• Washington cherche à affaiblir le niveau de participation à la réunion de Durban 26/09/2011

    source: http://www.alterinfo.net/notes/Washington-cherche-a-affaiblir-le-niveau-de-participation-a-la-reunion-de-Durban_b3302590.html


    Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré que les Etats-Unis et certains gouvernements agissent pour affaiblir et même boycotter de la réunion de Durban. Ali Akbar Salehi a déclaré dans la réunion de la 10ème année de l'approbation de la déclaration de Durban: malheureusement ces réactions s'effectuent par les pays qui se prennent pour les avocats de la démocratie mais qui, dans la pratique, bafouent les droits de l'Homme. Il a ajouté que les protecteurs du régime sioniste ont boycotté cette conférence car ils redoutaient le soutien qui sera affiché aux Palestiniens, ces victimes de leur racisme.
    Irib

     

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    Note:

     il est aisé de voir que la publicité faite autour de cet évènement  est bien une censure politique et médiatique!

    Il faudrait que les pays qui y participent condamnent les pays qui comme les USA, France ,Angleterre ... les soit disants défenseurs de la Démocratie qui dans les faits bafouent la plus part du temps les droits humains par leurs guerres et s'approprient les richesses des pays plus faibles!

     

    Nerv-yoko

     

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    La politique de la BCE attaquée devant la justice européenne

    source: http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110926trib000651752/la-politique-de-la-bce-attaquee-devant-la-justice-europeenne.html 

    Copyright Reuters
    L'initiateur des recours allemands devant la Cour constitutionnelle contre le sauvetage de la Grèce et le fonds de sauvetage créé en 2010 s'attaque à présent à la BCE.

    Markus Kerber, professeur de droit à la Technische Universität de Berlin, doit annoncer ce lundi le dépôt d'une plainte devant la Cour de justice de l'Union européenne à Luxembourg. Il fait grief à la BCE de violer les articles 123 à 125 du traité européen qui proscrivent, selon lui, la politique de rachat d'obligations de dettes publiques menée depuis 2010. "Sans intervention du tribunal, la politique de la BCE [ira] au-delà de son mandat monétaire. Cela ferait échapper l'eurosystème [l'ensemble des banques centrales européennes] à tout contrôle juridique", écrit-il dans un communiqué de l'association Europolis attendu lundi.

    La Cour constitutionnelle allemande a beau avoir validé le 7 septembre le premier plan d'aide à la Grèce ; le Bundestag a beau s'apprêter à voter le 29 septembre à "une majorité de 80%", selon le ministre des Finances Wolfgang Schäuble, le deuxième plan grec, Markus Kerber ne désarme pas, conforté par le scepticisme d'une partie des responsables politiques et économiques allemands. Les démissions successives d'Axel Weber et de Jürgen Stark, respectivement de la Bundesbank et du poste d'économiste en chef de la BCE, ne laissent guère de doute sur l'existence d'un courant hostile à la politique de Jean-Claude Trichet outre-Rhin.

    "Mon plus grand allié, ce sont les faits", explique le juriste. Or le fait majeur à ses yeux est la dégradation du bilan de la Banque centrale européenne. "Depuis deux ans, Jean-Claude Trichet fait du "Quantitative Easing" sans le dire. Son discours sur la stérilisation [des liquidités injectées dans le système] est un mensonge", assure-t-il. Et d'ajouter : "au sein de la BCE, l'ambiance est celle du parti communiste russe avant la chute de l'empire soviétique".

    Trancher dans le vif

    Convaincu que l'édifice construit depuis 2009 (BCE et FESF) pour contrer les attaques contre la zone euro finira par s'effondrer, il juge que seul un départ des pays du Sud de la zone euro permettrait de sauver l'héritage précieux du deutsche mark. "Pour rétablir la stabilité monétaire, il faut trancher dans le vif. Comme De Gaulle en Algérie !"

    Sa défaite devant la Cour constitutionnelle allemande ? Elle résulte "d'une entente tacite avec le gouvernement. Le débat continue au Bundestag". Le vote du 29 septembre devrait cependant se passer sans problème pour le gouvernement, grâce à l'appui des sociaux-démocrates et en dépit des états d'âme des libéraux, membres de la coalition gouvernementale. "Juridiquement, la question de la FESF 2 n'est pas tranché", note cependant le juriste. "La FESF 2 représente un engagement de 220 milliards pour l'Allemagne, 400 milliards si on y ajoute les intérêts... C'est plus que le budget de l'Etat fédéral !" Karlsruhe ne s'est effectivement prononcé que sur la facilité temporaire créée en 2010.

    Mais plutôt que de retenter un recours à Karlsruhe, Markus Kerber a préféré porter le fer à Luxembourg. "La BCE est à présent la priorité des priorités, le grand chantier. Sinon tout va sauter", dit-il. Il lui faudra cependant attendre de longs mois avant que les juges européens ne livrent leur interprétation des litigieux articles du traité sur la politique monétaire européenne.
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    Florence Autret, à Bruxelles - 26/09/2011, 08:50

     


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    Devinez qui le Congressman Walter Fauntroy a vu infliger la mort en Libye

    par Valencia Mohammed

     

    source : Mondialisation.ca

     

    Le révérend Walter Fauntroy fut le représentant personnel de Martin Luther King Jr. à la Maison-Blanche. Elu démocrate de Washington DC, il siégea à la Chambre des représentants de 1971 à 1991. Il est aujourd’hui très actif dans de nombreuses organisations pour le développement du continent noir.

     

    L’ancien congressman Walter Fauntroy s’était rendu en Libye comme négociateur de bonne volonté pour tenter de stopper la guerre. Prisonnier avec les journalistes du Réseau Voltaire dans l’hôtel Rixos, il n’a échappé que de justesse à la mort : nous pouvons témoigner que la secrétaire d’État Hillary Clinton avait personnellement donné l’ordre de l’exécuter. Il n’a dû son salut qu’à sa foi et à l’intervention d’une très haute personnalité militaire US. De retour aux États-Unis, il a donné une interview à « Afro ».
    ancien député US Walter Fauntroy compagnon de Martin Luther King, qui est récemment revenu d’une mission de paix en Libye, a précisé qu’il était resté caché pendant un mois après avoir été le témoin d’horribles évènements de cette sanglante guerre civile de Libye, une guerre dont Fauntroy assure qu’elle fut menée par des forces européennes.

    La soudaine disparition de Walter Fauntroy et certaines rapides rumeurs avaient donné à penser qu’il avait été tué.

    Dans une interview donnée dans sa maison de Northwest DC au journal US Afro la semaine dernière, le fameux leader des droits civiques, rapporte qu’il a vu des militaires français et danois se ruer dans un petit village de nuit, décapitant, mutilant et tuant rebelles et loyalistes pour leur montrer qui était le maître.

    « Quel est cet enfer ? Pensais-je. Je me suis sorti de là et je suis parti me cacher » dit Fauntroy.

    Les rebelles ont dit à Fauntroy que les forces européennes leur avaient dit de rester à l’intérieur des maisons. Selon Fauntroy les forces européennes voulaient dire au rebelles : « regardez ce que vous avez fait », en d’autres termes les français et les danois avaient ordonné bombardements et tueries pour en rendre responsable les rebelles.

    « La vérité là-dessus sortira un jour » a dit Fauntroy

    L’ancien député nous a dit que pendant son séjour en Libye, il avait pu parler avec Kadhafi en personne et que celui-ci lui avait assuré qu’il survivrait à cette attaque et que la mission d’unification des nations africaines continuerait.

    « Contrairement à ce qui a été rapporté dans la presse, j’ai entendu et observé que 90 % du peuple libyen aimait Kadhafi » dit Fauntroy, il dit également « Nous croyons que le véritable but des attaques contre Kadhafi était de s’opposer aux efforts des leaders africain entrepris pour arrêter la re-colonisation de l’Afrique »

    Depuis plusieurs mois le leadership de Kadhafi s’est trouvé face à son plus grand défi. En février, un mouvement radical de protestation appelé Printemps arabe s’est répandu à travers la Libye. Quand Kadhafi a répondu par l’expédition de militaires et de paramilitaires en civil dans les rue pour attaquer les manifestants cela tourna en guerre civile et ce avec l’assistance de l’OTAN et de l’ONU.

    Les assertions de Fauntroy n’ont pu être vérifiées par le journal Afro et le département d’État US n’a pas validé la version des faits de Fauntroy. Fauntroy n’a pas agi comme un représentant officiel des USA en Libye.

    Quand la rumeur se répandait disant que Fauntroy avait été tué, en réalité il était incognito a t-il dit à l’Afro dans cette interview. Fontroy dit que pendant plus d’un mois il décida de ne pas contacter sa famille mais de continuer sa mission afin de parler avec les leaders spirituels africains au sujet du mouvement d’unification africaine malgré les révoltes arabes.

    Je suis toujours là, dit Fauntroy montrant plusieurs parties de son corps « j’ai tous mes doigts et mes orteils, je suis extrêmement chanceux d’être la ! ».

    Après les blogs et les rumeurs rapportant que Fauntroy avait été tué, Eleanor Holmes Norton du bureau des députés annonça le 24 août qu’il avait été en contact avec les autorités qui confirmèrent qu’il était sauf et pris en charge par le Comité International de la Croix rouge. Fauntroy est rentré à Washington DC le 31 août.

    Dans sa maison Fauntroy sortit plusieurs mémoires et carnets de note pour expliquer pourquoi il voyageait en Libye quand il fut pris dans les révoltes.

    « Le récent voyage en Libye était une partie de ma mission qui commença sous Martin Luther King quand il me donna l’ordre de joindre quatre pays africains sur le continent avec quatre de la diaspora africaine dans le but de rendre à ce continent son statut pré-colonial » dit Fauntroy.

    Nous voulons que l’Afrique devienne le grenier du monde dit il : « Souvent, les principales routes conduisent dans toute l’Afrique à des ports pour que les ressources naturelles et les richesses soient menées hors du continent afin d’être vendues sur les marchés européens ».

    Articles de Valencia Mohammed publiés par Mondialisation.ca


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    La Grande-Bretagne et la France mènent la charge coloniale en Libye

    par Peter Symonds

    Mondialisation.ca, Le 21 septembre 2011
    wsws.org

    La visite du premier ministre britannique David Cameron et du président français Nicolas Sarkozy en Libye jeudi dernier rappelle toutes les traditions sordides et sanguinaires de l'impérialisme: l'hypocrisie patente, le pillage économique et le recours impitoyable à la force pour arriver à ses fins.

    Cameron et Sarkozy ont été fêtés par les dirigeants du client local de l'OTAN - le Conseil national de Transition (CNT) - à Tripoli d'abord à grand renfort de mesures de sécurité puis ils ont été rapidement transportés au bastion du CNT à Benghazi. Sous les vivats de la foule rassemblée, Cameron a salué « la Libye libre ». « La France, la Grande-Bretagne, l'Europe seront toujours aux côtés du peuple libyen, » a déclaré Sarkozy.

    Le faux prétexte de l'aventure néocoloniale de l'OTAN - soi-disant pour protéger des vies libyennes contre le régime de Mouammar Kadhafi - a pratiquement été abandonné. Les avions de combat de l'OTAN continuent de bombarder des cibles autour des villes pro-Kadhafi restantes de Syrte et de Bani Walid au mépris de la vie des civils alors que le CNT et les partisans de l'OTAN essaient de contrôler le pays entier. Les médias occidentaux qui avaient promu l'intervention impérialiste en lançant des avertissements soi-disant de massacres imminents de la part du régime Kadhafi, gardent un silence réservé sur les centaines, si non les milliers de civils qui ont été tués lors des bombardements de l'OTAN.

    Cameron a déclaré que Benghazi « a été une inspiration pour le monde entier, et vous avez renversé un dictateur et vous avez choisi la liberté. » Sur la tribune se trouvaient à côté de lui le président du CNT, Moustapha Jalil, ancien ministre de la Justice de Kadhafi, et le « premier ministre » du CNT, Mahmoud Jibril qui avait présidé le conseil national pour le développement économique. Les deux hommes portent la responsabilité des crimes du régime Kadhafi et ne seront pas moins impitoyables dans leur traitement de l'opposition politique contre le nouvel ordre de l'OTAN nouvellement créé.

    Cameron et Sarkozy, ont bien sûr rejeté toute suggestion que leur visite en Libye était liée à des intérêts mercenaires. Aucune promesse n'a été faite ou recherchée a dit le président français aux reporters en ajoutant : « Ce que nous avons fait, nous l'avons fait pour des raisons humanitaires. Il n'y avait pas d'agenda caché. » Jalil s'est empressé d'affirmer que la France et la Grande-Bretagne « auront une influence future ». Il a poursuivi en disant : « Nous allons honorer les anciens contrats, et nos amis auront un rôle initiateur conformément à leurs efforts dans le soutien de la Libye. » En d'autres termes, le butin du pétrole appartient aux vainqueurs.

    La ruée néocoloniale sur la Libye est tellement évidente qu'elle est ouvertement reconnue par la presse de l'establishment. En commentant ceci cette semaine, Simon Tisdall du Guardian a remarqué : « En vérité, à la manière des héros conquérants de l'histoire, les dirigeants britanniques et français sont arrivés, à la recherche des lauriers de la victoire qui produiront peut-être avec le temps un rendement financier appréciable. Il s'agit, d'abord et avant tout, du butin de guerre de Dave et de Sarko. »

    La visite de Cameron et de Sarkozy marque le début d'une compétition féroce pour l'influence politique, la position stratégique et les profits en Libye. Hier, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, est arrivé à Tripoli pour déclarer que « l'ère des régimes oppresseurs est révolue. » Avant le déclenchement de la guerre civile en février, les avoirs de la Turquie en Libye s'élevaient à quelque 15 milliards de dollars en Libye, et qu'Erdogan était soucieux de sécuriser.

    En début de semaine, le PDG du géant énergétique italien ENI, Paolo Scaroni était à Tripoli pour discuter la reprise des exportations de gaz de la Libye. ENI était le plus important producteur d'énergie de la Libye avant la guerre et est évidemment très soucieux de défendre sa position dominante. La Libye dispose des plus importantes réserves d'énergie connues en Afrique - 46,4 milliards de barils de pétrole et 55 pieds cubes de gaz naturel. Les responsables libyens ont rapporté aux « Amis de la Libye » qui s'étaient réunis à Paris le 2 septembre que cinq grandes entreprises étrangères d'énergie étaient revenues dans le pays.

    Malgré toutes les affirmations hypocrites que la guerre pour un « changement de régime » concernait uniquement la protection de vies humaines, les objectifs de l'impérialisme britannique et français en Libye, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient ne sont pas plus humanitaires aujourd'hui qu'elles ne l'étaient ces 200 dernières années.

    Il suffit d'examiner brièvement l'histoire de la Libye et de ses voisins directs. Soixante-dix ans de domination coloniale britannique en Egypte ont débuté en 1882 avec un bombardement maritime d'Alexandrie et une force expéditionnaire pour réprimer brutalement une opposition nationaliste. La Grande-Bretagne a envahi le Soudan voisin sous la bannière humanitaire de répression de la traite des esclaves partout dans le pays.

    La France a un long passé de domination coloniale en Algérie, au Tchad, au Niger et en Tunisie. Dans les années 1940 et 1950, pour conserver le contrôle de l'Algérie elle avait mené une longue guerre sanglante durant laquelle les forces françaises devinrent tristement célèbres pour l'usage de la torture, de représailles et de massacres de masse. Le gouvernement post-colonial avait estimé que jusqu'à 1,5 million d'Algériens avaient été tué durant la lutte contre la domination française.

    La Libye elle-même était sous le joug de l'Italie qui avait justifié son invasion comme étant une mission « civilisatrice. » De l'avènement de la domination italienne jusqu'à la déroute de l'armée italienne durant la Deuxième Guerre mondiale, la moitié de la population libyenne a été assassinée, affamée ou poussée à l'exil. La résistance à la domination italienne a été réprimée par des bombardements aériens systématiques et, dans les années 1930, par la rafle de 100.000 personnes, dont la plupart des nomades, et leur déportation dans des camps de concentration où au moins la moitié d'entre elles sont mortes.

    Alors que tous ces pays étaient devenus officiellement indépendants après la Deuxième Guerre mondiale, les anciennes puissances coloniales ont maintenu indirectement leurs intérêts économiques et stratégiques par le biais des divers régimes nationalistes qui avaient émergé. C'est précisément cet échec abject du nationalisme bourgeois de mettre fin à la domination impérialiste ou de satisfaire les besoins sociaux pressants et les aspirations démocratiques des masses qui a ouvert la voie aux nouvelles interventions coloniales. Confrontées à la pire crise économique depuis les années 1930, les puissances américaines, européennes et les puissances émergentes comme la Chine et la Russie sont toutes engagées dans une course effrénée contre leurs adversaires pour la domination de l'Afrique, du Moyen-Orient et internationalement.

    Durant son voyage en Libye, Sarkozy a même indiqué la prochaine « mission humanitaire » de la France, en déclarant qu'il dédiait sa visite « à tous ceux qui espèrent que la Syrie soit un jour un pays libre. » Le contrôle de la Syrie et du Liban avait été alloué à la France après la Première Guerre mondiale dans le cadre des accords Sykes-Picot signés avec la Grande-Bretagne et qui partageaient l'ancien empire ottoman entre les deux puissances impérialistes. Ne voulant pas être en reste, le premier ministre turc Erdogan, a réclamé pour sa part le lendemain que « ceux qui oppriment le peuple de Syrie » devraient être conscients que « leur temps était écoulé. »

    Article original, WSWS, paru le 17 septembre 2011



    Articles de Peter Symonds publiés par Mondialisation.ca

     

    N'oublions pas le guignol qui les accompagnait : Bernard Henry LEVY

    BHL se fait virer 2 fois, c'est un guignol ce type

     


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    M. Hugo CHAVEZ a bien compris lui qu'une crise systémique est inévitable!

    Il veut récupérer l'or, la seule valeur qui puisse être durable, la matière 1ère. Même si aujourd'hui l'or "se casse la figure", l'once d'or va surement remonter!

     

     


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