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    Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique Mohamed ElBaradei dément l'acquisition de la bombe nucléaire par l'Iran

    source: Alterinfo

    Lundi 05 Octobre 2009

     

     

     

    Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique Mohamed ElBaradei, qui s'est entretenu avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad à Téhéran, a démenti, dimanche, des informations du New York Times, selon lesquelles l'AIEA disposait d'un document confidentiel prouvant que l'Iran avait acquis "suffisamment de connaissances pour pouvoir élaborer et fabriquer" une bombe atomique "fonctionnelle". 

    M. ElBaradei, a par ailleurs, précisé que les inspecteurs de l'AIEA allaient pouvoir visiter le nouveau site d'enrichissement d'uranium, près de Qom (centre).


    "Il est important de nous assurer que celle-ci (l'usine) est construite pour des raisons pacifiques". "Ce réacteur est destiné à produire des isotopes médicaux pour les malades atteints de cancer", a souligné Mohamed ElBaradei.

    Par ailleurs, il a annoncé que l'Iran, les Etats-Unis, la France et la Russie se réuniraient le 19 octobre à Vienne pour discuter des possibilités de faire enrichir l'uranium iranien par un pays tiers, comme le demande Téhéran.
    "Le cas de l'Iran peut être réglé par le dialogue, a dit M. ElBaradei. A présent, nous passons de la confrontation à la coopération et je demande à l'Iran de maintenir sa transparence", a encore dit, le chef de l'AIEA.
    "Nous sommes à présent sur une voie adéquate. L'agence, la communauté internationale et l'Iran ont commencé des discussions constructives", a-t-il poursuivi.

    De son coté, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, a affirmé que "grâce à la bonne coopération entre l'Iran et l'Agence, des questions importantes ont été résolues et il n'y a plus de question ambiguë entre l'Iran et l'Agence".
    Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Hassan Ghashghavi, a pour sa part affirmé, ce lundi, que M.ElBaradei, avait "salué" la coopération de l'Iran dans le domaine nucléaire.

    "Il n'y a pas de prolongement militaire des activités nucléaires iraniennes. Comment pourrions nous prouver l'inexistence de quelque chose?", a déclaré par ailleurs M. Ghashghavi, démentant une nouvelle fois objectif militaire du programme nucléaire iranien. "Cela ne peut être prouvé. Il n'y a pas d'arme nucléaire" en Iran, a-t-il ajouté.


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  • Bombe iranienne: Washington dément des informations du New York Times

    source: Alterinfo

    Lundi 05 Octobre 2009

     

     

    Le conseiller américain pour la sécurité nationale, le général James Jones, a démenti un article du New York Times évoquant que l'Iran a désormais suffisamment de connaissances "pour pouvoir élaborer et fabriquer" une bombe atomique "fonctionnelle". 

    Interrogé sur la chaîne de télévision CNN sur la question de savoir si Téhéran était plus proche qu'on ne pensait de pouvoir fabriquer une bombe atomique, le général Jones a répondu: "Non, nous nous en tenons aux rapports que nous avons publiés".

    "On va voir circuler beaucoup de spéculations dans un sens ou dans un autre", a relevé le conseiller du président Barack Obama, préférant insister sur l'évolution "très importante" du dossier nucléaire iranien au cours des toutes dernières semaines, notamment l'annonce d'une visite des inspecteurs de l'AIEA sur le site de Qom prévue le 25 octobre.

    "Ce que nous surveillons, ce sont leurs intentions", a déclaré le général Jones, interrogé sur le même sujet par la chaîne CBS.

    L'Iran a figuré en bonne place des débats politiques du dimanche matin sur les chaînes de télévision américaines, plusieurs parlementaires appelant à des sanctions contre Téhéran ou même à des frappes militaires.

    Le sénateur républicain, Lindsey Graham, a prôné une opération militaire des Etats-Unis contre l'Iran si les sanctions ne fonctionnent pas, afin de ne pas en laisser la charge à "Israël".

    "Une attaque israélienne contre l'Iran serait un cauchemar pour le monde car le monde arabe se rallierait à l'Iran", a-t-il estimé. "Je ne veux pas qu'"Israël" porte ce fardeau".

    Evoquant une intervention militaire "en dernier ressort", le sénateur a souhaité qu'elle frappe non seulement les installations nucléaires iraniennes mais aussi la capacité militaire de ce pays "avant qu'il ne détienne" l'arme atomique.

    Pour le sénateur démocrate Evan Bayh, "les Iraniens auront la bombe atomique si rien ne les fait changer d'avis. Il faut des sanctions sévères et il les faut maintenant", a-t-il lancé.

    Son collègue républicain Saxby Chambliss a estimé que des pourparlers avec l'Iran seraient plus efficaces avec de nouvelles sanctions déjà en place. "Imposons des sanctions. Rassemblons nos alliés et disons que c'est ce que nous allons faire", a suggéré ce sénateur.


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  • "Israël": un ministre renonce à se rendre à Londres de crainte de poursuites

    source: Alterinfo

    Le vice-Premier ministre israélien Moshe Yaalon a dû renoncer à se rendre à Londres de crainte de poursuites pour "crime de guerre" lorsqu'il était chef-d'état major entre 2002 et 2005, a-t-on appris lundi auprès de son porte-parole. 

    Yaalon, chargé des Affaires stratégiques, devait participer à un dîner de collecte de fonds en faveur des soldats israéliens.

    Le département juridique du ministère israélien des Affaires étrangères a déconseillé ce voyage à l'ex chef d'état-major étant donné le risque qu'un tribunal britannique ordonne son arrestation, selon cette source.

    Yaalon était chef d'état-major lorsqu'un appareil F16 de l'armée de l'air a largué une bombe d'un tonne à Gaza, tuant quatorze civils dont une femme et huit enfants, ainsi qu'un responsable du Hamas, le 22 juillet 2002.

    Yaalon avait déjà été contraint de renoncer à un voyage en Grande-Bretagne en 2005 après qu'un mandat avait été délivré par un juge britannique à la demande d'un cabinet juridique de Londres, spécialisé dans la défense des droits de l'homme, contre un autre haut gradé en poste à l'époque, le général de réserve israélien Doron Almog.


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  • Condamnations unanimes dans les territoires palestiniens après l’ajournement du vote sur le rapport Goldstone

     

    Dans un communiqué, le mouvement du Hamas a condamné l’ajournement du vote sur le rapport Goldstone qui accuse le régime israélien de crimes de guerre et crimes contre l’humanité durant « la guerre agressive menée contre notre peuple palestinien de la bande de Gaza, à la fin de l’année 2008. Cet ajournement représente un réel scandale pour la communauté internationale dans le domaine des droits de l’homme, l’homme en général et l’homme palestinien en particulier ».

     
    Le comité des droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies a décidé de remettre au mois de mars de l’année prochaine 2010 le vote sur le rapport de Goldston qui accuse le régime israélien d'usage disproportionné de la force et d'avoir pris des civils pour cible lors de son offensive meurtrière de trois semaines.

    Celui-ci recommande de demander au Conseil de sécurité de saisir le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI) si aucun progrès n'est réalisé d'ici six mois dans les enquêtes menées par les autorités israéliennes et les autorités de la bande de Gaza, contrôlée par le Hamas.

    « Notre peuple sans arme est le sujet d’un terrorisme prémédité et systématique des plus affreux de la part de l’occupation israélienne. Les occupants israéliens vont loin dans leurs crimes, en comptant sur la communauté internationale qui n’assume pas ses devoirs. Tout cela met un grand point d’interrogation sur la crédibilité des Nations Unies » dénonce le communiqué.

    Ismaïl Haniyeh, a dénoncé dimanche la décision de l'ONU de reporter la discussion sur le rapport Goldstone sur la guerre à Gaza, accusant l'Autorité palestinienne d'en être responsable.

    "La décision prise par Ramallah (l'Autorité palestinienne) de retirer le rapport Goldstone était imprudente et irresponsable", a déclaré Ismaïl Haniyeh, estimant que l'on "vend(ait) le sang des enfants de Gaza".

    La position du gouvernement de Abbas a provoqué des remous au sein même de l'Autorité palestinienne, dont le ministre palestinien de l'Economie, Bassem Khouri, a démissionné samedi de ses fonctions, jugeant que la délégation palestinienne au Conseil des droits de l'Homme de l'ONU avait manqué de fermeté.

    Selon la presse internationale, la délégation palestinienne a cédé à la pression de Washington et fini par accepter ce report bien qu'elle ait estimé que le document "rapporte des faits incontestables".

    Les Etats-Unis se sont opposés à un projet de résolution reprenant à son compte les recommandations de la mission Goldstone".


    L'offensive israélienne contre la bande de Gaza, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009, a fait plus de 1.400 morts palestiniens, en majorité des civils, selon des sources médicales palestiniennes tandis que l’on compte 8 victimes côté israélien.

    Le rapport, rédigé par le très respecté juge Richard Goldstone va désormais rester dans les cartons pendant au moins six mois, au lieu d'être transmis à l'Assemblée générale de l'ONU actuellement en session, assorti d'éventuelles recommandations.

    A Gaza, pendant ce temps, des manifestations de condamnation ont eu lieu samedi, des centaines d'étudiants séchant les cours pour défiler dans la ville, tandis que des Gazaouis blessés dans l'offensive israélienne, dont des amputés ou des personnes en fauteuil roulant, tenaient une conférence de presse. "Nous considérons que c'est une grande trahison du sang de nos martyrs et de nos enfants blessés", ont-ils déclaré.


    http://www2.irna.ir/fr/


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  • Recep Tayyip Erdogan prône un débat international sur l'arsenal nucléaire du régime israélien

    source : Alterinfo

    Lundi 05 Octobre 2009

     

     

    Le premier ministre turc prône un débat international sur l'arsenal nucléaire du régime israélien. 


    Recep Tayyip Erdogan, a déclaré, samedi, lors du IIème Congrès de son Parti, "Justice et Développement", que si la question nucléaire iranienne faisait l'objet d'un débat, sur la scène internationale, il faudrait en faire autant sur les armes nucléaires du régime israélien.


    "La Turquie réclame une politique basée sur davantage de justice dans le monde, et si l'on évoque les armes à destruction massive, on devrait, aussi, parler des bombes à phosphore utilisées, par le régime israélien à Gaza", a-t-il dit.

    Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, a affirmé l’opposition de son pays à la prolifération des armes nucléaire dans la région du Moyen-Orient, précisant que le régime israélien est le seul pays dans la région qui possède l’arme nucléaire.
    M. Erdogan a indiqué que le monde doit être juste s’il désir que la paix règne, soulignant que l’Iran n’a rien fait tandis que le régime israélien a perpétré des crimes à Gaza.


    Il a qualifié de folie tout acte militaire contre l’Iran, soulignant qu’on doit tirer une leçon de l’invasion américaine contre l’Irak où une civilisation entière a été anéantie et plus d’un million d’Irakien ont été tués.


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