•  

    Sarkozy demande un sommet extraordinaire de l'UE pour couronner Blair

     

    source: Alterinfo

    Le leader Français, Nicolas Sarkozy, demande un sommet spécial de l'UE le mois prochain, pour couronner Tony Blair en tant que premier Président de l'Europe.  

    M. Sarkozy invite les autres leaders à agir rapidement pour donner à l'ancien Premier Ministre le nouveau poste puissant.

    La nouvelle a vu le jour alors que des sources diplomatiques indiquaient que le Président Américain, Barack Obama, seraient « heureux » de voir M. Blair occuper le poste.

    Le plan pour le couronner, au un sommet de l'UE à Bruxelles la semaine prochaine, a été saboté par le Président tchèque Vaclav Klaus, dû à son refus de signer le Traité de Lisbonne. Mais les dirigeants de l'UE sont confiants que M. Klaus l'approuvera finalement au courant du mois prochain.

    M. Sarkozy a indiqué qu'ils devraient immédiatement organiser un sommet pour révéler le nouveau président - avec M. Blair comme grand favori pour gagner la course.

    Une source a indiqué : « Sarkozy veut une décision rapide la dessus et demande la tenue d’un unique sommet au milieu du mois prochain pour que cela soit fait. »

    Gordon Brown - qui soutient la candidature de M. Blair – soutient aussi l'idée de tenir un sommet la dessus.

    Le Président Français craint que s'ils attendent jusqu'à la prochaine réunion officielle de l’UE en Décembre, la nomination sera éclipsée par le sommet global sur le changement climatique à Copenhague.

    Les Conservateurs avertissent que l'ex-Premier Ministre pourrait être happé par l'enquête officielle sur la guerre d'Irak, quelques semaines après son entrée en poste.

    Traduction Alter Info


    http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/2694123/Sarkozy-demands-summit-to-crown-Blair-EU-President.html

    ----------------------------

    Rappelez vous on en parlait il y a deja quelques semaines qu"'ils" allaient mettre ce génocideur de Blair au pouvoir pour la présidence de UE, mais comme l'a si bien dit le pere d'une victime de la guerre génocide-invasion irakienne par les occidentaux, n'oublions pas qu'il a "les mains tâchées de sang".

    Nervyoko

    ----------------------------

     


    votre commentaire
  • Lobby CRIF AIPAC... au travail...en amérique et en europe:

    sources:

    http://www.planetenonviolence.org/Fonctionnement-D-AIPAC-Vu-De-L-interieur-AIPAC,-Un-Etat-Etranger-Dans-L-Etat-Americain_a2041.html

    http://www.voltairenet.org/article162621.html 

    Fonctionnement D’AIPAC Vu De L’intérieur – AIPAC, Un Etat (Etranger) Dans L’Etat Américain Jeudi 22 Octobre 2009 source : planetenonviolence

    Dans un article publié dans The Nation/Edition du 2 Novembre, intitulé «Confessions of an AIPAC Veteran» d’Helena Cobban, Tom Dine, ancien directeur du puissant lobby sioniste à Washington lui révèle comment celui-ci fonctionne. Le Congrès Juif Européen s’installe à Bruxelles pour faire du Lobbying intensif en faveur d’Israël.

    Dans les années 80, Helena Cobban et Tom Dine alors directeur d’AIPAC étaient deux adversaires acharnés la première essayant de convaincre les responsables politiques de Washington que les Palestiniens étaient des gens comme les autres et qu’il fallait discuter avec leurs dirigeants alors que le second s’évertuait à les diaboliser et saper la carrière politique de quiconque ne soutenait pas inconditionnellement Israël.

    C’est ce qui est arrivé en 1982 au Sénateur de l’Illinois, Paul Findley, un vétéran de la politique américaine qui 4 ans auparavant avait rencontré le dirigeant de l’OLP, Yasser Arafat, obtenant de lui un document soutenant la solution à deux états, une «de facto reconnaissance d’Israël » selon Findley. AIPAC a financé la campagne de son adversaire afin de faire un exemple, que les membres du Congrès comprennent qui était le maître à bord, et qu’ils leurs fallait suivre inconditionnellement sa position pro israélienne ou risquer une fin de carrière politique anticipée.

    Dine a aussi révélé à Cobban qu’il a passé des samedis matin entier à discuter en privé, sans qu’aucun aide ne soit présent, avec le Secrétaire d’Etat sous Reagan, George Shultz, parlant d’aspects vitaux de la politique étrangère US au Moyen Orient, notamment des ventes d’armes.

    L’interview de Tom Dine par Helen Cobban s’est passée à Damas ou ce dernier - qui a quitté la direction d’AIPAC en 1993, après 13 ans de bons et loyaux services, et s’est significativement rapproché du camp de la paix, collaborant récemment avec l’ Israel Policy Forum (IPF) une organisation qui soutien la solution à deux états -œuvre actuellement à un rapprochement US –Syrie.

    Tome Dine, né en 1940 à Cincinnati, diplômé de l’UCLA en histoire de l’Asie du Sud, a été assistant de l’ambassadeur US à New Dehli pendant deux ans, puis de retour à Washington a travaillé pour le Sénateur Frank Church pendant 5ans, 4 ans pour le Senate Foreign Relations Committee sous Edmund Muskie, et un an pour Ted Kennedy. « Avec Ted Kennedy, j’étais supposé m’occuper de politique de défense, mais en réalité j’orchestrais les efforts pour lui rallier les votes juifs » a-t-il expliqué.

    Lorsqu’en 1979 Kennedy a lancé sa campagne pour la présidentielle, se présentant pour les primaires démocrates contre le président Jimmy Carter, Dine a travaillé dur pour Kennedy. «C’est au cours de cette campagne que j’ai rencontré la communauté juive organisée… Ils étaient les rois de la ville ! ». En Mars 1980, Kennedy a obtenu une victoire surprise aux primaires de New York. Le soutien obtenu auprès de la communauté juive y était pour beaucoup, ce d’autant plus que l’ambassadeur US de l’Administration Carter à l’ONU n’avait pas réussi à protéger Israël d’un vote du Conseil de Sécurité dénonçant la colonisation en Cisjordanie. C’est à ce moment là que le conseil d’administration d’AIPAC a offert à Dine le poste de directeur exécutif.

    Dine pensait que le style de son prédécesseur à la tête d’AIPAC, Morris Amitay, était trop arrogant. Il voulait reprendre le comportement plus discret adopté dans les années 50 par le fondateur d’AIPAC, Isaiah « Si » Kenen. Néanmoins Dine a reconnu avoir «donné à AIPAC une visibilité. Vous ne pouvez pas développer une institution sans que les gens ne la connaissent.» En 1981 il a livré une bataille acharnée pour bloquer la vente d’avions AWACS à l’Arabie Saoudite que l’Administration Reagan avait proposée. Il a failli perdre cette bataille, mais a réussi à convaincre George Shultz alors secrétaire d’état, de l’inutilité d’une telle confrontation et obtenu d’avoir des discussions en tête à tête les samedi matin. « Nous parlions des futures vente d’armes, de sorte que nous n’ayons plus à nous trouver dans une telle situation de confrontation, c’est une des meilleurs choses qui me soit arrivé, cette association avec George Shultz » a dit Dine. Questionné sur le fait qu’il ait pu discuter de projets de ventes d’armes avec des responsables israéliens avant de se rendre à ces tête à tête avec Shultz, Dine a répondu : « parfois oui, parfois non. Mais certainement avec des personnes au sein de l’exécutif et à Capitol Hill que je respectais. »

    Dine avait selon lui quatre objectifs quand il a pris la tête d’AIPAC :

    1. Personnellement il voulait diriger une organisation
    2. Il voulait stimuler la participation juive dans la vie politique américaine comme cela ne s’était pas vu auparavant
    3. Il avait toujours considéré les relations US-Israël comme précaires…et voulait les étoffer, les rendre plus proches et plus fortes.
    4. « Si vous les rendez proches et fortes et que vous accroissez la participation politique juive…alors Israël peut prendre le risque de faire la paix »

    Les effets de la campagne de Dine pour stimuler la participation juive dans la politique US se sont vite faits sentir aux Etats Unis. Findley n’était pas le seul sénateur qui, ayant dépassé la ligne rouge tracée par AIPAC s’est retrouvé avec un adversaire soutenu financièrement par le réseau national de contributeurs de Dine/AIPAC. Après avoir perdu sa réélection en 1982, Findley a publié un livre «They Dare to Speak Out : People and institutions Confront The Israel’s Lobby ». Le livre détaille les campagnes menées par AIPAC au début des années 80 qui, selon Findley, ont conduit à la défaite d’autres candidats aux postes de Sénateurs, tels Charles Percy et Adlai Stevenson III.

    Tous les amis et ennemis d’AIPAC reconnaissent que sa puissance se manifeste activement au niveau du Congres. Au Congres, l’AIPAC déploie un réseau de supporters soutenant inconditionnellement Israël qui ont construit au préalable des relations avec des personnalités politiques dont la carrière est en phase ascendante ou qui va le devenir. Ils notent assidument toutes les actions et attitudes manifestées à l’égard des préoccupations d’AIPAC. Au QG d’AIPAC, ils apportent leur aide à ce processus en distribuant des informations sur comment chaque Sénateur a voté sur des sujets d’intérêt pour AIPAC. En 1982, Dine a embauché M.J Rosenberg pour être le distributeur en chef de ces informations en éditant un bi hebdomadaire « Near East Report » qu’AIPAC envoie à tous les membres et supporters.

    Dine a également passé durant ces années au service d’AIPAC de longs moments à discuter avec le premier ministre israélien Isaac Rabin. «Ce n’est pas un secret qu’il était alcoolique- - ou qu’il aimait bien boire. J’avais l’habitude de lui acheter son Johnny Walker Red. Il buvait une bouteille d’un trait. Les meilleures conversations que j’ai eu avec lui c’était dans les années 80 alors qu’il n’occupait plus de fonction politique, des conversations à un niveau intellectuel profond. La majeure partie de ces discussions portaient sur la défense d’Israël. La première Intifada a été un tournant pour lui quand il est revenu au pouvoir (comme premier ministre) en 1992, il était prêt pour la paix ».

    Dans la communauté juive pro sioniste américaine, la victoire de Bill Clinton en 1992 a été accueillie avec enthousiasme. Clinton venait de battre Bush père quelques mois après que celui-ci ait osé lier l’octroi d’un emprunt de 10 milliards de $ au gel des constructions dans les colonies israéliennes en Cisjordanie occupée. De plus, Clinton avait un grand nombre de conseillers pro-sionistes. Son premier responsable pour les questions du Moyen Orient au Conseil National de Sécurité était Martin Indyk, un australien rapidement naturalisé américain qui avait été vice directeur de recherche d’AIPAC avant de le quitter en 1985 pour fonder une boîte à penser très pro Israël, Le Washington Institute for Near East Policy.

    Mais pendant la période Clinton, Dine n’a pas fait long feu. En 1993, il a du démissionner après qu’un journaliste israélien ait publié un livre dans lequel il était cité disant : «je ne pense pas que le commun des Juifs se sente à l’aise avec les ultras orthodoxes …Leur image sent mauvais». C’est Steve Rosen qui a orchestré son limogeage, selon Dine, lui étant plutôt libéral alors que Rosen est un Likudnik. Plus tard, Rosen a lui aussi été limogé d’AIPAC après avoir été accusé d’espionnage pour le compte d’Israël en 2005.

    Après son éviction d’AIPAC, Dine est devenu président de Radio Free Europe/Radio Liberty, une radio financée par le gouvernement US et dont les principales activités sont de déverser sur les ondes la propagande américaine. Il a fait de RFE/RL le bras « soft » de la propagande US dans les pays musulmans, mais aussi en Europe de l’Est, où elle émet des Balkans jusqu’en Afghanistan. Il a passé 8 ans au QG de RFE/RL à Prague.

    En 2007 il est retourné à Washington et est devenu haut conseiller politique pour l’Israël Policy Forum de tendance libérale sioniste. En 2008, l’organisation Search for Common Ground basée à Washington cherchait à recruter quelqu’un pour diriger un projet pour améliorer les relations US Syrie. Dine a fait acte de candidature et depuis il s’est rendu 4 fois en Syrie.

    Mais malgré cette « ouverture » en direction de pays « ennemis » de l’état sioniste, Dine reste proche de la position traditionnelle d’AIPAC : soutien inconditionnel à Israël. Questionné sur le fait que résoudre le conflit israélo palestinien était dans l’intérêt des Etats Unis, au lieu de répondre à cette question il a expliqué pourquoi le résoudre était dans l’intérêt d’Israël.

    On évoque souvent dans le cas des Sionistes juifs américains le problème de double allégeance. Pour ce qui est de Dine, et de tout ceux qui soutiennent et agissent pour le compte d’AIPAC, la question ne se pose pas. Ils agissent d’abord et exclusivement pour satisfaire les intérêts du régime sioniste. Cela vaut aussi pour les pro-sionistes qui s’activent dans les hautes sphères politiques en Europe.

    Pour mieux défendre les intérêts du régime sioniste le Congrès Juif Européen ouvre un bureau à Bruxelles

    Récemment, le Congrès Juif Européen a ouvert un bureau permanent à Bruxelles pour, selon ses dires, «encadrer le conflit israélo arabe». Sous couvert de « combat contre l’antisémitisme et de défense des causes juives » c’est à un véritable Lobbying intensif auquel veut se livrer le CJE. Selon son président, Moshé Kantor, le nouveau bureau de Bruxelles (de facto capitale de l’Union européenne) situé Porte de Namur, permettra au CJE de mener «un travail constant et quotidien auprès des parlementaires européens, de rendre visite à des personnalités politiques, et à d’autres groupes de Lobbying». Le bureau du CJE (EJC en anglais) Bruxelles a 4 employés qui vont prendre le relais du bureau de Paris, qui lui emploie 6 personnes, afin de défendre sur place la position d’Israël auprès de l’UE.
    L’inauguration de ce bureau de Lobbying sioniste a donné lieu à une cérémonie où on a pu croiser le président de la commission européenne, Jose Manuel Barroso, et celui du parlement européen, Jerzey Buzek.

    Au menu du Lobbying, l’Iran et son programme nucléaire. Mais c’est le rapport Goldstone qui a suscité le lancement d’une première campagne de Lobbying intense, le CJE/EJC faisant pression avant son vote au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU à Genève pour que les pays européens votent contre.

    Le message distillé à Bruxelles et Paris a été reçu 5 sur 5 par la Sarkosie qui a refusé de participer au vote, une manière de cracher sur ce qui a fait la réputation de la France à l’étranger : la défense des droits de l’homme.

    ---------------------------------------------------------------------

     

    Solana : « Israël est un membre de l’Union européenne »

    source: http://www.voltairenet.org/article162621.html

     

    Pour la seconde année consécutive, le président d’Israël, Shimon Peres, a convoqué une imposante conférence, Facing Tomorrow (Jérusalem, 20-22 octobre 2009). Plus de 3 500 personnes y sont inscrites.

    Parmi les orateurs, on relève l’écologiste britannique Baron David Mayer de Rothschild ; le président de Skype Josh Silverma ; le fondateur de Wikipedia Jimmy Wales ; le maître spirituel indien Sri Sri Ravi Shankar (qui enseigne la méditation transcendantale aux dirigeants irakiens), ou le directeur de Publicis Maurice Lévy.

    La liste des orateurs politiques comprend notamment Susan Rice (ambassadrice des États-Unis à l’ONU), Ivanov Gjorgje (président de Macédoine), Stjepan Mesi (président de Croatie), Radoslaw Sikorski (ministre polonais des Affaires étrangères), José María Aznar (ancien Premier ministre d’Espagne), Tony Blair (ancien premier ministre du Royaume-Uni), Leonid Kuchma (ancien président d’Ukraine). La France est représentée par Anne-Marie Idrac (ministre du Commerce extérieur).

    C’est la table ronde « Changer la crise en opportunité », à laquelle participaient le spécialiste de l’intelligence artificielle Raymond Kurzweil (membre de l’US Army Science Advisory Board), l’essayiste français Bernard-Henry Lévy, la juriste Ruth Gavinson (ex-membre de la Commission Winograd) et le diplomate Javier Solana (ancien secrétaire général de l’OTAN et actuel haut représentant de l’Union européenne), qui a suscité la surprise.

    M. Solana, très en forme, a déclaré : « Israël permettez-moi de le dire, est un membre de l’Union européenne sans être membre de ses institutions ». M. Solana a poursuivi en notant qu’Israël est « partie prenante à tous les programmes de l’Union » et apporte un haut savoir-faire dans les technologies de pointe.


    Il a souligné qu’aucun des États en cours d’adhésion à l’Union n’a de relation aussi étroite avec l’Union qu’Israël, bien que cet État n’ait jamais été candidat à entrer dans l’Union. Il a assuré l’auditoire que Bruxelles faisait son possible dans le dossier iranien. Enfin, il a conclu que la lenteur du processus de paix israélo-palestinien n’était pas imputable à Israël, mais à un simple problème de méthodologie.
     

    ----------------------------------------

    Les lobbies sont les parasites de la democratie, de la libre expression et de la liberté de penser! du moins ce n'est que mon avis! Et encore, je ne parle pas des lobbies pharmaceutiques... vous avez les exemples parfait avec notre ministre roseline Bachelot et la Sarkosie qui achetent pour 1 milliards d'€uros de vaccin à la con pour une soit disant pandémie qui est plus pour moi une connerie médiatique, la pandémie de la télé-presses-des-cons! Apres 4 vaccins, finallement, 1 seule dose suffit... ils vous prennent pour des cons, ça c'est une certitude!

    nervyoko

    ----------------------------------------

     


    votre commentaire
  •  

    les USA semblables aux pays du Tiers Monde

    source: Alterinfo

     

    Les Etats-Unis ont toutes les caractéristiques d'un État en échec.

     

    Le budget de fonctionnement actuel du gouvernement Américain dépend des financements étrangers et de la création de monnaie.

    Trop faible politiquement pour pouvoir avancer ses intérêts par la diplomatie, les USA comptent sur le terrorisme et l’agression militaire.

    http://www.reuters.com/article/newsOne/idUSTRE59H0AH20091019


    http://news.antiwar.com/2009/08/25/top-jundallah-figure-says-us-ordered-attacks/


    http://www.cnn.com/2009/WORLD/meast/10/18/iran.suicide.attack/index.html

    Les dépenses sont hors de contrôle, et les priorités sont biaisées dans l'intérêt de riches groupes organisés, aux dépens de la grande majorité des citoyens. Par exemple, la guerre à tout prix, qui enrichit l'industrie de l'armement, les corps d’officiers et les sociétés financières qui profitent de la manne de la guerre, prend le dessus sur les besoins des citoyens Américains. Il n'y a pas d’argent pour aider les personnes qui n’ont pas d’assurance santé, mais les hauts fonctionnaires du Pentagone ont indiqué au sous-comité de crédits pour la défense à la Chambre des Représentants, que chaque gallon d'essence livré aux troupes US en Afghanistan coûte $400 au contribuable Américain.

    http://rawstory.com/2009/10/us-pays-400-per-gallon-for-gas-in-afghanistan/

    « On ne realise pas le prix que cela coûte et c’est très inquiétant, » a dit le Républicain, John Murtha, Président du sous-comité.


    http://thehill.com/homenews/administration/63407-400gallon-gas-another-cost-of-war-in-afghanistan-


    Selon certains rapports, les Marines US en Afghanistan utilisent 800.000 gallons d'essence par jour. À $400 par gallon, cela donne une facture quotidienne en carburant de $320.000.000 pour les seuls Marines. Seul un pays totalement hors de contrôle gaspillerait les ressources de cette façon.

    Tandis que le gouvernement Américain gaspille $400 par gallon d'essence afin de tuer des femmes et des enfants en Afghanistan, plusieurs millions d'Américains ont perdu leurs travails et leurs maisons et éprouvent le genre de misère que vivent au quotidien les pauvres populations du tiers monde. Il y a des Américains qui vivent dans leurs voitures et dans les parcs publics. Les métropoles, les villes, et les Etats de l'Amérique souffrent des coûts des dislocations économiques et de la réduction des recettes fiscales, due au déclin de l'économie. Malgré cela, Obama envoie encore plus de troupes en Afghanistan, un pays de l’autre côté du globe qui n'est même pas une menace pour l'Amérique.


    http://www.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2009/10/17/budget_misery_grows_for_cities_and_towns/


    Cela nous coûte $750.000 par an et par soldat présent en Afghanistan. Les soldats, qui risquent leur vie, perçoivent un faible salaire, alors que l’argent coule à flot pour tous les services privatisés aux militaires. Une des plus grandes fraudes perpétuées sur le dos du peuple Américain est la privatisation des services que l’armée US gérait traditionnellement en interne. « Nos » dirigeants élus ne ratent pas une occasion de taxer les richesses du contribuable et réutiliser ces fonds comme contribution à leurs campagnes.

    Républicains et Démocrates, sous l’emprise des compagnies d'assurance privées, maintiennent que les USA ne peuvent pas se permettre de fournir aux Américains des soins de santé et que des coupes doivent être faites même dans la Sécurité Sociale et l'Assurance Maladie. Alors comment les USA peuvent-ils se ruiner avec autant de guerres, des guerres d’autant plus injustifiées qu’elles ne servent aucun intérêt Américain ?

    L'énorme masse d'emprunts étrangers et de création d’argent, nécessaire pour financer les guerres de Washington, envoient le dollar à des niveaux historiquement bas. Le dollar a même largement décliné face à des devises de pays du tiers monde tels que le Botswana et le Brésil. Le déclin de la valeur du dollar réduit le pouvoir d'achat des revenus déjà en baisse des Américains.

    En dépit du plus faible nombre de chantiers en 64 ans, le marché de l’immobilier Américain croule sous les maisons invendues, et les institutions financières ont un inventaire énorme et qui ne cesse de grimper, de maisons hypothéquées pas encore sur le marché.

    La production industrielle s'est effondrée au niveau de 1999, balayant une décennie de croissance du rendement industriel.

    Les énormes fonds de réserves des banque créés par la Reserve Fédérale n’arrivent pas jusqu’à l'économie. Au lieu de cela, les banques amassent les réserves comme assurance contre les dérives frauduleuses qu'elles achètent auprès des escrocs des banques d'affaires de Wall Street.

    Les organismes de régulation ont été corrompus par les intérêts privés.
    Le journal Frontline signale qu'Alan Greenspan, Robert Rubin, et Larry Summers ont empêché Brooksley Born, chef de la Commission du Commerce des Produits Futurs, de réguler les dérives. Le Président Obama a récompensé Larry Summers pour son idiotie en le nommant Directeur du Conseil Economique National.
    Ce que cela signifie est que Wall Street continuera à pomper ses bénéfices sur le dos de l'économie agonisante des Etats-Unis.

    http://www.pbs.org/wgbh/pages/frontline/warning/

    Un des signes incontestables du despotisme dans le tiers monde est d’avoir une police qui voit le peuple comme son ennemi. Grâce au gouvernement fédéral, nos forces de police locales sont maintenant militarisées et endoctrinées pour avoir un comportement hostile envers le peuple. Les groupes des forces spéciales, tels le SWAT, prolifèrent, et même les petites villes ont maintenant des forces de police disposant d’une puissance de feu similaire à celle des forces spéciales US. Les sommations sont de plus en plus délivrées par les équipes du SWAT qui tyrannisent les citoyens en défonçant leurs portes, ce qui revient en plus à $400 ou $500 de réparation pour le résidant tyrannisé. Récemment un Maire et sa famille ont été victimes de l'incompétence des groupes d’interventions de leur propre ville, qui par erreur, ont détruit la maison du maire, terrorisé sa famille, et tué les 2 sympathiques Labradors de la famille.

    http://www.google.com/search?q=Cheye+Calvo++site:reason.com


    http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2009/09/17/AR2009091701680.html


    http://reason.com/blog/2008/07/31/mayors-dogs-killed-in-drug-rai

    Si le maire d'une ville peut être traité de cette façon, que pensez-vous du sort réservé au pauvre citoyen lambda, qu’il soit blanc ou noir ? Ou de l'étudiant utopiste qui proteste contre l'inhumanité de son gouvernement ?

    Dans tout Etat défaillant, la plus grande menace pour la population vient du gouvernement et de la police. C'est certainement la situation aujourd'hui aux Etats-Unis. Les Américains n'ont pas de plus grand ennemi que leur propre gouvernement. Washington est contrôlé par des groupes d'intérêt qui s'enrichissent aux dépens du peuple Américain.

    http://www.prisonplanet.com/us-joins-ranks-of-failed-states.html



    votre commentaire
  •  

    Netanyahu interdit à Kouchner de rentrer dans Gaza

     

    source :Alterinfo

     

    Malgré tous les bons et loyaux services rendus depuis tant d’années par Kouchner à la cause sioniste, il apparaît que Netanyahu n’a pas digéré le refus par la France de prendre part au vote sur le rapport Goldstone lors de la réunion de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies

    The Palestine Telegraph Jeudi 22 Octobre 2009

     Fervent sioniste, Kouchner va là où se trouvent le pouvoir et l’argent... Il avalera sans problème cette rebuffade

     

    Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a rejeté une demande présentée par le ministre français des affaires étrangères, Bernard Kouchner, pour se rendre dans la bande de Gaza.

    Kouchner avait l’intention de se rendre très prochainement en Israël et en Cisjordanie, et il avait l’espoir d’être autorisé à entrer dans la bande de Gaza.

    Le journal israélien Haaretz, a rapporté que Netanyahu avait envoyé une lettre à Kouchner, lui disant qu’il ne pouvait pas donner une suite favorable à sa demande.

    Netanyahu a affirmé que le Hamas serait le bénéficiaire de cette visite, et s’en servirait pour attirer l’attention sur ce qui s’est passé pendant la guerre.

    Kouchner voulait se rendre à Gaza pour voir les travaux de l’hôpital d’Al Qods, dont la construction se fait en coopération avec la France.

    Il a donc dû différer son voyage dans la région jusqu’en novembre.

    Israël avait déjà précédemment rejeté une demande similaire faite par un certain nombre d’officiels, dont une demande faite par le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, et le responsable de la politique étrangère de l’Union Européenne, Javier Solana.

    La semaine dernière, Netanyahu a déclaré qu’il avait été déçu par la France qui n’avait pas voté contre le rapport Goldstone qui n’a pas voté du tout, se réfugiant lâchement dans un refus de vote  


    The Palestine Telegraph - Vous pouvez consulter cet article à :
    http://www.paltelegraph.com/world/m...
    Traduction : Info-Palestine.net

     


    votre commentaire
  •  

    Une nouvelle brèche dans le mur israélien d’impunité

     

    Le rapport Goldstone représente une nouvelle faille importante dans le mur de l’impunité israélienne, qui s’étiole lentement mais sûrement. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’Israël ne soit placé face aux conséquences de ses crimes, écrit Hasan Abu Nimah.

    Hasan Abu Nimah - The Electronic Intifada

     Hasan Abu Nimah Jeudi 22 Octobre 2009

    source: alterinfo

    Les efforts déployer par Israël pour salir la réputation du juge Richard Goldstone ont échoué à enterrer l’enquête des Nations Unies que celui-ci a dirigée - Photo : Jean-Marc Ferre/UN

     

    Le rapport Goldstone sur les crimes de guerre commis par Israël dans Gaza l’hiver dernier a finalement réussi à passer son premier obstacle important de procédure lorsque Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies à Genève [CDH] a adopté le 16 Octobre une résolution qui l’approuvait.

    La résolution appelle « toutes les parties concernées, y compris les organisations des Nations Unies » à mettre en œuvre les recommandations du rapport - qui vont jusqu’à menacer les dirigeants israéliens de passer devant les tribunaux internationaux - et va transmettre le rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies pour qu’elle se prononce plus avant.

    Les États-Unis ont rejeté la résolution comme étant biaisée car elle ne faisait que critiquer Israël - et pas les groupes armés palestiniens qui sont également accusés dans le rapport Goldstone d’avoir commis des crimes de guerre à cause des tirs de roquettes vers Israël et qui ont tué trois civils israéliens.

    Les États-Unis n’ont pas non plus apprécié le fait que la résolution du CDH inclut des questions non liées à Gaza, à savoir l’expansion agressive d’Israël des colonies israéliennes dans Jérusalem occupée et le reste de la Cisjordanie, la construction du mur [d’Apartheid] en Cisjordanie, les ingérences dans les lieux saints, et les tentatives visant à modifier les caractéristiques démographiques de Jérusalem.

    Mais cette orientation était tout à fait appropriée car le Hamas, contrairement à Israël, a coopéré pleinement avec les travaux préparatoires au rapport Goldstone, et le Hamas a même déclaré qu’il allait mener des enquêtes sur les actions palestiniennes, comme le demande le rapport.

    On peut être sceptique sur la crédibilité de ces enquêtes, mais Israël n’est même pas allé jusque là. Par conséquent, la résolution condamne à juste titre « la non-coopération de la puissance occupante, Israël, avec la mission d’enquête internationale et indépendante », dirigée par Goldstone.

    La résolution a été tout à fait équilibrée en ce sens qu’elle replace les questions dans leur véritable contexte : Israël est la « puissance occupante » et les Palestiniens sont le peuple occupé. Ils ne sont pas égaux.

    Bien qu’Israël ait refusé de coopérer avec les auteurs du rapport, il est néanmoins préoccupé du fait que ce rapport documente en détail ses crimes de guerre et ses crimes flagrants contre l’humanité. Les efforts d’Israël pour dénigrer la réputation du juge Richard Goldstone - juriste disposant de références inattaquables dans la justice internationale, et juif sioniste sud-africain - n’ont pas réussi à enterrer le rapport.

    Depuis sa création Israël a réussi à échapper à toutes les obligations imposées par le droit international et pour l’essentiel de ses six dernières décennies, cet Etat a bénéficié de la protection américaine qui lui a permis d’agir en toute impunité comme un hors la loi.

    La saga du rapport Goldstone ne fait pas exception. Au début du mois d’octobre,une très forte pression américaine et israélienne assortie de menaces contre Mahmoud Abbas et son Autorité palestinienne [AP] de Ramallah a fait en sorte que ce dernier retire le soutien [de l’AP] à un projet de résolution approuvant le rapport des Nations Unies. Cela aurait dû avoir pour effet de l’enterrer. Mais une puissante protestation dans l’opinion publique palestinienne face à ce qui était perçu comme une claire trahison d’Abbas, a imposé un changement de cap.

    Pour les Palestiniens, habitués depuis longtemps à la duplicité des arrangements de l’AP avec Israël, l’affaire Goldstone, c’était trop. Comment Abbas - qui est censé défendre les Palestiniens - pouvait-il lancer une bouée de sauvetage aux auteurs du massacre de Gaza et leur offrir une échappatoire face à leur responsabilité ? Ni Abbas, ni ses bailleurs de fonds internationaux et israéliens n’ont été en mesure d’ignorer la rébellion populaire grandissante contre l’Autorité palestinienne, ainsi que les appels croissants pour le limogeage d’Abbas et même pour son procès pour avoir trahi son propre peuple.

    Après quelques semaines de justifications confuses et contradictoires, Abbas a ordonné à son représentant à Genève de soutenir la résolution, conduisant à son adoption par le Conseil des Droits de l’Homme [CDH] la semaine dernière.

    La décision d’Abbas de revenir à Genève et de demander une session spéciale du CDH a été accueillie avec une certaine compréhension par ceux qui l’avaient poussé dans ce gâchis. Tant les Israéliens que les Américains semblent avoir réalisé que sa volte-face à Genève ne servait qu’à réparer les dégâts. L’effort désespéré d’Abbas pour sauver son existence politique est aussi dans l’intérêt de ceux qui le manipulent et qui ont encore besoin de lui.

    Tout en autorisant cette retraite tactique d’Abbas, les Israéliens et les Américains ont cette fois redirigé leur pression vers les autres membres du CDH dans l’espoir qu’ils ne votent pas [le rapport]. Certains ont cédé à cette pression, pour s’attirer les bonnes grâces des Etats-Unis et d’Israël, mais la résolution en faveur du rapport a cependant été adoptée par 25 voix contre 6, avec 11 abstentions.

    Les États-Unis ont pris la tête du vote opposé, conformément à son habituelle politique de protection d’Israël contre les condamnations internationales. En faisant en sorte que d’autres votent de la même façon, Washington de fait encourage et récompense l’agression israélienne et ses crimes, et détruit toute chance de redevenir crédible dans la région.

    Le bref moment d’espoir suscité par l’élection du président Barack Obama a été irrémédiablement perdu car il est clair que la superpuissance américaine se laisse apparemment toujours manipuler par un petit Etat voyou [« rogue state »] plutôt que d’utiliser son pouvoir et son autorité pour empêcher Israël de massacrer les Arabes en Palestine et ailleurs, de voler leurs terres, d’occuper leur territoire, de provoquer une escalade dans la course régionale aux armes de destruction massive, et de menacer ses voisins proches et éloignés.

    Israël a longtemps dupé une grande partie du monde, en prétendant être la seule démocratie de style occidental dans la région, entourée d’Arabes sauvages et agressifs et de Palestiniens terroristes qui veulent sa destruction. Un mélange d’hypocrisie occidentale, de peur, de tendances racistes dissimulées, d’ignorance et de complaisance ont trop longtemps mis Israël à l’abri de devoir payer le prix de ses actes.

    La condamnation dans la résolution du CDH, des restrictions imposées par Israël aux Palestiniens « sur la base de l’origine nationale, la religion, le sexe, l’âge ou d’autres motifs discriminatoires » comme étant « une violation grave des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels du peuple palestinien », est une reconnaissance internationale bienvenue de la nature raciste de la politique israélienne.

    Il est peut-être trop tôt pour espérer que le rapport Goldstone mène directement les dirigeants israéliens à devant les tribunaux internationaux, car il y a encore trop de possibilités pour Israël et ses bailleurs de fonds de bloquer une telle action. Mais le rapport Goldstone représente une nouvelle faille importante dans le mur de l’impunité israélienne qui s’étiole lentement mais sûrement. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’Israël ne soit placé face aux conséquences de ses crimes, et tous ceux qui veulent la paix et la justice devront y travailler avec une vigueur renouvelée.

      * Hasan Abu Nimah est l’ancien représentant permanent de la Jordanie auprès des Nations unies.

    The Electronic Intifada - Vous pouvez consulter cet article à :
    http://electronicintifada.net/v2/ar...
    Traduction : Claude Zurbach
    http://www.info-palestine.net/


    votre commentaire