions de voitures !

    Afghanistan : « Je continuerai de rapatrier nos forces spéciales »
    Le 26 avril 2007, dans l’émission « À vous de juger » sur France 2, Nicolas Sarkozy déclare : « La présence à long terme des troupes françaises dans cet endroit du monde [Afghanistan] ne me semble pas décisive. Le président de la République [Jacques Chirac] a pris la décision de rapatrier nos forces spéciales et un certain nombre d’éléments. C’est une politique que je poursuivrai. »
    Le 7 novembre 2007, le président Sarkozy assure lors d’une visite officielle à Washington que la France restera engagée militairement en Afghanistan « aussi longtemps qu’il le faudra ». Le 26 mars 2008, il annonce devant le Parlement britannique un renforcement à venir de la présence militaire française. Le 3 avril 2008, le président Sarkozy déclare lors du sommet de l’Otan à Bucarest que la France enverra 700 hommes supplémentaires qui s’ajouteront aux 2 200 militaires français déjà déployés. Le 5 août 2008, la France prend le commandement « tournant » de la région de Kaboul. Le 22 septembre 2008, le Parlement français autorise la prolongation de l’intervention des forces armées. En janvier 2009, les premiers drones français de type opératif sont mis en place sur le théâtre afghan.

    Retrouvez le dossier complet dans le numéro 1073 de Politis

    (1) Voir les sites www.secretsbancaires.fr
    (2) Voir fr.wikipedia.org, « projets d’autoroute en France ».
    (3) Voir www.asso-arlp.org
    (4) Voir www.apshsaintomer.fr


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  • Clinton affirme son soutien à la colonisation israélienne

     

    Clinton exige de Abbas la reprise immédiate des négociations avec les Israéliens et affirme son soutien à la colonisation israélienne.

    Al Jazeera Lundi 2 Novembre 2009

     

    source: Alterinfo

     Clinton avec le fasciste Liberman...

     

    La chaîne Al Jazeera, a appris de sources palestiniennes bien informées, que la secrétaire d’État Hillary Clinton - lors d’une rencontre avec le président Mahmoud Abbas à Abou Dhabi samedi dernier - a exposé la position finale de l’administration du président Barack Obama sur la question des colonies en Cisjordanie, les considérant comme vitaux pour la sécurité d’Israël.

    Les mêmes sources, sous le sceau de l’anonymat, ont rapporté que Clinton a informé Abbas que l’administration américaine n’a pas réussi à assouplir la position israélienne sur les colonies et que les pressions internes du lobby juif les empêchent d’entreprendre un pas en avant.

    Ces sources ont souligné que Clinton a surpris M. Abbas lorsqu’elle a déclaré que, l’envoyé spécial américain, George Mitchell, lors de sa tournée en Israël, a constaté l’importance des colonies d’où la nouvelle position des États-Unis qui met à présent l’accent sur « l’importance des colonies pour protéger et assurer la sécurité d’Israël ».

    Selon ces sources, la Secrétaire U. S. a dit a Abbas que la plupart des colonies juives construites dans les territoires palestiniens occupés en 1967 ne peuvent pas être démantelées et tout ce qui peut-être fait c’est de donner en contre partie des terres aux Palestiniens selon un accord convenu entre Mitchell et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

    La sécurité d’Israël

    Selon les mêmes sources, Clinton a expliqué que ces implantations sont nécessaires à la sécurité d’Israël et que ni Israël ne peut être convaincus ni les Américains n’accepteront de les évacuer parce que cette évacuation permettra aux organisations terroristes palestiniennes de se rapprocher d’Israël qui sera ainsi soumis à des risques supplémentaires.

    Les sources ont indiqué que le Président Abbas semblait extrêmement abattu par les déclarations de Clinton . A l’issue de cette réunion, il a fait part à l’un de ses conseillers que les pressions exercées par l’administration américaine ne peuvent convaincre même le plus petit enfant palestinien.

    Ces sources ont confirmé que M. Abbas a insisté que l’arrêt de la colonisation n’est pas une condition pour reprendre les négociations avec Israël, mais c’est une obligation qui doit être tenue par Tel Aviv conformément à la feuille de route respectée par ailleurs par les Palestiniens.

    Concession Palestinienne

    Ces sources ont aussi indiqué que Clinton a déclaré à Abbas que l’administration américaine ne peut pas continuer à jouer le rôle de médiateur et elle veut que Abbas fasse un pas supplémentaire en avant et renonce à la condition de l’arrêt de la colonisation comme préalable pour la reprise des négociations.

    Ces sources ont rapporté à Al Jazeera que Abbas a informé la secrétaire d’état que tout recul de sa position signifie la destruction de l’avenir de l’autorité, et que la concession faite à Israël devrait être compensée par quelque chose de concret sur le terrain et non des déclarations dans les médias ou sur papier.

    Le Président Abbas a enjoint la Secrétaire S. U. de contraindre Israël à respecter ce qui a été convenu sous l’ère de l’ancien Premier ministre Ehud Olmert, mais Clinton a rétorqué que ce qui était précédemment convenu, "ne veut rien dire pour l’administration américaine actuelle".

    Al- Jazeera a appris que Clinton a fait part à Abbas d’un message verbal du président Barack Obama lui demandant de ne pas mettre d’obstacles sur la voie des négociations avec Israël. Elle l’a mis en garde que s’il maintient ses exigences, il serait désigné comme le responsable principal du blocage du processus de paix dans la région.


    novembre 2009 - Al Jazeera - Vous pouvez consulter cet article à :
    http://www.aljazeera.net/NR/exeres/...
    Traduction de l’arabe : Leila, pour Info-Palestine.net

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    Clinton qui recoit ses ordres du CFR soutien Israel ; Abbas , il fait quoi lui, il enleve son pantalon aussi ? L'occupation d'un territoire en vidant les habitants de ce lieu, ca s'appelle comment ça ? UN VOL !!! Parquer des gens dans un ghetto à ciel ouvert derriere un mur de la honte ça s'appelle comment ça ? Un CAMP DE CONCENTRATION !... Réflechissez y !

    nervyoko

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  • La Chine dirigera le Nouvel Ordre Mondial

    source: Alterinfo  Jeudi 29 Octobre 2009

    Le milliardaire globaliste, George Soros, a déclaré lors d’une interview avec le Financial Times, que la Chine supplantera les Etats-Unis en tant que leader du Nouvel Ordre Mondial et que l'Amérique ne devrait pas résister au déclin du pays alors que le dollar s'affaiblit, le niveau de vie chute, et qu’une nouvelle devise globale est en train d’être introduite.  

    Interrogé sur quel sujet Obama devrait discuter lors de sa visite en Chine le mois prochain, Soros a affirmé, « Il serait temps parce que je pense que vous avez vraiment besoin d'inclure la Chine dans la création d'un Nouvel Ordre Mondial et d’un ordre financier mondial, » ajoutant que la Chine était un membre réticent du FMI, qui n'a pas assez contribué.

    « Je pense que vous avez besoin d’un Nouvel Ordre Mondial que la Chine doit faire partie du processus de sa création et ils doivent en payer le prix, ils doivent le posséder comme les Etats-Unis possèdent… l'ordre actuel, » a déclaré Soros, ajoutant que le G20 était un pas dans cette direction.

    Soros a dit qu'il y avait un envol des devises à l’étranger, et c'est pourquoi le prix des produits, notamment l’or et le pétrole, étaient généralement en hausse. Il a également déclaré qu'un déclin orchestré du dollar était « souhaitable » et que le système entier a besoin d’être reconstitué sur une devise globale.

    « Vous avez besoin d'un nouveau système de devise et en fin de compte les Special Drawing Rights (SDRs) vous donnent les éléments pour le construire et je pense qu'il est peu réfléchi de la part des Etats-Unis de résister à l'utilisation plus large des Special Drawing Rights, ils pourrait être très utile maintenant quand vous avez un déficit global de la demande, vous pourriez en fin de compte créer à l’international une devise par les Special Drawing Rights, » a dit Soros, expliquant que c'était déjà en cours après que le FMI ait injecté une attribution de Special Drawing Rights (SDRs) équivalents à $250 milliards dans l'économie globale.

    http://www.imf.org/external/pubs/ft/survey/so/2009/pol072009a.htm

    Soros a également déclaré que les pays plus riches transféraient déjà leur richesse à des pays plus pauvres par l'intermédiaire des SDRs, avec le FMI payant la moitié des coûts de transaction.

    Soros a dit que le monde devra passer par « un ajustement douloureux » après le déclin du dollar et l'introduction d'une devise globale. Lisant entre les lignes, il a essentiellement menacé de tuer complètement le dollar si les Etats-Unis n’adhéraient pas à la devise globale.

    Soros prédit que la Chine deviendra le nouveau moteur de l'économie globale, remplaçant les États-Unis, et que ceci ralentira la croissance économique et réduira les niveaux de vie. Soros a caractérisé les Etats-Unis comme une entrave à l'économie globale en raison du dollar en baisse.

    Voici la video de l’interview de Soros:

     

    Traduction Alter Info

    http://www.infowars.com/soros-china-will-lead-new-world-order/


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