• Traiter Obama d’Hitler, non ! Se débarrasser des vieux, oui ! 
    19 août 2009 - 11:33

    L’abjecte illustration qui accompagnait l’article de Dooling dans le NYT

    sources : solidarité et progrès

    19 août 2009 (Nouvelle Solidarité) – Face à l’opposition populaire contre la réforme de la santé d’Obama, la presse américaine relaye les discours anti-vieux, tout en accusant les opposants d’être des affabulateurs et des extrémistes lorsqu’ils osent affubler Obama d’une moustache et évoquer les désormais controversés « bureaux de la mort ». Lundi, ce sont le Washington Post et le New York Times qui s’y sont collés.

    Dans le Washington Post, Fareed Zakaria commence d’abord par faire l’éloge des politiques de renflouement et de guerre au terrorisme de George W. Bush Jr, pour lesquelles les parlementaires démocrates avaient su se rassembler derrière le Président, à la faveur de situations de crise comme les attentats du 11 septembre et le krach financier de l’automne dernier. Puis il en vient au débat sur la réforme de la santé, qu’il qualifie d’« irréel » puisque les opposants « suggèrent que le Président Obama promeut l’euthanasie et des bureaux de la mort ».
    Mais dans le même paragraphe, il invoque « les mesures des démocrates pour freiner les dépenses et surtout l’établissement d’un comité médical, qui supposerait que le Congrès cède une grande partie de ses prérogatives à 5 personnes non élues, qui auraient le pouvoir de refuser aux gens soins et médicaments », avant de déplorer que « les coupes et les restrictions » risquent d’être « remises à plus tard ».
    Il va même jusqu’à déplorer « l’incapacité » du système politique américain à couper dans les retraites et réduire les déficits, avant de conclure : « Ca vous ferait souhaiter une crise. »

    Le New York Times, quant à lui, publie un article intitulé « Dire ‘non’ à mamie », sous la douce plume de Ross Douthat. Ce jeune journaliste catholique conservateur, formé à Harvard, dénonce avec dégoût la pression exercée par les plus de 65 ans dans ce débat, ces « mers de septuagénaires en fauteuil roulant, en déambulateurs, ou qui traînent leur appareillage à dialyse, et les autres qui tiennent leur carte Medicare comme un briquet dans un concert des Doors ». Puis il poursuit : « C’est le scepticisme des plus de 65 ans qui coule cette réforme et leur refus d’accepter des coupes budgétaires qui rend difficile de trouver l’argent pour financer la réforme. » « Medicare donne à ses ayants-droit tous les avantages de la médecine socialisée (…) Une fois atteints 65 ans, le système paye et paye, sans jamais considérer l’efficacité ou le rapport coût-efficacité. »
    Il aborde ensuite sans complexe la question épineuse des « bureaux de la mort » : « Evidemment, le projet démocrate ne veut pas l’euthanasie de votre grand-mère, mais il pourrait limiter les procédures remboursées par son programme Medicare » (sic).
    Il lance ensuite un vibrant appel : « Nous sommes déjà presque dans une gérontocratie (…) quelqu’un va devoir se lever pour dire que Medicare ne peut pas payer toutes les factures et toutes les procédures. Quelqu’un devra défendre l’espérance (et le portefeuille) de la jeune génération. Quelqu’un devra dire « non » aux retraités. »  
    L’abjecte illustration qui accompagnait l’article de Dooling dans le NYT  

    La veille, le New York Times avait aussi ouvert ses colonnes au nouvelliste Richard Dooling, qui s’en prend virulemment à « l’épidémie de sur-traitement », avant de s’interroger : « Ne devrions-nous pas couper instantanément les budgets exorbitants consacrés aux soins intensifs prodigués aux personnes âgées en fin de vie, et les réorienter vers les pédiatres et les obstétriciens prodiguant des soins préventifs aux enfants et aux mères ? »
    Il s’insurge ensuite contre l’absence de comités médicaux pour l’euthanasie (que l’on a pu voir à l’oeuvre dès l’automne 1939 en Allemagne) : « Le rationnement des soins est imminent. Mais étant donnée l’inertie politique, nous pourrions bientôt nous retrouver dans une situation de triage dans laquelle l’on n’aurait ni le temps ni l’argent nécessaires à la création des comités de vérification médicale pour réfléchir aux questions d’endiguement des coûts ou de planification des rationnements. Nous serons contraints d’appliquer des règles vites faites et mal faites en nous appuyant sur des critères simples, raisonnables et facilement vérifiables. Comme l’âge. Par exemple : ne pas dépenser de fonds fédéraux pour des soins intensifs sur les plus de 85 ans. »
    Puis il ajoute quand même : « Bien sûr, je ne parle pas d’euthanasie. Je me demande simplement pourquoi le pays s’endette sur des pontages et des prothèses de genou pour octogénaires ou nonagénaires, alors que pour une petite fraction de ces montants, on pourrait faire de la médecine et de la nutrition préventive pour les enfants. »
    Il conclut son article en citant Sir William Osler, qui présidait en 1912 à Londres le Congrès international sur l’eugénisme et qui proposait d’euthanasier les gens avant leur 61e anniversaire : « L’un des premiers devoirs du médecin est d’apprendre aux masses à ne pas prendre de médicaments. »

    Pour ceux qui trouvent que les opposants à la réforme d’Obama exagèrent, comment qualifieriez-vous l’idéologie de ces types là ?


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  • Source : http://www.solidariteetprogres.org/article5692.html

    L’écrivain américain Lee Siegel : Obama prépare l’euthanasie des vieux et des pauvres ! 
    12 août 2009 - 18:36



    Brèves /
    L’écrivain américain Lee Siegel : Obama prépare l’euthanasie des vieux et des pauvres !
    12 août 2009 - 18:36



    12 août 2009 — Après l’article dévastateur Deadly Doctors paru dans le New York Post le 24 juillet par l’ancien vice-gouverneur de New York Betsy McCaughey, qui dénonce les conceptions fascistes du bio-éthicien Ezekiel Emanuel, un des plus influents conseillers d’Obama pour sa réforme de la santé, c’est maintenant l’une des plumes les plus éclairées de la gauche new-yorkaise, Lee Siegel, qui démasque l’arnaque que cherche à « vendre » le président.

    Publié sur son blog, l’article courageux de Siegel s’intitule : Obama’s Euthanasia Mistake (l’erreur d’Obama sur l’euthanasie).

    On y lit : « Pour ceux d’entre nous qui croient que l’absence d’une couverture médicale universelle est une honte absolue pour les Etats-Unis, le spectacle de ceux qui s’opposent à la réforme de la santé proposée par Obama parait venir tout droit d’Alice aux pays des merveilles et nous met en colère – sauf que sur un point, les critiques ont parfaitement raison. Un des dispositifs des lois élaborées : envisager positivement l’imposition de limites aux soins en fin de vie – est moralement révoltant. Et surtout aide à tuer la réforme elle-même.

    « Détrompez-vous : définir quel type de soins sont [des dépenses]"rentables" (cost effective) ou "pas rentables" pour une personne en situation de fin de vie est une des priorités d’Obama. C’est une des principales façons avec laquelle il compte faire des économies et rendre la couverture universelle abordable. »

    Siegel souligne qu’Obama envisage bel et bien la création d’une agence spécifique* constituée de cinq experts en charge de décider en ce sens.

    « C’est le cauchemar d’un gouvernement oppresseur, ce fameux Big Brother au sujet duquel les propagandistes malins de la droite nous ont cassé les oreilles. Sauf que cette fois-ci, ils ne se trompent pas. »

    Siegel démontre ensuite que ce seront justement les pauvres et les vulnérables – donc ceux à qui Obama prétend vouloir rendre service – qui seront les victimes mortelles de la privation de soins. Ces catégories de populations « seraient les seules auxquelles on interdira l’accès aux technologies coûteuses capables de prolonger la vie. Les riches arriveront toujours à se les payer… Ces technologies pèsent lourd sur les finances ? Alors, faisons des économies ailleurs ».

    Siegel estime que les attaques de la droite contre le dispositif sur les « testaments biologiques » sont injustes. « Cependant, leur proximité avec la vérité nous mettent fortement mal à l’aise, » dit-il.

    Au-delà d’une simple critique de la réforme, Siegel s’interroge : « D’où Obama vient-il ? Pourquoi un homme d’apparence aussi humaine peut-il envisager une initiative utilitariste venue directement de l’Angleterre victorienne ? » Dans sa réponse, Siegel rappelle qu’Obama a été formaté par la faculté de droit de l’Université de Chicago.

    La figure la plus importante de ce milieu universitaire est, de loin, Richard Posner, juge à la cour d’appel du septième circuit et professeur de droit à Chicago. Posner est également l’auteur prestigieux d’une série de livres pompeux dont tout le monde fait l’éloge et que personne ne lit.

    « Le juge Posner est un chaud partisan de l’euthanasie et un eugéniste énergique. Il a écrit sur les conceptions d’Oliver Wendell Holmes sur l’eugénisme et sur le fait qu’Holmes croyait qu’une société juste "évitait le maintien [en vie] des inaptes" — et qu’on devrait considérer "l’enthousiasme de Holmes [pour l’euthanasie] plutôt comme une prescience que comme l’opinion d’un dépravé" ».

    Richard Posner est aussi l’apôtre de Friedrich Nietzsche et n’a pas hésité à rebaptiser Oliver Wendell Holmes « le Nietzsche américain ». En tant que membre de la Société du Mont Pèlerin, Posner travaille à aligner le droit américain sur celui de l’Empire britannique. Il préconise notamment de remplacer les politiques d’adoption d’orphelins par leur vente ( !) et la légalisation de la drogue, le tout justifié par la nécessité d’exclure toute considération morale du droit.

    Cass Sunstein, l’économiste comportementaliste « nommé par Obama pour diriger la nouvelle agence, est un disciple de Posner et croit à ce que le magazine Time a décrit récemment comme la pratique statisticienne qui consiste à tenir compte de l’espérance de vie dans les évaluations de la régulation. En d’autres termes, Sunstein croit que les vies des personnes jeunes ont plus de valeur que celles des personnes âgées. Ceci, de toute évidence, a des implications radicales sur les politiques de fin de vie. »

    Le Congrès américain devra statuer dès septembre sur la nomination de Sunstein. Il risque de se retrouver d’ici peu dans la position idéale qui lui permettra de promouvoir les politiques d’euthanasie à but économique qu’il préconise.

    D’ici-là, aidez-nous à faire éclater la vérité sur ce qu’il se passe réellement outre-Atlantique. Lyndon LaRouche fut le seul et le premier à sonner le tocsin sur la nature terrifiante de ces réformes à un moment où d’autres dormaient tranquillement en Obamaland. A nous d’encourager le tsunami de la colère citoyenne qui se lève en Amérique contre ces projets. Une nouvelle révolution américaine est en marche.


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  • source : http://www.solidariteetprogres.org/article5690.html

     

    Contre la réforme d’Obama, les citoyens américains se rebiffent 
    12 août 2009 - 14:01 



    12 août 2009 (LPAC) – Dans un déni de réalité que Lyndon LaRouche qualifie de semblable à celui de Louis XVI et Marie Antoinette lors de la Révolution de 1789 en France, Obama refuse de reconnaître que les citoyens américains rejettent sa réforme de la santé pour des bonnes raisons. Pour lui, il ne s’agit que d’un déficit de communication et d’une « opposition orchestrée » d’agitateurs professionnels payés en sous-main par les laboratoires pharmaceutiques supposés hostile à toute réforme.

     
    Pourtant, toute enquête sérieuse indique le contraire et les citoyens américains se rebiffent. Ainsi, Mike Sola, le père d’un handicapé mental de vingt ans, qui avait interpellé avec toute son énergie le représentant démocrate John Dingell lors d’un « town hall meeting » au Michigan a déclaré à FoxNews que lui et sa famille ont reçu des menaces d’un individu qui s’est présenté à leur domicile au milieu de la nuit juste après l’évènement. Pourtant, les dirigeants démocrates Nancy Pelosi et Steny Hoyer n’ont pas hésité à le caractériser, lui et les autres citoyens ordinaires qui interpellent les élus pour faire connaître leur désaccord avec la réforme de la santé d’Obama, « d’anti-Américains » et de « brutes » !

    Le père a confié avec émotion et détermination que « Le mal qui est fait, est fait par le Président et le Congrès. Ils veulent nous imposer un plan de santé qu’ils n’accepteront pas pour eux-mêmes. Je vous mets au défi, M. Obama – ainsi que les membres du Congrès des deux parties : si vous croyez à votre plan, appliquez le à vous-même et vos familles avant de l’imposer à nos familles. 

    « Ce que vous faites est de condamner nos familles à la mort. Nous perdons le droit à la vie – Les personnes âgées sont écartées. Ceux qui ne peuvent pas se débrouiller par eux-mêmes sont privés de soins. Il n’y a pas de liberté avec votre plan,voilà le problème. Les gens l’ont remarqué et vous ne pouvez plus le cacher. Donc, si je suis une "brute", alors très bien. Mais n’appelez pas mon fils "une brute". Et ne nous appelez pas, nous les seniors américains qui veulent faire entendre leur voix, des "brutes". Nous ne sommes qu’une chose : des citoyens américains qui cherchent à se faire entendre avant d’être abattus ».

    FoxNews montrait ensuite Dingell accusateur disant que « cette réunion a été gravement infiltré par des gars qui sont venus foutre la pagaille… » 

    En réponse, Mike Sola précisait alors qu’il était venu avec sa femme et son fils « en tant que citoyen américain et préoccupé par la réforme de la santé qu’on va nous imposer. Je ne suis ni républicain, ni démocrate, il m’arrive de voter pour l’un ou l’autre. Et franchement, M. Dingell, sous cette réforme, mon vieux, il n’aurait pas deux genoux ni une hanche. On lui aurait dit : "vous avez 84 ans, vous n’en valez pas la peine." »

    Un face-à-face similaire a eu lieu à Lebanon en Pennsylvanie dans le town meeting du sénateur républicain, récemment devenu démocrate, Arlen Specter. Une personne âgée qui n’avait pas obtenu une des fiches distribué aux trente personnes autorisées à poser des questions, s’est levée bruyamment et s’est mise à marcher vers la sortie. Un costaud l’attrape aussitôt et le remet sur son siège. Le sénateur Specter, impressionné, s’approche alors du contestataire qui exprime alors son désarroi : « Votre secrétariat m’a raconté des bobards quand ils m’ont fait croire que j’aurais le droit à la parole. Vous, et vos acolytes, font ça tout le temps. Je ne suis pas un lobbyiste qui vous bourre les poches avec du cash et je me tire d’ici. Mais un jour Dieu se dressera devant vous et Dieu vous jugera, vous et le reste de vos compères à Washington, et alors vous aurez ce que vous méritez… »


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  • sources Alterinfo Mireille Delamarre Mercredi 12 Août 2009

    Des responsables tchèques des services de santé gouvernementaux ont refusé d'acheter le vaccin Baxter le jugeant à risques. En France, le vaccin Baxter fait partie des 4 vaccins choisis contre la prétendue pandémie de grippe porcine. Pourtant, ce vaccin n'a pas encore reçu l'autorisation de mise sur le marché (AMM) de l'EMEA (European Medecine Agency).

    D
    es responsables du secteur santé admettent que des injections rapprochées pourraient provoquer des décès.

    Des responsables des services de santé gouvernementaux de la République Tchèque ont refusé d'acheter les vaccins H1N1 contre la grippe porcine du laboratoire pharmaceutique US Baxter International expliquant ce refus par les inquiétudes suscitées par les risques encourus.

    Selon une dépêche de l'agence de presse tchèque, CTK, l'une des plus grandes agences en langue anglaise du pays, le ministère de la santé tchèque a arrêté les discussions avec Baxter citant " l'incapacité du laboratoire à garantir que le vaccin est sans danger et de dire à qui incombe la prise en charge des risques de possibles effets secondaires "

    Le pays projette d'acheter des vaccins pour couvrir 25% de sa population (10 millions de Tchèques) mais a dit qu'il n'achèterait pas le vaccin contre la grippe porcine Baxter avant qu'il n'ait été homologué en Europe.


    "C'est dommage, mais malheureusement au moment ou nous avons reçu les offres, Baxter a été incapable de confirmer qu'il livrerait un vaccin homologué" a dit la ministre de la santé, Dana Juraskova.

    A la place, le pays va probablement acheter ses vaccins chez Novartis et GlaxoSmithKline, mais seulement après que les vaccins aient subi les tests cliniques habituels et aient obtenu l'autorisation de mise sur le marché de l'EMEA.

    Dans une autre dépêche de CTK, le vice ministre de la santé, Marek Snajdr, a été cité disant que le vaccin " pourrait avoir des effets secondaires et qu'il pourrait même causer la mort si administré".

    Dans le pays, les cas confirmés de personnes atteintes du virus H1N1 restent en dessous de 150 selon toutes les estimations faites, et personne n'est décédé à cause du virus.

    Comme il a déjà été fait mention dans un article précédent, Baxter a un lien très récent et particulièrement troublant avec des vaccins contre la grippe en République Tchèque.

    En Mars dernier de multiples sources d'information, dont le Times d'Inde, ont rapporté que des vaccins contaminés avec le virus vivant de la grippe aviaire H5N1, mortel, ont été distribués à 18 pays en Décembre 2008, par un laboratoire de la branche autrichienne de Baxter.

    Ce n'est que par hasard qu'un lot a d'abord été testé sur des furets en République Tchèque avant que le vaccin ne soit utilisé sur des humains. Tous les furets sont morts et la découverte choquante rendue publique.

    Les journaux tchèques se sont immédiatement posés la question de savoir si cet évènement ne faisait pas partie d'une conspiration pour délibérément provoquer une pandémie, faisant écho à des accusations déjà portées par des responsables de la santé dans plusieurs autres pays.

    D'abord, Baxter a tenté de courcircuiter les questions en invoquant le " secret commercial" et a refusé de révéler comment les vaccins avaient été contaminés avec le virus H5N1. De plus en plus pressés de s'expliquer, ils ont alors affirmé que les lots de H5N1 ont été envoyés par erreur.

    Alors même que la possibilité de mélanger par accident un virus vivant constituant une arme biologique avec du matériel viral est pratiquement impossible, il ne reste que l'explication comme quoi la contamination était une tentative délibérée d'utiliser le virus H5N1 comme arme biologique à des fins extrêmes et de le distribuer via les vaccins anti grippaux habituels aux populations qui ensuite infecteraient d'autres populations dans des proportions dévastatrices car la maladie se répand par voie aérienne.

    Le fait que Baxter ait mélangé le virus mortel H5N1 avec un mélange de virus de la grippe saisonnière H3N2 est un signal d'alarme. Le virus H5N1 à lui seul a tué des centaines de personnes, mais il se déplace moins par voie aérienne et est plus limité dans son aisance à se répandre. Cependant, lorsqu'il est mélangé avec des virus grippaux saisonniers, qui comme chacun le sait se répandent facilement par voie aérienne, l'effet donne une arme biologique pouvant potentiellement se répandre super rapidement par voie aérienne et super mortelle.

    En fait, certains ont déjà suggéré que l'actuelle peur de la grippe porcine pourrait signalé l'utilisation d'une telle arme.

    Par ailleurs, des poursuites judiciaires ont été engagées contre Baxter l'accusant d'avoir intentionnellement utilisé des composants dangereux et non testés dans certains de ces vaccins pour augmenter ses profits.

    Des responsables de l'OMS contrôlent de près les enquêtes en cours sur les vaccins contaminés de Baxter, mais malgré cela, ce laboratoire est en tête de la production de vaccins contre la grippe porcine dont la vaccination pourrait devenir obligatoire. En fait, Baxter s'est montré particulièrement prévoyant en déposant un brevet * pour son vaccin contre la grippe porcine exactement un an avant que le virus ne se répande.

    Le laboratoire a annoncé la semaine dernière qu'il avait achevé la production de ces premiers lots commercialisables de vaccins N1N1 fin Juillet et qu'il est actuellement en pourparlers avec des responsables de santé publique nationale partout dans le monde. La multinationale a déposer une demande de licence pour le vaccin auprès de l'EMEA mais celle-ci ne l'a pas encore approuvé.

    Baxter a dit qu'il fournirait environ 80 millions de doses à 40 millions de personnes dans 5 pays dont la Grande Bretagne, l'Irlande, et la Nouvelle Zélande ( et la France ndlt).

    En plus des dispositions prises par des organismes de contrôle en Europe et aux US prévoyant d'accorder une autorisation de mise sur le marché rapide pour les vaccins contre la grippe porcine, des nouvelles dispositions ont été prises pour protéger les laboratoires pharmaceutiques de poursuites judiciaires.

    Selon une dépêche de l'AP du mois dernier, " les fabricants de vaccins et les responsables fédéraux ne pourront être poursuivis pour les conséquences des vaccins contre la grippe porcine" d'après un document signé par la secrétaire à la santé et aux services à la personne Kathleen Sebelius.

    La campagne de vaccination en masse commencera probablement fin Novembre et début Décembre. Selon ce qui a déjà été rapporté, des responsables de la santé en Grande Bretagne et aux Etats Unis prévoient de créer un dispensaire dans chaque école dans les deux pays.

    Steve Watson - 10/08/09 www.infowars.net

    * Brevet US 2009/0060950 A1 dont la demande de brevet stipule et précise que « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ...des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile." En l’absence de toute responsabilité juridique comme stipulé dans l'article, BAXTER s'apprête donc à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium.

    Information complémentaire

    En France, la Sarkozie/Bachelot a décidé de passer une commande ferme de 100 millions de doses de vaccins pour un coût estimé à 700 millions d'euros auprès de 4 laboratoires sélectionnés par deux départements du ministère de la Santé : l’Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (l’Eprus, la centrale d’achat du ministère) et la Direction générale de la santé (DGS). Quatre laboratoires ont été sélectionnés : Sanofi, GSK, Novartis, Baxter parce que, selon l’Eprus, « ils étaient les seuls capables de produire des vaccins en grande quantité et à pouvoir les livrer rapidement ». Autrement dit afin d'obtenir les vaccins dans les meilleurs délais, et au prix le plus bas selon Thierry Coudert, le patron de l’Eprus qui a affirmé que « les pouvoirs publics font le maximum pour avoir les prix les plus bas" la ministre de la santé, Roseline Bachelot, est prête à sacrifier le principe de précaution en matière de vaccination qui veut que les vaccins doivent être scrupuleusement testés cliniquement avant d'être utilisés.

    Comme le montre l'article ci dessus, pour les vaccins Baxter ce n'est pas le cas, ce laboratoire a des antécédents suspects. Bachelot est aussi, semble-t-il, prête à engager sa responsabilité - car s'il arrive quoi que ce soit dans l'utilisation de vaccins insuffisamment testés elle sera tenue pour responsable - pour que l'industrie pharmaceutique dont elle est proche de par sa profession, étant elle-même pharmacienne, fasse un maximum de profits. Les laboratoires pharmaceutiques ont tout intérêt à obtenir des gouvernements les plus grosses commandes car l’enjeu financier est considérable. Un laboratoire qui vend 50 millions de doses, pourra espérer une recette d’environ 350 millions d’euros. Baxter a prévu de fournir 80 millions de doses à 5 pays dont la France, et pour faire un maximum de profits n'est pas trop regardant.

    Le ministère de la santé sous la direction de Roselyne Bachelot, en prévoyant l'achat de 100 millions de doses, envisage de vacciner deux fois les français, pour "une garantie supérieure d'efficacité" selon son ministère.

    Autrement dit si vous ne décédez pas ou ne restez pas handicapé à vie, victimes des effets secondaires de vaccins insuffisamment testés suite à la première injection, Roseline Bachelot vous offre une deuxième chance..... grâce à une deuxième injection.

    Une campagne internationale a été lancée contre ces vaccinations à risque. Plus d'information et des coordonnées pour y participer en pièce jointe en pdf. Merci de faire circuler cette information le plus largement possible



    PS: Si les vaccins Baxter sont à risque cela ne veut pas dire que les autres vaccins ne le sont pas. La précipitation pour obtenir les autorisations de mise sur le marché de vaccins insuffisamment testés est le fait de tous les laboratoires, et la recherche d'un maximum de profits aussi.

    http://www.planetenonviolence.org/ 


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  • source : solidarité et progres

     

    11 août 2009 (LPAC) — Hier, Lyndon LaRouche a fait la déclaration suivante sur la situation quasi-insurrectionelle aux Etats-Unis :

    "Ce qui vient d’arriver ici ce dernier week-end rappelle aux historiens les mois de juin et juillet 1789 de la Révolution française. C’était le moment où le roi et la reine, se dérobant face à leurs responsabilités, avaient fait appel à des armées étrangères pour assiéger Paris. En même temps, le duc d’Orléans organisait la prise de la Bastille.

    Ainsi, pendant cette période, personne parmi les responsables, ni le Roi, ni le Parlement, ni aucun autre pouvoir, tenait le gouvernail.

    La situation de ce week-end dernier, à partir de vendredi, était identique à celle-là. Nous sommes dans une situation où le président des Etats-Unis fuit devant toute confrontation directe avec le peuple américain. Les membres du Congrès se trouvent essentiellement dans le même type de posture incompétente. En d’autres termes, nous sommes dans une situation où le pouvoir de gouvernement – l’aptitude à se gouverner – des Etats-Unis a été détruit par l’action de ce président et de ses dupes au sein du Congrès.

    Si ceci ne vous fait pas peur, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas en vous. Et dans cette période, ce qui m’incombe, c’est d’agir en fonction de cette situation. Je dois exprimer un sens de leadership et de direction, pour inspirer la nation, car je sais que l’institution présidentielle ne fonctionne pas comme elle le devrait ; et le Congrès non plus. Se pose alors la question : qui fonctionne ?

    Ceci est une crise, semblable à celle de la Révolution française, dans laquelle le vide politique, créé par l’absence de compétence de l’Exécutif – un Exécutif qui n’engendre que panique et stupidité ! – et aussi par l’absence de compétence des autres éléments du gouvernement, peut conduire aux plus tragiques conséquences."

    Vidéo (en anglais) : déclaration de Lyndon LaRouche sur la grève de masse aux Etats-Unis

     


    Article : pour le meilleurs ou pour le pire : situation révolutionnaire aux Etats-Unis (suite et pas fin).


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