• « Le grand vol des banques », témoignage d’un « insider » sur l’Apocalypse financière qui vient

    source: http://www.alterinfo.net/Le-grand-vol-des-banques--temoignage-d-un-insider-sur-l-Apocalypse-financiere-qui-vient_a64339.html

    Vendredi 30 Septembre 2011

     

    T
    émoignage choc d’Attila Szalay-Berzeviczy actuel dirigeant de la banque UniCredit qui fait passer celui, controversé, du trader de la BBC pour une « comptine pour enfants ». Au programme, ce qu’il va se passer en cas de défaut de paiement grec…

    Note : Nous n’avons pas pu traduire cet article dans sa totalité, puisque il nous est parvenu une traduction google en anglais d’un texte hongrois… Dans l’impossibilité de traduire, nous avons adapté les morceaux choisis les plus importants. Si des lecteurs de langue hongroise peuvent nous apporter une traduction fidèle du texte original, qu’ils n’hésitent pas.
    Merci à Pascal Roussel, Denissto et Eddie pour l’info.
    L’introduction ci dessous ne fait pas partie du texte original, mais dans le mail reçu, originalement écrit dans un bon anglais et résumant bien la situation, nous avons donc pu le traduire. Pour ceux qui voudraient approfondir le texte original, nous n’avons d’autres choix que de les renvoyer à une traduction google.

    « L’Euro est pratiquement mort »
    Soit les «yes men » ont infiltré la plus grande banque italienne, et la plus sous-capitalisée, ou le stress des constants et répétés mensonges et de la prévarication a finalement appris à ceux qui savent que leurs moyens de subsistance ne tiennent qu’à un fil, et que le second grand ponzi est en train de détruire leurs boulots, leurs carrières, et leur mode de vie tout entier.
    Comme le chef d’UniCredit global securities Attila Szalay-Berzeviczy et ancien président de la bourse hongroise qui a écrit un incroyable texte sur le portail hongrois index.hu, et qui franchement fait passer le discours provocateur d’Alessio sur la BBC pour une comptine pour enfants.
    Seulement cette fois, personne ne peut objecter la « naïveté », l’inexpérience ou le désir d’attirer l’attention du public. Si quelqu’un connaît la vérité, c’est le gars au sommet d’Unicredit, duquel nous attendons de rapidement limiter le commerce en bas une fois que nous aurons imprimé. Parmi les assertions stupéfiantes (stupéfiantes dans le sens qu’un banquier actuel ose dire la vérité) voici les suivantes : « l’Euro est pratiquement mort » et l’Europe est face à un séisme financier à cause du défaut grec… « L’Euro est au-delà de tout sauvetage … » « La seule question qui reste est combien de jours l’action d’arrière garde et sans espoir des gouvernements européens et de la Banque Centrale Européenne pourra entretenir les esprits de la Grèce. » … « Un défaut de la Grèce va immédiatement déclencher un séisme de magnitude 10 à travers toute l’Europe. » … « Les détenteurs d’obligations du gouvernement grec devront amortir leur investissement entier, les nations d’Europe du Sud vont arrêter de payer les salaires et les pensions et les guichets automatiques seront vides « en quelques minutes ». En d’autres termes : bienvenue dans l’Apocalypse….
    Mais attendez, il y a encore autre chose. D’après Bloomberg :
    « L’impact d’un défaut grec pourrait « rapidement » se répandre à travers le continent, il pourrait inciter à une ruée sur les banques les « plus faibles » des pays « les plus faibles ».
    « Une telle escalade de la panique peut balayer l’Europe d’une manière auto-réalisatrice conduisant à l’éclatement de la zone Euro », ajoute Szalay-Berzeviczy.
    Szalay-Berzeviczy est juste arrivé en Hongrie après un voyage à l’étranger, et n’est pas joignable jusqu’à tard aujourd’hui, un officiel d’Unicredit, qui a demandé à ne pas être identifié car il est n’est pas autorisé à parler à la presse, raconte quand Bloomberg a appelé Szalay-Berzeviczy à son bureau de Budapest à la recherche d’autres commentaires.
    Et maintenant, pour nos lecteurs européens (en premier) et tous les autres (ensuite), c’est vraiment le moment de paniquer.

    Maintenant voici le texte, traduit par Google du Hongrois à l’anglais. Certaines nuances peuvent être perdues, mais le message est en gras :

    La monnaie commune européenne est virtuellement morte. L’euro est dans une situation de condamné. La seule question qui reste est combien de jours l’action d’arrière garde et sans espoir des gouvernements européens et de la Banque Centrale Européenne pourra entretenir les esprits de la Grèce.
    Pour le moment, quand Athènes sera déclarée en faillite, un séisme de magnitude 10 va secouer l’Europe, qui sera l’ouverture d’une nouvelle ère dans la vie du vieux continent.
    En effet, la Grèce ce n’est pas seulement la banqueroute cela signifie que les détenteurs de titres du gouvernement grec n’ont pas récupéré l’argent investi, mais aussi à l’intérieur de l’Etat qui ne sera pas capable de rembourser ses dettes. Pour le moment seuls parmi les grecs les, docteurs, policiers, militaires, ministres et employés gouvernementaux locaux ne recevront pas leurs salaires, tout comme les séniors ne s’attendent pas à passer de bons moments. L’ATM est vidé en quelques minutes. Les banques locales sont coincées car détenant des titres du gouvernement déclenchant une crise de liquidités immédiate et la dévaluation du système bancaire grec dans un effondrement total. Ainsi l’épargne des déposants est totalement perdue (…) les gens ne seront pas en mesure de retirer de l’argent (…) Le peuple manquera de carburant et de nourriture. La Grèce est pratiquement à l’arrêt complet pour une décennie et il y aura une baisse spectaculaire du niveau de vie dans le pays entier.
    Le problème est que, dans ce cas, la catastrophe ne peut pas s’arrêter à la frontière grecque, mais avec sa vitesse et son élan toucher l’ensemble de la zone euro, l’Europe et enfin secouer le monde. Un canal par lequel se répandrait l’infection, bien sûr, un tel scenario serait le retour du système bancaire. En effet, les banques internationales ont subit en Grèce de centaines de milliards d’euros de pertes vont être tôt ou tard obligés de verrouiller les échanges avec les autres banques, qui ont à voir avec un pays où –selon les attentes des investisseurs – l’arc de crise grec frappera à nouveau.
    Et quand les banques ne se font plus confiance les unes aux autres, qu’elles arrêtent de se prêter les unes aux autres, les marchés financiers internationaux s’arrêtent. Cela signifie que toutes les institutions financières sont laissées seules avec leurs clients.
    Les pays pauvres avec des banques faibles vont commencer à paniquer avec des retraits de fonds de détail. Mais depuis les dépots de détail et les entreprises de prêts sont attribués sous forme de marchés interbancaires, ces banques ne peuvent pour combler leurs déficits, peut être une crise de liquidités immédiate. Toutes les institutions financières pourraient être mises en faillite. (…)
    La suite pour les courageux (ou les hongrois) ici :
    http://index.hu/gazdasag/penzbeszel/2011/09/28/a_nagy_bankrablas/

     


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  •  FRANCE
    Affaires Karachi et Bettencourt : effet domino sur la Sarkozie

    source : http://www.alterinfo.net/Affaires-Karachi-et-Bettencourt-effet-domino-sur-la-Sarkozie_a64296.html

    Jeudi 29 Septembre 2011

     

     E
    t si la justice, finalement, finissait par rattraper les copains et les coquins qui nous gouvernent ? Et si tout s’effondrait comme un château de cartes ? Le camp sarkozyste, saoûlé de coups, vacille dans les cordes.
     Il flotte une drôle d’odeur sur cette fin de règne sarkozyste. Alors que deux proches du président sont désormais mis en examen dans l’affaire Karachi, un document explosif accuse et, comme si ça ne suffisait pas, le bettencourtgate rattrape la clique au pouvoir.

    Claire Thibout, l’ancienne comptable de la milliardaire - jamais contrôlée par le fisc qu’elle fraudait allègrement tout en finançant grassement l’UMP – remet d’abord le couvert en confirmant devant le juge toutes ses accusations : « Elle raconte dans le détail l’histoire des enveloppes distribuées aux politiques, les visiteurs du soir chez les Bettencourt et les incroyables pressions qu’elle a subies durant des mois, résume Libération. Car, en juillet 2010, après avoir livré ce même témoignage aux enquêteurs, Claire Thibout avait été vouée aux gémonies. Accusée de mythomanie, de manipulation et même de vol, ses déclarations avaient alors été partiellement discréditées, aussi bien par les policiers que par Philippe Courroye, le procureur de Nanterre, à l’époque maître de l’enquête. Explosif. Ce temps est révolu. La comptable a été lavée de tous soupçons et la procédure est désormais entre les mains de trois juges d’instruction bordelais, dont l’indépendance n’est pas en doute. Ce sont eux – Jean-Michel Gentil, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël – qui ont longuement interrogé l’ex-comptable mercredi 14 septembre. Un autre témoin clé, dont l’identité reste à ce jour mystérieuse, a également été entendu, tout comme Isabelle Prévost-Desprez, la juge de Nanterre venue s’expliquer pour ses propos dans le livre Sarko m’a tuer où elle affirme que l’ancienne infirmière de Liliane Bettencourt a dit un jour à sa greffière : «J’ai vu des remises d’espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal.» De source proche du dossier, on affirme que le volet le plus explosif de l’affaire Bettencourt, qu’on croyait enterré à Nanterre, «ressuscite à Bordeaux». Mais dans la plus grande discrétion. Il vise l’éventuel «trafic d’influence, le financement illicite de parti politique ou de campagne électorale». En clair, les juges cherchent à vérifier si la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 a bien été légalement financée. » Nous y revoilà. « Elle raconte dans le détail comment Eric Woerth, le trésorier de cette campagne, aurait reçu 50 000 euros des mains de Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. Un épisode qui se serait déroulé le 19 janvier 2007, trois mois avant le premier tour de l’élection. Il est d’autant plus crédible qu’un certain nombre de documents saisis par les enquêteurs confirmeraient les rendez-vous entre Claire Thibout et Patrice de Maistre, puis entre l’homme de confiance de la milliardaire et Eric Woerth. Interrogés à Nanterre, l’été dernier, les deux hommes avaient nié sans être davantage inquiétés. Il pourrait en aller tout autrement d’ici quelques semaines face aux magistrats bordelais. De la même façon, les magistrats s’intéressent à la remise de Légion d’honneur à Patrice de Maistre par Eric Woerth puis à l’embauche de l’épouse de celui-ci au sein du holding des Bettencourt. Là encore, les explications de Claire Thibout sont capitales, comme sa narration des incroyables pressions dont elle aurait fait l’objet. »

     

     Dans ce contexte, la mise en examen d’Eric Woerth apparaît inéluctable. Voilà qui a de quoi nous satisfaire, nous qui réclamons régulièrement dans ces colonnes Eric Woerth en prison© ! Mais de l’autre mise en examen qui se profile, nous n’aurions même pas osé rêver : voilà le tour du procureur Philippe Courroye, l’une de nos têtes de turc préférées, surnommé ici Courroye-de-transmission. Explications dans L’Express : « Mauvaise passe pour Philippe Courroye. Le procureur de Nanterre a été convoqué aux fins d’une mise en examen par une juge d’instruction parisienne. Sylvia Zimmermann veut l’entendre dans le cadre de l’enquête sur la violation du secret des sources de journalistes du Monde, qui enquêtaient sur l’affaire Bettencourt. A la suite d’une plainte du quotidien – qui s’est porté partie civile – la juge conduit une information judiciaire, notamment pour « atteinte au secret des correspondances par personne dépositaire de l’autorité publique dans l’exercice de ses fonctions ». La magistrate a déjà interrogé Patrick Nieto, enquêteur de l’Inspection générale des services (IGS) – dont les locaux ont été perquisitionnés ce mardi. Or l’audition de ce policier, dont Le Monde publie des extraits, se révèle compromettante pour Philippe Courroye. Le policier explique en effet que la surveillance téléphonique avait été menée par son service en 2010 à l’instigation du bureau de Philippe Courroye, qui « demandait très précisément les fadettes (factures détaillées) des deux journalistes » du quotidien. L’IGS a alors « rendu compte à sept reprises au parquet de Nanterre entre le 9 septembre et le 6 octobre 2010″ et « à chaque fois, les magistrats nous demandaient de pousser nos investigations », a expliqué le policier. » Nous y revoilà (bis). L’espionnage des journalistes, dénoncé vigoureusement à plusieurs reprises par plumedepresse , était bien une réalité. Comme l’instrumentation des services secrets aux fins de protéger la Sarkozie aux abois.
    Dans ce contexte déjà ô combien pesant, voilà France Info qui sort un scoop explosif : « Dans le volet financier de l’affaire dite de Karachi, le juge Renaud Van Ruymbeke aurait entre les mains un document qui permettrait de faire le lien entre la signature d’un contrat d’armement avec l’Arabie Saoudite en 1994 et le financement de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur, Premier ministre à l’époque. Selon nos informations, le juge du pôle financier serait tombé sur un document troublant : un échéancier de paiement qui accompagnait le contrat Sawari II, ce marché d’armement passé par le gouvernement Balladur avec l’Arabie Saoudite en décembre 1994. La France s’engageait à livrer des frégates aux Saoudiens dans un délai de deux ans. Un contrat juteux de 18 milliards de francs. Le juge aurait découvert que le ministère de la Défense aurait d’abord réclamé un acompte de 10 millions de francs à verser impérativement avant le 31 mars 1995 – soit avant le 1er tour de l’élection présidentielle. Selon une source judiciaire, le juge Van Ruymbeke aurait vérifié. L’Arabie Saoudite aurait bien effectué un virement de 10 millions (qui correspondrait à cet acompte) le 26 avril 1995. Troublante coïncidence : c’est à cette même date, le 26 avril, que 10 millions 250 mille francs ont été versés en espèces, au Crédit du Nord, sur le compte de l’Aficeb, l’Association pour le financement de la campagne d’Edouard Balladur. De l’argent à la provenance incertaine, même si les Balladuriens ont toujours évoqué les recettes de la vente de gadgets et de tee-shirts lors des meetings électoraux. » Ben voyons, des tee-shirts Balladur pour 10 millions de francs… Qui peut croire semblable baliverne ? Tout un symbole : la pitoyable défense des sarkozystes a toujours consisté à avancer des mensonges plus invraisemblables les uns que les autres. Mauvaise nouvelle pour le président si la justice cesse enfin de faire semblant d’y croire.

     

    Le tee-shirt est signé Echevin et publié sur Le Post.

    plumedepresse.net


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  • DEVISES/L'euro limite sa progression, marché prudent après le vote allemand

     

    source: http://www.romandie.com/news/n/DEVISESL_euro_limite_sa_progression_marche_prudent_apres_le_vote_allemand300920110609.asp 

     

    New York (awp/afp) - L'euro ralentissait sa progression jeudi face au dollar dans un marché qui, après avoir été soulagé par l'adoption par le Parlement allemand du renforcement du Fonds de secours européen (FESF), prenait conscience des obstacles restant à lever pour éloigner le péril de la dette.


    Vers 21H00 GMT (23H00 HEC), l'euro valait 1,3586 dollar.


    Bien qu'évoluant bien en deçà du 1,3680 dollar atteint en début d'échanges européens, il restait en nette hausse par rapport à la veille: l'euro valait 1,3536 dollar mercredi vers 21H00 GMT.


    L'euro freinait sa progression face à la monnaie japonaise, à 104,33 yens contre 103,60 yens mercredi soir.


    Le dollar montait face à la monnaie japonaise, à 76,79 yens contre à 76,53 yens mercredi soir.


    Les députés allemands ont approuvé à une large majorité le renforcement du fonds de secours anti-crise de la zone euro, le FESF, qui permet déjà à l'Irlande et au Portugal de se financer et doit servir de base au second plan d'aide à la Grèce.


    "Le vote en Allemagne avait été anticipé pleinement. C'était plus une étape de passage que quelque chose susceptible de changer énormément la situation", a remarqué Charles St-Arnaud, courtier chez Nomura.


    "Les investisseurs réalisent que les nouvelles mesures ne vont pas changer grand choses. Elles vont aider, mais elles ne vont pas faire la différence sur la capacité à aider des pays plus gros comme l'Espagne ou l'Italie", a-t-il ajouté.


    Par ailleurs, "on ne sait pas encore de manière précise quand voteront d'autres Etats de la zone euro comme Malte ou la Slovaquie. Cette incertitude sur la date (et l'issue) de ces votes devraient limiter tout rebond de l'euro dans les prochains jours", a remarqué Valentin Marinov, de Citi FX.


    Selon lui, "des retards pourraient exacerber les doutes de la capacité des responsables européens à gérer de façon décisive la crise des dettes", notamment à travers un nouvel élargissement du FESF.


    Evoquée lundi par un commissaire européen, l'idée d'un renforcement massif de ce Fonds avait été saluée par les marchés, et se trouvait confortée jeudi par le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, qui a estimé que "les règles (du FESF) n'étaient pas encore définitivement fixées".


    Le marché surveillait par ailleurs le retour des chefs de mission de la troïka (Union européenne, Banque centrale européenne et FMI) à Athènes, qui devrait ouvrir la voie au versement d'une nouvelle tranche du plan d'aide déjà accordé à la Grèce.


    "Alors que la menace d'un défaut de paiement plane toujours sur le pays, des fonctionnaires protestataires ont bloqué l'entrée de certains ministères, ce qui pourrait retarder l'audit prévu", ont observé les analystes de Rabobank.


    Enfin, les cambistes digéraient les chiffres encourageants du PIB américain au deuxième trimestre qui alimentaient un hausse des Bourses mais peinaient à redonner des couleurs à l'euro.


    Vers 21H00 GMT, le franc suisse baissait légèrement face à l'euro à 1,2195 franc pour un euro, mais progressait face au billet vert à 0,8977 franc pour un dollar.


    La livre britannique était stable face à l'euro à 86,97 pence pour un euro, et avançait face au dollar à 1,5618 dollar.


    La monnaie chinoise a terminé à 6,3974 yuans pour un dollar, contre 6,3940 yuans la veille.

    Cours de jeudi Cours de mercredi



    21H00 GMT 21H00 GMT



    EUR/USD 1,3586 1,3536



    EUR/JPY 104,33 103,60



    EUR/CHF 1,2195 1,2186



    EUR/GBP 0,8697 0,8688



    USD/JPY 76,79 76,53



    USD/CHF 0,8977 0,9001



    GBP/USD 1,5618 1,5578







    rp


    (AWP / 30.09.2011 06h21)


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  • BNS/Stocks d'or: diversification des risques, affirme M. Hildebrand

    source : http://www.romandie.com/news/n/BNSStocks_d_or_diversification_des_risques_affirme_M_Hildebrand300920110609.asp
    reprise de la veille


    Genève (awp/ats) - Interrogé sur la localisation des stocks d'or de la Banque nationale, Philipp Hildebrand a réaffirmé que la politique de la BNS et de ne pas dire où ils se trouvent. Il a en même temps confié que leur localisation est "choisie selon le principe de diversification des risques".


    En réponse à la question de savoir si ses stocks se trouvent aux Etats-Unis, le président de la BNS a affirmé que c'est "peut-être une hypothèse fausse". "Moi et mes deux collègues savent où ils se trouvent, mais la politique de la BNS est de ne pas le dire", a-t-il déclaré.


    Il a précisé qu'une partie de l'or est à l'étranger. "Le critère clé de la décision est le respect de la souveraineté des autres pays". "Dans chaque cas où on a de l'or à l'étranger, le pays où il se trouve a une longue tradition de respect de la souveraineté de la Suisse", a assuré Philipp Hildebrand.


    ats/rp

     

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    Bizarre, j'ai plus tendance à ne pas croire ce genre de type.... Alors il est où l'OR mon SEIGNOR ?

     

    nerv-yoko

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    (AWP / 30.09.2011 06h21)


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    UN CHARNIER D'OS DE CHAMEAUX ANTI KADHAFI A ETE DECOUVERT A TRIPOLI , MEME LES ANIMAUX N'ONT PAS ECHAPé A LA TYRANNIE


    Mass Grave of Abou Salim Contains Camel Bones... par starninja

     

     

     

     

     


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