• Regardez bien et écoutez bien son discours! il n'a pas prononcé de mots ni des choses que les journaleux débiles comme Bolopion suppose et interprète comme anti-sémite!

     

    Le discours du président Iranien est simplement magnifique. 
    La vérité sur la réalité du monde, les occupations de la supprémacie américaine illégale, l'occupant du territoire palestinien et son immonde génocide sur les palestiniens.

    Et il n'a pas du tout été "antisémite" ou un autre mot débile que nous entendons toujours de la part des médias poubelles!


    Et ce qui est horripilant c'est le besoin des journalistes d'analyser les discours du président... comme si nous , le peuple, n'étions pas capables de comprendre un discours!

    Et là interprétation débile du journaliste abruti qui suppose un texte anti-sémite, quel connard ce journaliste(bolopion) minute 16,57 - 17,10 dans la 2eme video!


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  • L'amalgame ! Un abruti ( Marin Karmitz) ose encore traiter les gens de négationniste ! Je lui decerne un point GODWIN à ce Gros CON!

     

    source Alterinfo 

    Mais c’est surtout le caractère odieux des propos de Marin Karmitz que l’on retiendra. Le producteur tente en effet de conclure le débat en assimilant ceux qui doutent de la version officielle du 11-Septembre à des négationnistes.

    Mathieu Kassovitz a heureusement pu récuser cette accusation (rengaine* qui deviendrait lassante si elle n’était pas aussi abjecte) en établissant très justement la différence entre le questionnement légitime d’un mythe qui ne repose sur aucune preuve (scientifique, technique, physique…)

     

    (Rapport à la rengaine*)

    Laurent Joffrin sur Radio Suisse Romande : le doute jeté sur la version officielle du 11 septembre 2001 serait une sorte de négationnisme !
    Published on mars 5, 2009 par Spotless Mind

     

    On a été invité à réagir dans l’émission « Médialogues » d’Alain Maillard et de Martine Galland sur « Radio Suisse Romande », mercredi matin 25 février 2008, aux propos de M. Laurent Joffrin. Il était interviewé au sujet de son livre « La Média-paranoïa ». On reste médusé par les leurres un peu frustes qu’il affectionne pour défendre les médias officiels (1). Sans doute les croit-il encore efficaces.

    Injure, vaccine, caricature et illusion de l’apparence

    1- Dans un article publié sur AGORAVOX, le 5 février dernier (2)), on avait déjà souligné l’emploi de l’injure , « média-paranoïa », pour stigmatiser une critique des médias qui différait de la sienne et tenter d’intimider l’adversaire. On avait apprécié l’élégance.

    2- On avait ensuite reconnu le leurre de la vaccine qui admet un peu de mal pour faire reconnaître un grand bien ou susciter le rejet spontané d’un mal beaucoup plus grand. Comme Tartuffe confessant son indignité aux pieds d’Orgon pour qu’il n’en croie rien, M. Joffrin convenait que les médias n’étaient pas sans reproches, ayant accumulé tant d’erreurs ou de manipulations. Mais c’était pour conclure aussitôt, d’autorité, que les critiques qui leur étaient faites n’étaient le plus souvent que « des idées reçues, des caricatures »…

    3- Il faut dire qu’ en matière de caricature de l’adversaire, l’intéressé s’y entend. On avait montré, par exemple, comment, pour justifier son accusation, il déformait à plaisir la dépendance reprochée aux médias envers les pouvoirs politiques et économiques. Il la réduisait à une image naïve que, selon lui, certains se feraient, de journalistes travaillant sous la dictée de patrons, une oreillette à l’oreille, ou prenant leurs ordres par téléphone tous les matins. Ainsi se dispensait-il de répondre aux accusations plus sérieuses d’auto-censure, résultant d’une inféodation et d’une soumission imposées par la simple nécessité de conserver son poste de travail, ou même d’assurer sa survie économique attendue d’annonces publicitaires incompatibles avec toute critique des entreprises concernées.

    4- Il brandissait encore l’illusion de l’apparence comme évidence non contestable. On sait pourtant à quelles erreurs cette méthode a longtemps conduit : si le soleil se levait à l’Est et se couchait à l’Ouest, se disait-on, n’était-ce pas qu’il tournait autour de la terre ? M. Joffrin ne se montrait pas plus prudent dans la définition d’ « une information importante » digne d’être retenue dans son journal. Au cours de l’interview de « Médialogues », il y est d’ailleurs revenu et a même donné comme exemple « la victoire de l’équipe de Hand-ball au championnat du monde après celle aux jeux Olympiques » : « Oui, a-t-il dit, tous les journaux ouvrent là-dessus, parce que c’est objectivement important ! »

    Que l’importance d’une information soit fonction des intérêts de l’émetteur, ne paraît pas l’effleurer, ou du moins préfère-t-il le taire ! Qu’une information soit même jugée trop importante par un émetteur pour être diffusée et que ses intérêts commandent impérativement de la garder secrète, y a-t-il jamais songé ? Il semble que oui, pourtant, à en croire, une révélation de Nicolas Beau, du site Bakchich, faite, le 9 décembre 2008, sur le plateau de Arrêt sur image (3) : N. Beau était alors encore au Canard enchaîné , et il s’était vu refuser par sa propre rédaction, entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2007, la publication d’un article sur les revenus que le candidat Sarkozy avait continué à percevoir de son cabinet d’avocat tout en étant ministre. Son informateur, dépité, s’était alors tourné vers… Libération mais sans plus de succès !

    Ainsi, colonnes et antennes peuvent-elles regorger d’informations sans importance qu’on peut nommer « informations indifférentes », et s’il en est ainsi, n’est-ce pas qu’elles jouent, elles, un rôle très important de modèle et de censure discrète, tant est exiguë la place de diffusion disponible qu’elles envahissent au détriment des autres ?


    Confusion intellectuelle, amalgame et imputation pénale

    À cet arsenal de M. Joffrin déjà inventorié, sont venus s’ajouter trois autres leurres en cours d’interview.

    1- L’un est la confusion intellectuelle qui vise à désorienter. Qu’on en juge ! Comprenne qui pourra ce galimatias digne du babil d’Erikson, le spécialiste d’hypnothérapie, qui abreuvait ses patients d’un flot continu de paroles sans queue ni tête, selon la technique dite de « saupoudrage » ! « Il y a une chose que les gens oublient, commence par dire M. Joffrin. Le matériau de base du journaliste, c’est quand même la réalité. » Puis il poursuit : « Il y a des biais, dit-il, il y a des manipulations, des pressions, tout ce qu’on veut, mais à la fin des fins, ce qu’il y a dans les journaux (…), en gros, c’est vrai ce qu’ils disent. Il y a des erreurs, des choses qui ne vont pas, etc. Mais en gros, c’est vrai. Ce qu’on entend dans les bulletins radio, c’est vrai, Il faut débusquer les erreurs, les dérapages. Mais globalement, ça reflète ce qui s’est passé dans le monde depuis 24 heures, vu par des Français ». Et en 14-18, quand les journaux racontaient que les balles allemandes ne tuaient pas, c’était vrai ?

    En somme, à bien le suivre, il y a « des erreurs, des manipulations, des pressions, tout ce qu’on veut » dans les médias, mais « en gros » les informations livrées sont « vraies » ! Par quel miracle ? Celui du leurre de la vaccine une nouvelle fois ! On retrouve au passage la prétention à saisir « la réalité » alors que seule « une représentation de la réalité » est accessible au travers des médias qui s’interposent entre soi et la réalité, à commencer par ses cinq sens à la perception fort limitée quand ils ne sont pas infirmes. Du « terrain », on ne rapporte jamais qu’ « une carte » plus ou moins fidèle !

    2- Le second leurre est encore plus surprenant : c’est l’amalgame entre le travail d’historien et celui de journaliste. Interrogé sur le doute que suscite toujours la version officielle des attentats du 11 septembre, M. Joffrin a ni plus ni moins assimilé ce doute méthodique au mécanisme intellectuel menant au négationnisme qui nie le génocide juif.

    D’abord, qu’est-ce que le génocide juif vient faire ici ? Pour M. Joffrin, rien de plus transparent ! « C’est un mécanisme très pervers, s’est-il écrié. C’est le même mécanisme que Faurisson. Vous prenez un petit bout de la réalité et vous dites : là il y une erreur ! une bizarrerie, une chose étrange ! On fait ça pour le 11 septembre. C’est bizarre, le troisième immeuble s’est effondré de manière bizarre ! (…)

    C’est Faurisson, répète-t-il, c’est-à-dire qu’à Treblinka, il y avait une chambre à gaz qui avait été reconstituée mais en fait il n’y avait pas de chambre à gaz à Treblinka. Oui, mais elles étaient ailleurs. Mais vous déduisez du fait qu’on a mis une fausse chambre à gaz à Treblinka. Voilà, j’ai fait des calculs. Dans une chambre à gaz, on ne peut pas tuer par heure plus de tant de Juifs, donc les chiffres sont faux, donc tout est faux donc il n’y a pas eu de Shoah. C’est ce qu’on appelle la métonymie : on prend un détail, on le critique et on en déduit que tout est faux, que c’est un montage. C’est extrêmement dangereux. Ça veut dire qu’il y a deux opinions au fond sur la Shoah dans la média-paranoïa : il y a l’opinion officielle qui dit qu’il y a eu six millions de juifs qui ont été tués dont une partie a été gazée dans les chambres à gaz ; et puis, il y a une opinion franc-tireur, dissidente, intéressante parce que eux ne sont pas dans l’officiel, le convenu, ils sont dans l’originalité et dans le courage parce qu’ils vont contre, comme l’évêque Williamson qui explique qu’il y a eu trois cent mille morts chez les juifs. C’est tout faux, seulement comme les médias officiels sont appelés les médias officiels, ils sont louches. Williamson, lui, il est cru. Vous trouvez que c’est sain pour la démocratie ? »

    3- Le troisième leurre découle dès lors du second : ce n’est autre qu’une insinuation d’imputation pénale, puisque douter de la version officielle du 11 septembre serait frappé de la même infâmie délictueuse que celle du négationnisme : ne pas croire la version officielle serait un délit.

    Échappe-t-il donc à M. Joffrin que le travail de l’historien diffère de celui du journaliste ? Si l’un dispose de tout son temps et des documents accessibles, l’autre ne se plaint-il pas de devoir écrire dans l’urgence et de se voir souvent refuser les pièces à conviction ? Cela fait soixante ans et plus que le génocide juif a pu être documenté sans contestation possible. En revanche, le 11 septembre 2001 n’est toujours pas entré dans le champ de l’étude historique en raison de sa survenue encore trop récente et d’un accès encore interdit aux archives. Si le doute n’est donc pas permis sur le génocide juif, est-ce pénalement répréhensible qu’il persiste au sujet du 11 septembre 2001 tant que l’événement n’aura pas été soumis à la critique historique ? M. Joffrin n’a que faire de ce pinaillage : il s’agit pour lui d’intimider l’adversaire !

    On est pourtant d’autant plus surpris que, le 30 janvier dernier, sur France Culture, M. Joffrin s’était bien démarqué de l’historien. Il avait renchéri sur l’animateur de la station, Ali Baddou, qui assurait que « les journalistes (n’étaient) pas des historiens du présent » : « C’est une formule paradoxale et trompeuse, avait-il estimé. (…) Un historien est un type sérieux qui a le temps, précisait-il. Nous, on est assez sérieux, mais on n’a pas le temps par définition. Si on était des historiens de l’instant, mon journal paraîtrait tous les six mois, parce qu’il faudrait au moins six mois pour savoir de quoi il retourne. » Comprenne encore qui pourra !

    En somme, M. Joffrin soutient tout et son contraire. Quel crédit croit-il pouvoir en retirer quand, à sa panoplie qui comprenaient déjà l’injure, la vaccine, la caricature de l’adversaire, l’illusion de l’apparence, s’ajoutent la confusion intellectuelle, l’amalgame et l’insinuation d’une imputation pénale. On serait tenté, si on le suivait sur son terrain, d’y reconnaître des symptômes. On s’en garde bien car on n’a aucune compétence en nosographie. En revanche, il est aisé de déceler une théorie de l’information défaillante qui jette ses partisans dans le plus grand désarroi dès lors qu’ils doivent en démontrer l’improbable validité.

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    Par Paul Villach, le 27 février 209, pour Agoravox

    Références :

    (1) « MÉDIALOGUES » d’Alain Maillard et Martine Galland, mercredi 25 février 2009, « Médias manipulateurs » ? Le point de vue de Laurent Joffrin, directeur de LIBÉRATION – Les réactions de Paul Villach, rédacteur d’AGORAVOX


    (2) Paul Villach, « "Média-paranoïa" de Laurent Joffrin, ou l’injure comme aveu d’impuissance », AGORAVOX, 5 février 2009.


    (3) Paul Villach, « "Le Canard enchaîné" est-il sarkozyste ? » : travaux pratiques à "Arrêt sur images" », AGORAVOX, 19 janvier 2009.
    Filed under: 11 septembre, France / Europe, Médias Tags: 11 septembre, Médias, Proche-orient

     


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  • Selon l'ONU, Israël a violé le droit humanitaire international à Gaza

    source : lemonde.fr

    (nous le savions depuis longtemps, enfin un journal dit "classique" fait paraitre un billet qui met l'accent sur le viol quotidien d'Israel du droit humanitaire!eh bien il était temps ! presque une année de retard ...vive les médias des cons !)

    Selon un rapport de l'ONU, dévoilé mardi 15 septembre, l'Etat hébreu "ne s'est pas entouré des précautions nécessaires requises par le droit international pour limiter les pertes en vies humaines, les blessures occasionnées aux civils et les dommages matériels".

    Il cite "les tirs d'obus au phosphore blanc sur les installations de l'UNRWA" (agence de l'ONU chargée des réfugiés palestiniens), "la frappe intentionnelle sur l'hôpital Al-Qods à l'aide d'obus explosifs et au phosphore" et "l'attaque contre l'hôpital Al-Wafa" comme autant de "violations du droit humanitaire international".

    Ce rapport a été présenté à New York par le président de la mission du Conseil des droits de l'homme de l'ONU chargée d'enquêter sur les violations commises lors de l'offensive israélienne contre la bande de Gaza, Richard Goldstone.

    Israël a rejeté mardi ce rapport, qu'il considère "partial".(<== mort de rire !!!)

     

     

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    Selon l'ONU, Israël a commis des "crimes de guerre" 

    LEMONDE.FR avec AFP, Reuters | 15.09.09 | 17h07 • Mis à jour le 15.09.09 | 18h26

    source : lemonde.fr 

     

     

    L'ONU a dévoilé, mardi 15 septembre, un rapport accusant Israël d'avoir fait un usage disproportionné de la force et violé le droit humanitaire international lors de son offensive dans la bande de Gaza l'hiver dernier. L'Etat hébreu a aussitôt rejeté ce rapport, le jugeant "partial".

    "Des actes assimilables à des crimes de guerre et peut-être, dans certaines circonstances, à des crimes contre l'humanité ont été commis par les forces armées israéliennes", a déclaré le juge Richard Goldstone, auteur du rapport de l'ONU. La mission du Conseil des droits de l'homme de l'ONU qu'il préside avait été chargée, en avril, d'enquêter sur les possibles violations commises lors de l'offensive israélienne contre la bande de Gaza, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009. Selon les services d'urgences palestiniens, plus de 1 400 personnes avaient été tuées. Le bilan israélien parle de 300 civils et 9 000 combattants palestiniens tués.

    Le rapport accuse notamment Israël ne de pas s'être "entouré des précautions nécessaires requises par le droit international pour limiter les pertes en vies humaines, les blessures occasionnées aux civils et les dommages matériels". Il cite "les tirs d'obus au phosphore blanc sur les installations de l'Unrwa, la frappe intentionnelle sur l'hôpital Al-Qods à l'aide d'obus explosifs et au phosphore" et "l'attaque contre l'hôpital Al-Wafa" comme autant de "violations du droit humanitaire international".

    LES TIRS DE ROQUETTES ÉGALEMENT DES CRIMES DE GUERRE

    "Israël n'a pas jugé utile de coopérer avec la mission d'enquête de la commission Goldstone car son mandat était clairement partial et a ignoré les milliers d'attaques à la roquette du Hamas contre des populations civiles dans le sud d'Israël qui ont rendu nécessaire l'opération contre Gaza", a justifié le ministère des affaires étrangères israélien.

    Les autorités israéliennes accusent les enquêteurs d'avoir donné "une légitimité à l'organisation terroriste Hamas". "La stratégie du Hamas consistant à se servir de civils palestiniens comme bouclier pour lancer des attaques terroristes a été délibérément ignorée", poursuit le ministère des affaires étrangères. Le document précise pourtant que les tirs de roquettes sur des cibles non militaires en territoire israélien constituent également des crimes de guerre, voire des crimes contre l'humanité.

    Après avoir remis ce rapport, Richard Goldstone demande à Israël l'ouverture d'une enquête "indépendante et en conformité avec les critères internationaux" sur de possibles crimes commis par ses troupes. En cas de refus, les membres du Conseil de sécurité devront rendre compte de la situation à Gaza au procureur de la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye. Les autorités israéliennes ont annoncé qu'elles étudieraient ce rapport, rappellant que l'armée avait ouvert des enquêtes "sur plus d'une centaine d'allégations".

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    je remet ici un petit article de mon ancien blog ~~

    http://nervyoko.blogvie.com/ban-ki-moon-denonce-israel/

     

    L
    e secrétaire général de l’ONU dénonce par les mots dans un message lu à l’occasion de l’ouverture à Genève d’une réunion de deux jours des Nations unies sur la Palestine, les entorses au droit international du premier ministre, Benjamin Netanyahu, après les nombreuses critiques groupées des puissances de ce monde.

    Faute de pouvoir lui forcer la main par des résolutions contraignantes ou des sanctions comme il est d’usage en pareil cas de refus flagrant d’obtempérer, l’ONU et les dirigeants occidentaux multiplient les critiques.

    Ainsi, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a exhorté hier le régime israélien à geler ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens.

    Le secrétaire général de l’ONU a appelé le régime israélien à « remplir totalement ses obligations », notamment le « gel de la colonisation ».

    « Si Israël continue son activité de colonisation, ce ne sera pas seulement en infraction avec le droit international, mais aussi contre un fort consensus international », a-t-il ajouté.

    Pour Ban Ki-moon, les autorités israéliennes « doivent aussi mettre un terme aux actions unilatérales à Jérusalem, telles que les destructions de maisons ».

    Le régime israélien doit également « se plier à l’avis de la Cour internationale de justice, vieux de cinq ans », qui a jugé illégale la construction du mur de séparation avec les territoires palestiniens.

    Les entorses au droit international sériées par Ban Ki-moon sont déclinées comme autant de chefs d’inculpation contre le régime israélien.

    On peut cependant regretter que le premier responsable de la paix dans le monde n’ait pas jugé utile de convoquer le Conseil de sécurité pour statuer sur le cas du régime israélien qui semble faire l’unanimité ou à tout le moins appeler clairement à des sanctions. Pour nettement moins grave que cela, des pays ont été désignés à la vindicte mondiale.

    Le deux poids deux mesures du traitement onusien n’est pas nouveau. Que peuvent donc apporter de plus ces plaintes du secrétaire général de l’ONU alors que Benjamin Netanyahu n’a pas fait cas des appels des Etats-Unis, de la France, de l’Union européenne et de la Russie, au gel de la colonisation à l’est d’El Qhods occupé.

    Le président syrien, Bachar Al Assad, et le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, ont, de leur côté, souligné, hier à Alep (nord de la Syrie), qu’Israël devait avoir « une véritable volonté politique » pour parvenir à la paix au Proche-Orient. Une paix qui, d’après eux, doit être « basée sur les résolutions internationales et sur le retrait d’Israël des territoires arabes occupés, dont le Golan, jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 ».

     


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  • Grippe A : "On ne peut pas accepter une justice d'exception"

    source :


    LEMONDE.FR | 08.09.09 | 13h47 • Mis à jour le 08.09.09 | 16h01

     

     


    U
    n seul magistrat, faire juger les mineurs par les tribunaux pour majeurs, prolonger automatiquement les délais de détention provisoire… tel est le visage que pourrait prendre la justice en cas de pandémie de grippe A(H1N1) selon le Syndicat de la magistrature, qui affirme avoir eu connaissance de projets de textes modifiant l’organisation et le fonctionnement de la justice et circulant "dans le plus grand secret".

    Après la diffusion de ces informations, Michèle Alliot-Marie a assuré qu'il n'y a "aucun plan secret". "On a demandé aux ministères de prévoir tous les cas de figure et notamment le cas où quasiment l'ensemble de la France serait bloquée par une épidémie", a affirmé la garde des Sceaux devant des journalistes dans les couloirs de l'Assemblée, soulignant que "ces mesures n'ont même pas encore été arbitrées", refusant toutefois de détailler les mesures en question.

    Pour sa part, le Syndicat de la magistrature dénonce un "dispositif liberticide" concernant les mesures d'exception envisagées par le gouvernement et adresse mardi 8 septembre une lettre à la Chancellerie pour appeler à un dialogue autour de cette question. Emmanuelle Perreux, présidente du syndicat, critique les atteintes aux libertés individuelles suscitées par une série de dispositions qui concernent principalement la justice pénale.



    Pour Mme Perreux, réunir les différents acteurs – magistrats, avocats, fonctionnaires – suffirait à mettre en place des mesures garantissant les libertés individuelles afin d'assurer un fonctionnement normal de la justice. La présidente du Syndicat de la magistrature juge inacceptable "qu'une pandémie grippale conduise à accepter une justice d'exception" par ordonnances gouvernementales.



    Elle espère que ce signal d'alarme interpelle le Parlement.



    Le ministère de la justice a répondu qu'il s'agissait d'un "document de travail provisoire" datant du mois de juillet qui envisageait alors une situation sanitaire extrême, scénario qui n'est plus d'actualité.
    "C'était un projet d'ordonnance dans le cadre de travaux exploratoires au cas où l'on serait face à une crise sanitaire grave empêchant les juridictions de fonctionner normalement", a déclaré son porte-parole, Guillaume Didier, mardi.

    Une cinquantaine de responsables politiques et syndicaux, de médecins et autres personnalités ont signé un appel "pour une gestion démocratique de la pandémie", appel publié dans Libération de mardi.

    Pour en savoir plus :

    La lettre du Syndicat de la magistrature adressée à la ministre de la justice Michèle Alliot-Marie.
    Le Monde.fr avec Reuters
     

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    Ca ressemble aux USA ... bientôt nous aurons aussi nos camps FEMA à nous ? bien  à nous ? 

    Un camp de concentration a l'Américaine ? 

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  • source : alter info

    Au GIEC, il y en a qui trouvent que la prophétie en climatologie sent le rat

     

    NewScientist, Fred Pearce, 4 septembre 2009


    La prévision en changement climatique est sur le point de devenir sérieusement décalée. L'un des spécialistes en modélisation climatique mondiale a convenu jeudi que nous pourrions être sur le point d’aborder dix ou même vingt ans de températures fraîches [d’après les données cycliques, ce serait plutôt trente ans, ndt].


    « Les gens vont raconter que c'est la disparition du réchauffement planétaire, » a-t-il regretté devant plus de 1.500 spécialistes climatologues des trois coins du globe, réunis à la Conférence mondiale sur le climat de l'ONU à Genève.


    « Je ne fais pas partie des sceptiques, » a insisté Mojib Latif de l'Institut Leibniz des Sciences Marines de l'université de Kiel, en Allemagne. « Mais, nous devons nous poser les questions emmerdantes, sinon d’autres personnes le feront. »


    Peu de climatologues vont aussi loin que Latif, un auteur du Groupe intergouvernemental d'experts sur le changement climatique (GIEC). Mais de plus en plus conviennent que le pronostic à court terme en changement climatique est beaucoup moins sûr qu’ils le pensaient autrefois.



    Nature contre humains


    Il s'agit d'un mauvais timing. L’Organisation météorologique mondiale de l’ONU a convoqué la conférence en vue d'élaborer un projet global fournissant des « services climatiques » au monde : il s’agit de fournir des prévisions météos utiles à tous les agriculteurs inquiets à propos de la prochaine saison des pluies, aux médecins qui essaient de prévoir les épidémies de paludisme et aux constructeurs de barrages, de routes et d’autres infrastructures qui nécessitent une évaluation des risques d'inondation et de sécheresse sur 30 ans.


    Mais certains climatologues sont réunis à Genève pour discuter comment pourrait être admissible que, sur de telles échelles de temps, la variabilité naturelle est au moins aussi importante que le changement climatique à long terme du réchauffement planétaire. « À bien des égards, nous connaissons mieux ce qui se passera dans les années 2050 que l'année prochaine, » [sic, ndt] a affirmé Vicky Pope de l’UK Met Office.



    Le froid Atlantique


    Latif prédit que, dans les prochaines années, la tendance naturelle au refroidissement dominera sur le réchauffement produit par les humains. Le refroidissement devrait défavoriser les variations cycliques des courants océaniques et de la température dans l'Atlantique Nord, une particularité appelée Oscillation Nord Atlantique (NAO).


    Créant une hérésie dans l'orthodoxie du changement climatique, il a raconté que les cycles du NAO sont sans doute à l’origine d'une partie du vigoureux [sic, ndt] réchauffement climatique observé ces trente dernières années. « Mais, à quel degré ? Le prétoire est toujours dans l’incertitude, a-t-il reconnu à la conférence. Le NAO s’avance maintenant vers une phase plus froide.


    M. Latif a aussi estimé que les cycles du NAO expliquent la récupération [le verdoiement, ndt] récente de la région sahélienne de l'Afrique de la sécheresse des années 70 et 80. James Murphy, chef en prévision climatologique du Met Office, est d’accord et a fait un lien entre le NAO et la mousson indienne, les ouragans atlantiques et la banquise arctique. « Les océans sont la clef de la variabilité décennale naturelle, a-t-il assuré.


    Une autre panacée favorite [en faveur de l’existence du changement] climatique a été démolie quand Pope a lâché que la dramatique perte de glace arctique des étés derniers est due en partie aux cycles naturels plutôt qu’à un réchauffement climatique. Les rapports préliminaires indiquent qu'il y a bien moins de fonte [glaciaire] cette année qu'en 2007 ou 2008.


    Avec leur humeur franche, les climatologue ont pourtant [généreusement] évité de rendre la nature responsable de leurs prédictions boiteuses. « La supposition en modélisation est aussi toujours un grave problème. Nous avons un long chemin à faire avant de la rendre exacte. Ça fait du tort à nos prévisions, » a gémi Tim Stockdale du Centre européen de la prévision climatique à moyenne portée à Reading en UK.


    Il se pourrait que le monde aspire fichtrement à des prévisions sérieuses pour le climat futur. Mais ce genre de prédictions se révèle aussi évasif que la prophétie parfaite en météo.



    Ndt : Sur le titre, quand un Anglais sent un rat, il trouve que c’est louche.


    Original : World's climate could cool first, warm later
    (Le climat mondial pourrait se calmer avant de s’énerver plus tard)
    www.newscientist.com/article/dn17742-worlds-climate-could-cool-first-warm-later.html?DCMP=OTC-rss&nsref=online-news
    Traduction copyleft de Pétrus Lombard publiée par Alter Info


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