• Climategate: Questions qui dérangent==> réponse musclée ,censure

     12/12/2009

    Le journaliste Phelim McAleer pose quelques questions sur le Climategate, Stephen Schneider (professeur à Standford) ne sait que répondre...

    Le pire c'est  l'acte d'une femme qui essaye de censurer  en essayant de piquer le micro du journaliste et bien évidement l'intervention musclée de la sécurité ?

    Ca se voit que Copenhague n'est qu'une vaste fumisterie ! La "dictature verte" n'est q'un leurre!

     


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  • Ce n’est pas une blague...

     

    source: Alterinfo 

    Vendredi 11 Décembre 2009

     Antoine Sfeir et Jean Glavany attaquent Tariq Ramadan

    A la suite de l’audition de Tariq Ramadan, le député Jean Glavany - qui avait déjà eu une attitude inqualifiable lors de ladite audition - est revenu sur cette dernière au moment d’auditionner M. Antoine Sfeir. Ecoutez les propos sidérants d’un représentant du peuple, et ancien Ministre de la République ! Or donc, Tariq Ramadan (cet "imposteur" dont le nom n’est jamais cité) paierait des individus pour que ceux-ci envoient des missives de protestation au député ! L’ex-ministre aurait enquêté ! Eh bien, j’aimerais prévenir tous mes "salariés", ainsi que les plus de 4 millions de visiteurs de ce site, que s’ils continuent à être stupides et naïfs (au point de se faire aussi facilement attraper)...eh bien je ne paierai plus ! Plus rien ! Voilà !  
    Quant à M. Antoine Sfeir, il a offert une nouvelle prestation des plus surréalistes. Un flot de contre vérités avec en sus cette belle énormité : l’université d’Oxford aurait donc engagé un professeur, "qui n’a jamais été professeur", sous la pression ultime des Frères Musulmans. Vous avez bien lu...et ces propos sont livrés avec le plus grand sérieux par le spécialiste toutes catégories de l’islam contemporain ! A l’Assemblée Nationale !... et ce sans que le Président intervienne ! Ce n’est pas même une blague ! Pathétique... et tellement risible.

    Les propos tenus en Commission sont "protégés" et leurs auteurs ne peuvent pas, semble-t-il, être poursuivis en justice. MM. Glavany et Sfeir insultaient et diffamaient donc publiquement, en toute sécurité !

    Ce n’est pas si grave ce faisant puisque, devant des millions de téléspectateurs, rien n’a pu, ni ne pourra, les protéger d’un ridicule abyssal. Lequel suffit amplement à notre collectif jugement.

     

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    je vous propose de regarder ceci : Tariq Ramadan

     

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    les nabots qui sont obligés de mentir... quelles bandes de cons Antoine Sfeir et Glavany!

    je suis français, j'ai reçu une éducation catholique et je dis tout de même vive Tariq Ramadan, lui, il ne ment pas comme ces 2 cons Antoine Sfeir et Glavany! Ces 2 nuls ont bien été obligés de fermer leur claque-merde comme des losers tellement ils ont pris des baffes de démentis avec preuve à l'appuis de la part de Tariq. Et dire que l'un ces 2 nases est un  élu ? On voit l'étendue de leur "talent" , de vrais politiciens en caricatures, il ne faut pas d'honneur pour etre comme ces types c'est pitoyable, je suis outré devant tant de mensonges, c'est bien simple les politiques sont des merdes , j'ai pas d'autres mots !

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  • Exclues de l’ordre du jour à Copenhague, les techniques de modification de l’environnement et d’altération du climat

     

    La manipulation du climat à usage militaire

    par Michel Chossudovsky

    source:

    Mondialisation.ca, Le 9 decembre 2009 

     

    L’expression « techniques de modification environnementale » s’applique à toute méthode visant à modifier, par manipulation délibérée des processus naturels, la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, notamment ses biotopes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère ou l'espace extra-atmosphérique. (Convention on the Prohibition of Military or Any Other Hostile Use of Environmental Modification Techniques, Nations Unis, Genève, 18 mai 1977)


    « La guerre environnementale est définie comme la modification intentionnelle ou la manipulation de l'écologie naturelle, tel que le climat et la météo, les systèmes terrestres comme l'ionosphère, la magnétosphère, le système des plaques tectoniques, et/ou le déclenchement d’événements sismiques (tremblements de terre) afin de provoquer intentionnellement la destruction physique, économique et psychosociale d'un objectif géophysique ou d’un site habité, dans le cadre de la guerre stratégique ou tactique. » (Eco News)



    « [La modification de la météo] offre aux belligérants d’une guerre un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre l’adversaire... La modification du temps fera partie intégrante de la sécurité nationale et internationale, et pourrait se faire de manière unilatérale... Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives, et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de créer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale... et de produire des conditions météorologiques artificielles, fait partie d'un ensemble de techniques [militaires] intégrées. »
    (US Air Force document AF 2025 Final Report)



    Les dirigeants du monde se réunissent à Copenhague en décembre 2009, dans le but de parvenir à un accord sur le réchauffement mondial. Le débat sur le changement climatique se concentre sur l’impact des émissions de gaz à effet de serre et les mesures visant à réduire les émissions de CO2 d’origine humaine, en vertu du Protocole de Kyoto.



    Le consensus implicite est que les émissions de gaz à effet de serre sont la seule cause de l'instabilité climatique. Ni les gouvernements, ni les groupes d'action écologique, n’ont évoqué la question de la « guerre météorologique » ou « techniques de modification environnementale (ENMOD) » à usage militaire. Malgré le vaste corpus de connaissances scientifiques, la question de la manipulation du climat à des fins militaires a été exclue de l'ordre du jour des Nations Unies sur le changement climatique.



    Avec une extraordinaire prévoyance, John von Neumann avait constaté ceci à l'apogée de la guerre froide (en 1955) :



    « L'intervention dans le domaine atmosphérique et climatique... se déploiera à une échelle aujourd’hui difficile à imaginer... Cela interférera dans chaque relation de pays avec tous les autres, plus fortement que la menace de l’arme nucléaire ou que toute autre guerre pourrait le faire. » (Cité par Spencer Weart dans, Environmental Warfare: Climate Modification Schemes, Global Research, 5 décembre 2009)



    En 1977, une Convention internationale, ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies, a interdit « les techniques de modification de l’environnement, militaires ou à d’autres fins hostiles, ayant des effets étendus, durables ou graves. » (AP, 18 mai 1977). Les États-Unis et l'Union Soviétique étaient tous deux signataires de la Convention.



    Guidé par le désir de consolider la paix,... et de préserver l'humanité du danger de l’usage de nouveaux moyens de guerre, (...) Considérant que l’usage militaire... de ces techniques [de modification environnementale] pourraient avoir des effets extrêmement préjudiciables au bien-être de l'homme, désireux d'interdire réellement l’usage militaire... des techniques de modification environnementale afin d'éliminer des menaces pour l'humanité... et affirmant leur volonté d'œuvrer à la réalisation de cet objectif, (...) Chaque État partie à la présente convention assume de ne pas s'engager dans le recours militaire... aux techniques de modification environnementale ayant des effets étendus, durables ou graves, comme moyen de destruction, de faire du tort ou des préjudices à tout autre État partie. (Convention on the Prohibition of Military or Any Other Hostile Use of Environmental Modification Techniques, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur le 5 octobre 1978)



    Cette Convention définit les « techniques de modification de l’environnement » comme celles s’appliquant à toute altération, par manipulation délibérée des processus naturels, de la dynamique, composition ou structure de la Terre, notamment de ses biotopes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère ou de l'espace extra-atmosphérique. » (Environmental Modification Ban Faithfully Observed, Déclaration des États parties, Chronique des Nations Unies, juillet 1984, Vol. 21, p. 27)



    La substance de la Convention de 1977 a été réaffirmée en termes très généraux dans la Convention-cadre sur le changement climatique (CCNUCC) signée au Sommet de la Terre en 1992 à Rio de Janeiro :



    « Les États ont... conformément à la Charte des Nations Unies et aux principes du droit international, (...) la responsabilité de veiller à ce que les activités relevant de leur juridiction ou de leur contrôle ne créent pas des dommages dans l'environnement des autres États ou dans des régions au-delà des limites de leur juridiction nationale. » (UN Framework Convention on Climate Change, New York, 1992)



    À la suite du Sommet de la Terre de 1992, la question de l’altération du climat à des fins militaires n'a jamais été soulevée lors des sommets ultérieurs sur le changement climatique et dans les réunions sous les auspices de la CCNUCC. Cette question a été effacée, oubliée. Elle ne fait plus partie du débat sur le changement climatique.



    Pourtant, en février 1998, la Commission sur les affaires étrangères, la sécurité et la défense du Parlement européen a tenu des audiences publiques à Bruxelles à propos de l’installation de guerre météorologique développée aux États-Unis dans le cadre du programme HAARP.



    La « Proposition de résolution » de la commission présentée au Parlement européen,

    « considère que le projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project), en raison de son impact général sur l'environnement, pose des problèmes globaux et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organe international indépendant... ; [la commission] déplore que le gouvernement des États-Unis ait à maintes reprises refusé... pour apporter un témoignage sur les risques que comporte pour l'environnement et la population le projet HAARP... » (Parlement européen, Commission sur les affaires étrangères, la sécurité et la défense, Bruxelles, doc. N° A4-0005/99, 14 janvier 1999).



    La demande de la commission, d'élaborer un « Livre blanc » sur l’incidence environnementale des activités militaires, a pourtant été rejetée avec désinvolture, au motif que la Commission européenne n'avait pas la compétence requise pour fouiller dans « les liens entre l'environnement et la défense. » Bruxelles se souciait d'éviter une confrontation avec Washington. (Voir le Rapport européen, 3 février 1999).



    En 2007, à la suite de la publication et de la levée du sceau du secret de documents du gouvernement britannique aux Archives Nationales, le Daily Express a signalé que :



    « Les documents [levés du sceau du secret] révèlent que les États-Unis, qui les ont menés sur le terrain, et l'Union Soviétique, ont des programmes militaires secrets dont l'objectif est la maîtrise du climat de la planète. Un scientifique se serait vanté du fait que, ‘’D'ici à 2025, les États-Unis disposeront de la météo’’.



    ...



    Ces allégations sont traitées par les sceptiques comme de la théorie de conspiration délirante et des balivernes pour films de James Bond, mais toujours plus d’indices montrent que la frontière entre la science-fiction et la réalité est de plus en plus floue. Les Étasuniens admettent à présent que, pendant la guerre du Viêt-nam, dans une opération appelée Projet Popeye, ils ont investi 12 millions en cinq ans dans « l'ensemencement des nuages, » afin de créer délibérément de fortes pluies pour inonder les cultures de l’ennemi et détruire ses routes de logistique sur la piste Ho Chi Minh.



    On prétend que les précipitations ont été augmentées d'un tiers dans les régions ciblées, faisant de l’arme de manipulation météorologique un triomphe. À l'époque, des fonctionnaires du gouvernement ont dit que la région était sujette à de fortes pluies. » (Weather War? Daily Express, 16 juillet 2007)



    Tout en étant formellement confirmée par des documents officiels du gouvernement et de l'armée étasunienne, l’éventualité de la manipulation du climat ou de l’environnement dans le cadre d'un projet militaire n'a jamais été considérée comme pertinente dans le débat sur le climat. Les analystes militaires sont muets sur ce sujet. Les météorologistes n'enquêtent pas sur la question et les écologistes sont alignés sur le réchauffement climatique et le protocole de Kyoto.





    Le Projet HAARP



    Le High-Frequency Active Auroral Research Program (HAARP), sis à Gokona en Alaska, existe depuis 1992. Il fait partie d'une nouvelle génération d'armes sophistiquées, dépendantes de l’US Strategic Defense Initiative (SDI). Exploité par la société Space Vehicles Directorate de l’Air Force Research Laboratory, HAARP consiste en un système de puissantes antennes, capable de créer des « modifications locales contrôlées dans l'ionosphère [couche supérieure de l'atmosphère] :



    HAARP a été présenté à l'opinion publique comme un programme de recherche scientifique et universitaire. Des documents militaires étasuniens semblent pourtant suggérer que l'objectif principal de HAARP est d’« exploiter l'ionosphère aux fins du ministère de la Défense. » (Voir Michel Chossudovsky, The Ultimate Weapon of Mass Destruction: "Owning the Weather" for Military Use, Global Research, 27 septembre 2004)



    Sans se référer explicitement au projet HAARP, une étude de l'US Air Force oriente sur l'utilisation des « modifications ionosphériques induites » comme un moyen pour modifier les conditions météorologiques et perturber les communications ennemies et les radars. (Ibid)



    HAARP a aussi la possibilité de déclencher des pannes d'électricité et de perturber le réseau électrique de régions entières :

    « Mais Rosalie Bertell, la présidente de l'International Institute of Concern for Public Health, affirme que HAARP fonctionne comme ‘’un gigantesque appareil qui peut provoquer d'importantes perturbations dans l'ionosphère, ce qui crée non seulement des trous, mais de longues brèches dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles [en provenance de l'espace sidéral] de bombarder la planète’’.



    Le Docteur en physique Bernard Eastlund l'a appelé «le plus grand appareil de chauffage de l'ionosphère jamais construit». HAARP est présenté comme un programme de recherche par l'US Air Force, mais des documents militaires confirment que son objectif principal est «d'induire des modifications ionosphériques» en vue de modifier les conditions météorologiques et de perturber les communications et les radars.



    Selon un rapport de la Douma d'État russe : «Les États-Unis projettent d’effectuer des expériences à grande échelle dans le cadre du Projet HAARP et de créer des armes capables de rompre les lignes de communication radio et les équipements installés sur les engins spatiaux et les fusées, de provoquer de graves incidents dans les réseaux électriques et dans les oléoducs et les gazoducs et d’avoir un impact négatif sur la santé mentale dans des régions entières».



    L’analyse des déclarations émanant de l'US Air Force évoque en nous l'impensable : la manipulation clandestine des phénomènes météorologiques, des communications et des réseaux d'électricité comme arme de guerre mondiale, permet aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières. La manipulation météorologique est l'arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou des «pays amis» à leur insu et être utilisée pour déstabiliser les économies, les écosystèmes et l'agriculture. Elle peut également déclencher des ravages sur les marchés financiers et les marchés de produits. La perturbation dans l'agriculture créée une plus grande dépendance envers l'aide alimentaire et l’importation de grains de céréales de base des États-Unis et d'autres pays occidentaux. (Michel Chossudovsky, HAARP : La guerre climatique : Il faut se méfier des expérimentations de guerre climatique réalisées par le Pentagone, Mondialisation.ca, 4 juin 2008)

     

     L’analyse des déclarations émanant de l'US Air Force évoque l'impensable : comme arme de guerre mondiale, la manipulation secrète des phénomènes météo, des systèmes de communications et de distribution électrique, permet aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières du monde. Selon un rapport officiel de l’US Air Force : 



    « La modification de la météo offre aux belligérants d’une guerre un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre l’adversaire... Aux États-Unis, la modification de la météo fera probablement partie de la politique de sécurité nationale, avec des applications à la fois intérieures et internationales. Notre gouvernement mènera ce genre de politique en fonction de ses intérêts, à différents niveaux. » (emphase rajoutée, Air University of the US Air Force, AF 2025 Final Report :

    csat.au.af.mil/2025/volume3/vol3ch15.pdf)

    si pas dispo veuillez le trouver ici :vol3ch15.pdf



    La COP15 de Copenhague



    La manipulation du climat à des fins militaires est une menace potentiellement plus grande pour l'humanité que les émissions de CO2.

    Pourquoi a-t-elle été exclue du débat à la 15ème Conférence sur le changement climatique de l’ONU (COP15), alors que la Convention des Nations Unies de 1977 précise très explicitement que « l’usage militaire ou à toutes autres fins hostiles de ces techniques peut avoir un effet extrêmement préjudiciable au bien-être de l’homme » ? (Convention on the Prohibition of Military or Any Other Hostile Use of Environmental Modification Techniques United Nations, Genève, 1977)



    Pourquoi ce camouflage ?



    Pourquoi les techniques de modification environnementale (ENMOD) ne sont pas débattues par la société civile et les organisations écologistes sous les auspices du KlimaForum09 du Forum Alternatif ?



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    Articles apparentés (en anglais)



    Spencer Weart, Environmental Warfare: Modification du climat Schemes, Global Research, 5 décembre 2009



    Weather War?, Daily Express, 16 juillet 2007.



    Michel Chossudovsky, Weather Warfare: Beware the US military’s experiments with climatic warfare, The Ecologist, décembre 2007.


    Michel Chossudovsky, The Ultimate Weapon of Mass Destruction: "Owning the Weather" for Military Use, Global Research, 27 septembre 2004.


    Voir en PDF : Assemblée générale de l'ONU, Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modifications de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (10 décembre 1976):

    http://www.un.org/french/documents/view_doc.asp?symbol=A/RES/31/72


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    Article original en anglais: Excluded from the Copenhagen Agenda: Environmental Modification Techniques (ENMOD) and Climate Change, The manipulation of climate for military use, publié le 5 décembre 2009.



    Traduction : Pétrus Lombard

    Articles de Michel Chossudovsky publiés par Mondialisation.ca


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    Réchauffement planétaire : « Façonner les données climatiques pour concorder avec la politique »

     

    par Michel Chossudovsky

    Mondialisation.ca, Le 7 decembre 2009  

    Plus de 15 000 personnes se réuniront à Copenhague pour COP15 : la 15e Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). 



    Des délégations officielles de 192 pays se mêleront aux représentants de grandes sociétés multinationales, dont Royal Dutch Shell et British Petroleum. Les représentants d’organisations environnementales et de la société civile seront également présents. (Parties et observateurs).



    Il est prévu que des chefs d’État et de gouvernement seront présents pour la dernière partie de l’événement. (Voir The essentials in Copenhagen - COP15 United Nations Climate Change Conference Copenhagen 2009)



    Il convient de noter que les décisions et orientations clés du COP15 avaient déjà été conclues au Sommet mondial des affaires sur le changement climatique (SMACC) qui s’est tenu en mai à Copenhague, six mois avant COP15.



    Le SMACC a réuni certains des plus éminents dirigeants d’entreprise et leader mondiaux, dont Al Gore et le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki Moon. (The World Business Summit on Climate Change, inclut une webémission)

        

    Les résultats de ces consultations de haut niveau ont été transmis au gouvernement danois ainsi qu’aux gouvernements des États membres participants. Un soi-disant résumé sommaire pour les responsables a été rédigé par PricewaterhouseCoopers LLP pour le compte des dirigeants d’entreprise ayant participé à l’événement. Ce rapport a peu à voir avec la protection environnementale. Il consiste largement en un programme motivé par le profit, lequel utilise le consensus du réchauffement climatique comme justification. (Pour connaître les détails, voir Climate Council: The World Business Summit on Climate Change)



    « L’ambition sous-jacente au Sommet était d’aborder les défis jumeaux des changements climatiques et de la crise économique. Les participants au Sommet ont examiné comment ces risques peuvent être transformés en opportunité si le milieu des affaires et les gouvernements travaillent ensemble et quelles politiques, quels incitatifs et quels investissements stimuleront le plus efficacement une croissance à faibles émissions de carbone » (Copenhagen Climate Council)



    À la fois les gouvernements, les dirigeants d’entreprise et la communauté des organisations non gouvernementales (ONG) maintiennent que le programme de la Conférence sur le changement climatique (7-18 décembre 2009) est « l’un des rassemblements les plus significatifs de l’histoire. On dit de cette conférence qu’elle constitue l’accord le plus complexe et le plus crucial que le monde ait jamais vu ».



    On proclame que les émissions de CO2 sont la seule et la plus importante menace pour le futur de l’humanité.



    Le point central de la Conférence porte sur des questions strictement environnementales. On ne mentionne pas la « guerre » mondiale – c’est-à-dire la guerre menée par les États-Unis et l’OTAN et ses conséquences environnementales désastreuses.



    On ne mentionne pas l’usage préemptif d’armes nucléaires comme instrument d’« établissement de la paix ».



    On n’en mentionne pas, à titre d’élément d’un débat environnemental, les retombées radioactives résultant des bombes nucléaires humanitaires du Pentagone. Les armes nucléaires tactiques, selon l’opinion scientifique commandée par le Pentagone sont « sécuritaires pour les populations environnantes »



    On ne mentionne pas la « guerre météorologique » ou les « techniques de modification de l’environnement » (CNMOD), ni la guerre climatique.



    Dans le débat sur les changements climatiques, on ne fait aucune mention du projet 2025 de l’Armée de l’air étatsunienne intitulé « Owning the Weather » (Posséder la météo), à des fins militaires. (Voir FAS, AF2025 v3c15-1 | Weather as a Force Multiplier: Owning... | (Ch 1) et SPACE.com -- U.S. Military Wants to Own the Weather)



    Malgré un vaste corpus de connaissances scientifiques, la question de manipulations climatiques délibérées à des fins militaires ne fait plus partie du programme de l’ONU sur le changement climatique. Elle était cependant à l’ordre du jour au Sommet de Rio en 1992. (Voir Michel Chossudovsky, Environmental Warfare and Climate Change, Global Research, 27 novembre 2005 et, du même auteur, Weather Warfare: Beware the US military’s experiments with climatic warfare, The Ecologist, décembre 2007)



    Le CO2 est le logo qui décrit la crise mondiale. Aucune autre variable n’est examinée.



    Par ailleurs, aucune politique antipollution atmosphérique significative visant les émissions de CO2 ne peut être formulée comme objectif à part entière, puisque la réduction des émissions de CO2 est subordonnée au consensus du réchauffement planétaire.



    Les mots « pauvreté », « chômage » et « maladies » résultant d’une dépression économique mondiale ne sont pas une question d’emphase, car les sources financières officielles mentionnent sans équivoque que « la récession économique est terminée ».



    Et la guerre au Moyen-Orient et en Asie centrale n’est pas une guerre mais « une opération humanitaire dirigée contre les terroristes et les États voyous ».


    La vraie crise



    Le sommet de Copenhague sert non seulement de puissants intérêts d’entreprises, lesquelles ont des intérêts dans le système mondial d’échange de droits d’émission de carbone valant plusieurs milliards de dollars, il sert également à détourner l’attention du public de la dévastation résultant de la « vraie crise » sous-jacente au processus de mondialisation économique et à une guerre sans frontières dictée par le profit, que le Pentagone appelle « la longue guerre ».



    Nous sommes au carrefour de la crise la plus sérieuse de l’histoire moderne. La guerre et la dépression économique constituent la vraie crise. Pourtant, à la fois les gouvernements et les médias ont dirigé leur attention sur la dévastation environnementale causée par les émissions de CO2, que l’on affirme être la plus grande menace pour l’humanité.



    Le très lucratif système d’échange de droits d’émission de carbone



    Le système d’échange de droits d’émission de carbone est un fructueux filon de plusieurs milliards de dollars pour l’establishment financier. Les enjeux sont extrêmement élevés et les divers groupes de pression travaillant pour le compte de Wall Street se sont déjà positionnés.



    Selon un récent reportage « le marché du carbone pourrait devenir deux fois plus important que le vaste marché du pétrole, d’après la nouvelle catégorie de joueurs de la City transigeant des émissions de gaz à effet de serre par le système d’échange de droits d’émission de carbone […] La rapidité de cette croissance dépendra de l’approbation ou non d’une économie à faibles émissions de carbone au sommet de Copenhague, mais Ager affirme que peu importe ce qu’il arrive, des projets tel l’ETS (Emissions Trading Scheme, marché du carbone) se développeront à travers le monde ». (Terry Macalister, Carbon trading could be worth twice that of oil in next decade, The Guardian, 28 novembre 2009)



    Les grands conglomérats financiers impliqués dans le commerce des dérivés, dont JP Morgan Chase, Bank America Merrill Lynch, Barclay's, Citi Bank, Nomura, la Société Générale, Morgan Stanley et Goldman Sachs prennent part activement aux échanges de droits d’émission de carbone. ( FACTBOX: Investment banks in carbon trading | Reuters, 14 septembre 2009)



    La légitimité de ce système d’échange repose sur la légitimité du consensus du réchauffement climatique, lequel voit les émissions de CO2 comme la seule menace environnementale. Et pour Wall Street, le système d’échange de droits d’émission de carbone est un filet de sécurité profitable et opportun permettant le transfert de milliards de dollars dans les poches d’une poignée de conglomérats.



    « Tous les établissements financiers de Londres et New York ont mis en place des opérations d’échange de droits d’émission de carbone. De très gros montants dansent dans leurs têtes et ils en ont besoin pour remplacer la "richesse" qui s’est évaporée dans l’effondrement immobilier. Louis Redshaw, chef des marchés environnementaux chez Barclays Capital a confié au New York Times que "le marché du carbone sera le plus grand de tous" Barclays croit que l’actuel marché du carbone d’une valeur de 60 milliards de dollars pourrait atteindre 1 billion de dollars en l’espace d’une décennie. Il y a quatre ans, M. Redshaw un ancien négociateur en électricité, n’arrivait pas à trouver personne pour lui parler du carbone ». (Mark Braly, The Multibillion Dollar Carbon Trading, RenewableEnergyWorld.com, 5 mars 2008)



    La base de données du réchauffement climatique



    Le consensus du réchauffement climatique est-il basé sur des données fiables?



    Il existe des indices démontrant qu’à la fois les concepts et les données sur la température et les émissions de gaz à effet de serre incluant le CO2 ont été ajustés et modelés pour cadrer avec le programme du Groupe d’experts de l’ONU sur l’évolution du climat (GIEC).



    Depuis plusieurs années on questionne les affirmations du GIEC, incluant la base données. (Voir Le dossier de Global Research sur les changements climatiques : Archive de plus de 100 articles en anglais)



    Dans des reportages, de nombreux scientifiques éminents ont fait une analyse critique du consensus sur les changements climatiques.



    À cet égard, on a résolument tenté de faire taire les critiques, comme le mentionne dans ses écrits le météorologue du Massachusetts Institute of Technology (MIT) Richard S. Lindzen (Voir Richard Lindzen, Climate of Fear: Global-warming alarmists intimidate dissenting scientists into silence, Global Research, 7 avril 2007)



    Les scientifiques qui ont une opinion différente de l’alarmisme ont vu leurs fonds de subvention disparaître, leur travail tourné en ridicule et se sont vus étiquetés comme étant des laquais des industries, des scientifiques ratés de seconde main ou pire encore. Par conséquent, les mensonges à propos des changements climatiques gagnent en confiance même s’ils contredisent la science qui leur sert supposément de base.



    Le « Climategate » et le scandale des courriels



    En novembre 2009 à peine quelques semaines avant l’inauguration du sommet de Copenhague, on a révélé une grande base de données de plus de 3000 échanges de courriels entre des scientifiques et des chercheurs clés étudiant les changements climatiques.



    Bien que les courriels ne prouvent pas que la base de données en entier a été falsifiée, ils démontrent néanmoins une malhonnêteté scientifique et de la tromperie de la part de plusieurs éminents scientifiques directement liés au GIEC.



    Les courriels suggèrent que les données ont été modelées dans le but de soutenir un programme de politiques prédéterminé. « Façonner les données climatiques pour concorder avec la politique » ("Fixing the climate data to fit the policy") est le modus operandi comme le révèlent les courriels des scientifiques haut placés en lien direct avec le travail du GIEC.



    Les médias britanniques ont reconnu que les scientifiques étaient résolus à manipuler les données sur les changements climatiques et à exclure les critiques :



    [Les commentaires en dessous des citations sont du Telegraph].



    De : Phil Jones. À : Many. 16 nov. 1999
    « Je viens de terminer le truc de Mike's Nature [le journal scientifique] consistant à ajouter les vraies températures à chaque série pour les 20 dernières années (c’est-à-dire à partir de 1981) et à partir de 1961 pour celui de Keith pour cacher le déclin. »



    Les critiques citent ce qui précède comme étant une preuve que les données ont été manipulées pour masquer le fait que les températures planétaires baissent. Le professeur Jones affirme que la signification de « truc » a été mal interprétée.



    De : Phil Jones À : Michael Mann (Pennsylvania State University). 8 juillet 2004
    « Je ne peux imaginer aucun de ces deux documents dans le prochain rapport du GIEC. Kevin et moi les tiendront à l’écart d’une manière ou d’une autre – même si nous devons redéfinir ce qu’est la littérature évaluée par des pairs ! »



    Le GIEC est l’organisme de l’ONU chargé de surveiller les changements climatiques. Les scientifiques ne voulaient pas considérer des études qui contestent la vision voulant que le réchauffement climatique soit réel et d’origine humaine.



    De : Kevin Trenberth (US National Center for Atmospheric Research). À : Michael Mann. 12 oct. 2009

    « Le fait est que nous ne pouvons pas justifier l’absence de réchauffement en ce moment et cette impossibilité constitue un travestissement […] Notre système d’observation est inadéquat. »



    Le professeur Trenberth semble accepter un argument clé des sceptiques du réchauffement climatique, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de preuve que les températures ont augmenté dans les 10 dernières années.



    De : Phil Jones. À : Many. 11 mars 2003

    « Je vais envoyer un courriel au journal pour leur dire que je n’ai plus rien à voir avec celui-ci jusqu’à ce qu’ils se débarrassent de cet ennuyeux rédacteur en chef. »



    Le professeur Jones semble faire du lobbying pour le renvoi de l’éditeur de Climate Research, un journal scientifique ayant publié des articles minimisant l’importance des changements climatiques.



    De : Phil Jones. À : Michael Mann. Date: 29 mai 2008
    « Pouvez-vous supprimer tous les échanges de courriels que vous pourriez avoir eu avec Keith concernant AR4? Keith fera de même.



    Les sceptiques des changements climatiques ont tenté de recourir aux Lois d’accès à l’information afin d’obtenir des données climatiques brutes soumises à un rapport du GIEC connu sous le nom de AR4. Les scientifiques ne voulaient pas que leurs échanges de courriels sur les données soient rendus publics.



    De : Michael Mann. À : Phil Jones et Gabi Hegerl (University of Edinburgh). Date: 10 août 2004
    « Phil et moi devront probablement réagir à davantage de foutues critiques de ces idiots dans un futur rapproché. »



    Les scientifiques ne font aucun effort pour cacher leur mépris envers les sceptiques des changements climatiques qui demandent davantage d’informations sur leur travail.



    (Courriels de University of East Anglia : les citations les plus controversées -- Telegraph, 23 novembre 2009).




    La liste complète des courriels controversés peut être consultée au Alleged CRU Emails - Searchable publiés par eastangliaemails.com.



    Ce qu’il y a de significatif est que les auteurs des courriels sont directement impliqués dans le GIEC :



    « [Il s’agit] du petit groupe de scientifiques qui ont été, depuis des années, plus influents que quiconque pour sonner l’alarme dans le monde entier à propos du réchauffement climatique, surtout en raison du rôle qu’ils jouent au cœur du GIEC. »



    Le professeur Philip Jones, directeur du Climate Research Unit (CRU), est en charge des deux séries de données clés utilisées par le GIEC pour la formulation de ses rapports. En raison de ses liens avec le Hadley Centre, qui fait partie du Met Office britannique (service national britannique de météorologie), lequel sélectionne la plupart des contributeurs scientifiques clés du GIEC, son registre des températures planétaires est le plus important des quatre séries de données de température sur lesquelles se fient le GIEC et les gouvernements—surtout pour leurs prédictions voulant que la planète se réchauffe jusqu’à des niveaux catastrophiques, à moins que l’on dépense des billions de dollars pour l’éviter.



    Le Dr Jones est également un acteur principal du groupe tissé serré de scientifiques états-uniens et britanniques responsable de la promotion de cette représentation des températures planétaires véhiculée par le graphique du « bâton de hockey » de Michael Mann. Ce graphique a inversé l’histoire du climat il y a 10 ans en démontrant que, après 1000 ans de déclin, les températures mondiales ont récemment atteint leurs niveaux les plus élevés de l’histoire depuis que ces données sont enregistrées. (Prof. Christopher Booker, Climate Change: This is the Worst Scientific Scandal of our Generation, The Telegraph, 28 novembre 2009)



    L’un des courriels controversés du Dr Jones (publiés par eastangliaemails.com) met en évidence la manipulation délibérée des données.


    Chers Ray, Mike et Malcolm,

    Lorsque Tim aura un diagramme ici nous l’enverrons soit plus tard aujourd’hui ou à la première heure demain.

    Je viens de terminer le truc de Mike's Nature [le journal scientifique] consistant à ajouter les vraies températures à chaque série pour les 20 dernières années (c’est-à-dire à partir de 1981) et à partir de 1961 pour celui de Keith pour cacher le déclin. Les séries de Mike comprennent les valeurs terrestres et marines annuelles alors que les deux autres comprennent les NH de la terre de 20N (NH land N of 20N) d’avril à septembre. Les deux derniers sont réels pour 1999, alors que l’estimation pour 1999 pour les NH combinés est de +0.44C wrt par rapport à 61-90. L’estimation mondiale pour 1999 avec les données jusqu’en octobre est de +0.35C cf. 0.57 pour 1998.

    Merci pour les commentaires Ray.



    Aurevoir

    Phil



    Prof. Phil Jones

    Climatic Research Unit Telephone +44 xxx xxxx xxxx

    School of Environmental Sciences Fax +44 xxx xxxx xxxx

    University of East Anglia

    Norwich Email p.jones@xxxxxxxxx.xxx

    NR4 7TJ

    UK



    Source: Alleged CRU Emails - Searchable publié par eastangliaemails.com



    Enquête du Congrès des États-Unis

    À peine deux semaines avant l’inauguration du sommet de Copenhague, le Congrès états-unien enquête maintenant sur les « courriels du réchauffement climatique » :



    « Le Congrès des États-Unis a commencé à enquêter sur les scientifiques dont les courriels et les documents ont été piratés, afin de voir si leurs théories du réchauffement planétaire ont déformé la vérité derrière la cause des changements climatiques.



    Les enquêteurs ont commencé à « étudier » les 1079 courriels et plus de 3800 documents que des pirates informatiques ont volé la semaine dernière au Climate Research Unit (CRU) à l’Université East Anglia au Royaume-Uni, a déclaré le représentant de la Californie Darrel Issa au Wall Street Journal.



    Certains des courriels et des fichiers qui ont fui – mis en ligne sur des sites comme www.Wikileaks.org et www.EastAngliaEmails.com – démontrent des tensions croissantes entre les scientifiques et les sceptiques. D’autres sont des annonces triviales de futures conférences ou de voyages de recherche.



    Selon son site web, le représentant James Inhofe de l’Oklahoma a dit lundi que la correspondance qui a coulé suggère que les chercheurs ont « truqué les données scientifiques pour donner l’impression que dans cette affaire, la science était établie, alors que tout le long, bien sûr, nous savions qu’elle ne l’était pas ».



    Le Conseiller scientifique de la Maison-Blanche John Holdren a lui aussi fait l’objet d’une enquête, après qu’un de ses courriels écrit en 2003 à Michael Mann du Pennsylvania State University a été piraté.



    « Je suis heureux de m’en tenir à ma contribution à cet échange. Je crois que quiconque lit en entier ce que j’ai écrit considérera qu’il s’agit d’un traitement sérieux et équilibré de la question du "fardeau de la preuve" dans des situations où la science relative à la politique publique est contestée »



    Entre-temps, l’Université d’East Anglia a affirmé qu’elle coopérerait avec la police et procéderait à sa propre enquête interne. L’université a publié une déclaration qualifiant la révélation de « malveillante » et affirmant qu’elle aide la police dans son enquête.



    La déclaration cite également M. Jones, le directeur du CRU, expliquant son courriel de novembre 1999, lequel disait : « Je viens de terminer le truc de Mike's Nature [le journal scientifique] consistant à ajouter les vraies températures à chaque série pour les 20 dernières années (c’est-à-dire à partir de 1981) et à partir de 1961 pour celui de Keith pour cacher le déclin. »



    M. Jones a dit que le terme « truc » était utilisé de façon « familière en signifiant quelque chose de brillant » et qu’il est « ridicule de suggérer qu’il fait référence à quoi que ce soit d’inconvenant ».



    Les données divulguées arrivent seulement deux semaines avant le début de la conférence de l’ONU sur le climat à Copenhague qui se tient du 7 au 18 décembre et où 192 pays se rencontreront pour discuter d’une solution destinée à réduire les émissions planétaires de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre. (International Business Times, 24 novembre 2009)



    Pendant ce temps, la « communauté internationale » (appuyée par les médias dominants) a lancé une contre-offensive, accusant les critiques de mener une campagne de diffamation :



    La semaine dernière le président du GIEC, Rajendra Pachauri, a soutenu les conclusions de 2007 de son groupe d’experts. Cette étude constitue la base d’une réaction mondiale pour le climat, incluant les cibles d’émission de carbone proposées cette semaine par la Chine et les États-Unis.



    Jusqu’à maintenant, les scientifiques travaillant sur le climat ne disent rien des courriels divulgués [qui] invalident le fait que les preuves du changement climatique sont solides. En fait, une nouvelle étude dans la revue Science démontre que la calotte glaciaire fond à un rythme plus rapide que ce qui avait été prévu il n’y a que quelques années.



    Lors d’un appel téléconférence avec des journalistes cette semaine, un des scientifiques dont les courriels ont fuit, le paléoclimatologue du Pennsylvania State University Michael Mann, a déclaré que « peu importe comment les courriels sont sélectionnés » il n’y a « absolument rien dans aucun des courriels qui questionne le niveau élevé du consensus sur le changement climatique ».



    Il s’agit d’une « campagne de détraction pour distraire le public », a ajouté M. Mann, un co-auteur du Diagnostic de Copenhague, le rapport sur les changements climatiques publié cette semaine avant le sommet de Copenhague. « Ceux qui s’opposent à une action pour le climat n’ont tout simplement pas la science de leur côté », a-t-il lancé.



    Le professeur Trevor Davies du CRU d’East Anglia a qualifié les données volées du dernier exemple d’une campagne destinée « à détourner l’attention d’un débat rationnel » sur les changements climatiques avant le sommet de Copenhague. (As Copenhagen summit nears, ‘Climategate’ dogs global warming debate | csmonitor.com, Christian Science Monitor, 28 novembre 2009, c’est l’auteur qui souligne)



    Toutefois, ce qu’il y a de significatif à propos de cette contre-offensive est que l’authenticité des courriels n’a pas été contestée par les scientifiques du GIEC.



    Les scientifiques ne disent pas « nous ne l’avons pas fait ». Ils disent que le consensus sur les changements climatiques tient, indépendamment des gestes qu’ils ont posés d’une part pour manipuler les données de façon sélective et d’autre part pour exclure les critiques du débat scientifique sur le changement climatique.


    Quelle est la position des organisations environnementales et de celles de la société civile?



    Les organisations de la société civile se mobilisent actuellement dans le but de faire pression sur les délégations gouvernementales officielles :



    « Il y a deux ans, lors d’une précédente conférence à Bali, tous les gouvernements des Nations Unies se sont mis d’accord pour un calendrier qui garantirait une entente solide sur le climat avant la conférence de Copenhague. Le fait de ne pas atteindre cet objectif a des implications énormes, voire impensables. Tournez-vous vers le film de nos grands partenaires –L’Ère de la stupidité – si vous avez besoin de vous convaincre des raisons.



    Lors de la rencontre – à laquelle les chefs des grands États devraient participer dans les trois derniers jours – les participants tenteront d’arriver à un accord extrêmement complexe sur la réduction des émissions de carbone, en fournissant du financement pour l’atténuation des impacts et l’adaptation, et appuyer le transfert de technologie du Nord au Sud.



    Il s’agit d’une étape importante de l’histoire, une étape où la société civile doit s’exprimer d’une seule voix pour demander un accord juste, ambitieux et contraignant. Nous sommes prêts, mais nous devons faire savoir aux dirigeants que le monde, lui aussi est prêt. L’êtes-vous? (COP-15 Copenhagen Climate Conference | TckTckTck)



    Quelle position prennent les activistes de la société relativement au scandale des courriels sur les changements climatiques?



    Ces organisations de la société civile, dont bon nombre d’entre elles sont financées par d’importantes fondations et des gouvernements, continuent-elles de cautionner sans réserves le consensus du réchauffement planétaire?



    Le World Wildlife Fund (WWF) et Greenpeace font partie des diverses organisations civiles clés qui promeuvent le programme de Copenhague. Leur position demeure inchangée.



    Les organisations environnementales demandent une réduction des émissions de CO2, non pas dans le but de s’attaquer à la pollution, mais comme instrument pour renverser le processus de réchauffement planétaire. Pour bon nombre de ces organisations, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) est la « bible ». On ne peut la contester même si la base de données qui confirme le consensus du réchauffement planétaire s’avère discutable ou controversée.



    Alors que les groupes de pression des ONG dominantes, dont Greenpeace et le WWF, continuent d’appuyer le consensus, il existe un petit mouvement grandissant qui conteste la légitimité du programme COP15 du sommet de Copenhague, tout en accusant le GIEC de manipuler les données. Cette manipulation sert également le système d’échange de droits d’émission de carbone, motivé par le profit.



    Le Sommet Alternatif : le KlimaForum09







    Les ONG se rencontreront lors d’un sommet parallèle, le KlimaForum09. Plus de 10 000 personnes par jour y sont attendues.



    Les grandes ONG internationales et les groupes environnementaux y seront, incluant Les Ami(e)s de la Terre et Campaign against Climate Change, parmi d’autres.



    Le Klimaforum09 servira à finaliser l’ébauche d’une déclaration qui « mettra en œuvre une vision d’une société mondiale plus juste, [tout en] mettant l’accent sur le besoin d’apporter des changements substantiels dans les structures économiques et sociales de la société afin de relever les défis du réchauffement climatique et de la souveraineté alimentaire ». (Voir Declaration · Klimaforum09)



    Alors qu’il existe une opposition féroce au système d’échange de droits d’émission de carbone au sein de la communauté des ONG, le Sommet alternatif ne contestera pas le consensus du réchauffement planétaire et sa base de données sous-jacente. (All events·Klimaforum09).



    Tandis que des voix critiques actives émergeront des diverses sessions du Forum alternatif, l’enveloppe organisationnelle du KlimaForum09 demeure conciliante avec le programme officiel. À plusieurs égards, la rhétorique des organisateurs danois du KlimaForum09 concorde avec celle du gouvernement hôte du sommet officiel, lequel finance aussi incidemment le sommet alternatif. (Political Platform · Klimaforum09"). Cela signifie que les frontières de la dissidence au sein du sommet alternatif ont été soigneusement définies.



    Il ne peut y avoir de réel activisme à moins que les mensonges et les manipulations sous-jacentes aux activités du GIEC de l’ONU, dont la base de données et le système de plusieurs milliards de dollars d’échange de droits d’émission de carbone motivé par le profit soient révélés, débattus et compris.

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    Article original en anglais « Global Warming: "Fixing the Climate Data around the Policy" », publié le 30 novembre 2009.


    Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca.


    Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur d'économie à l'Université d'Ottawa. Il est l'auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en 12 langues).


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  • Le « glas de la grippe porcine » (vidéo)

     

    Transcription d'une entrevue avec soeur Teresa Forcade

    Le 1 decembre 2009

    source: http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=16347 

     

      Teresa Forcades
    Sœur bénédictine
    Diplômée de médecine de l’Université de Barcelone
    Spécialisation en médecine interne à la New York State University
    Diplomée en théologie de Harvard

     

    Teresa Forcades est une nonne bénédictine du monastère de San Benet à Montserrat, près de Barcelone, en Espagne. Avant de rejoindre le monastère, Teresa pratiquait la médecine depuis plusieurs années, elle était spécialisée en médecine interne. Elle est docteur en santé publique, ayant reçu son Phd dans une université de Barcelone. Elle a également effectué une période de recherche à l’Université d’État de New York.

    Dans cette vidéo Teresa discute des origines probables du virus actuel de la grippe H1N1, et pourquoi, en dépit des déclarations de l’OMS, il n’y a pas de pandémie. Elle discute aussi des détails et risques du programme de vaccination, des motivations politiques et économiques, et du danger que, sous la panique créée par l’OMS à propos de la “pandémie”, la vaccination obligatoire est introduite, elle lance un appel pour une approche sereine de la maladie en insistant sur le droit des citoyens de refuser de se faire vacciner contre celle-ci..Elle a aussi un nouveau blog sur catalunyareligió.cat sur lequel elle partage ses écrits sur la grippe et d’autres sujets.

    source en français : http://diablogtime.free.fr/

    BELL TOLLING for the Swine Flu (CAMPANAS por la gripe A) subtitled from ALISH on Vimeo.

    Transcription d'une entrevue avec TERESA FORCADES

    Monastère de san Benet, Monteserrat, Barcelone, le 23 septembre 2009.



    CAMPANAS por la gripe A

    Reportage de Alicia Ninou et de Judith Abadias

    http://vimeo.com/7298827



    Mon nom est Teresa Forcades i Villa. Je suis une sœur Bénédictine au Monastère de san Benet de Monteserrat .

    Avant d’entrer au monastère, j’ai pratiqué la médecine durant plusieurs années. Je suis un médecin spécialisé en médecine interne et j’ai un doctorat en santé publique à l’université de Barcelone. J’ai complété une spécialisation à l’université d’état de New York.

    Qu’est-ce qu’on appelle la grippe porcine (A)? C’est aussi appelé, principalement en Catalogne, ‘’La nouvelle grippe’’. Ce terme (La nouvelle grippe) peut amener les gens à croire que le virus de la grippe de type ‘’A‘’ est un nouveau virus. Bien ce n’est pas un nouveau type de virus. Les virus de type ‘’A‘’ font partie de la grippe commune annuelle… la grippe saisonnière. (…)

    Peut-être que vous êtes déjà au courant, mais je débute toujours avec les éléments de base.

    Nous avons les types de virus A, B, C. Ces derniers sont les virus connus affectant les humains. Vu que normalement le virus ‘’C’’ n’affecte qu’une petite partie de la population, il n’est pas utilisé pour fabriquer des vaccins annuels. Par conséquent, chaque année, le vaccin de la grippe saisonnière est un mélange de virus de types ‘‘A’’ et ‘’B’’. Donc, la soi-disant ‘’nouvelle grippe ou la grippe porcine’’ n’est pas nouvelle parce qu’elle est de type ‘‘A’’. Alors, certains vont soutenir qu’elle est nouvelle à cause des antigènes du virus A-H1N1. Du virus A-H1N1, l’hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N) sont des protéines de surface qui pourraient apparaître pour donner la nouvelle nature. Bien, ce n’est pas le cas.

    On doit le dire ces protéines n’apporte pas une nouvelle nature à ce virus, parce que ce même groupe, A-H1N1, fut le même groupe de virus de la grippe que celui de 1918 qui tua plus de 20 millions de personnes à travers le monde. C’était le même groupe de virus et il a existé au sein de la population jusqu’au milieu des années ‘’50’’ environs.

    En 1957, il sembla disparaître de ce qui est connu comme les virus de la grippe saisonnière et il réapparut dans l’année 1977. Et je cite ‘’The New England Journal of Medecine’’, le journal de médecine le plus connu et respecté. Cela peut être vérifié par tout médecin ou toute personne dans le ‘’The New England Journal of Medecine’’ le mois dernier (septembre) un article présente l’histoire de la grippe annuelle. L’article confirme comme un fait réel que ce virus est réapparu (le virus A-H1N1) en 1977 parce qu’il a été re-synthétisé en laboratoire. Donc, il est sorti d’un laboratoire. Et je dis re-synthétisé, mais il semble que ce qui est arrivé c’est qu'ils ont exhumé le corps d’une femme Innuit (Eskimau) qui est morte de cette grippe en 1918. Comme son corps demeura sous la glace et il fut possible d’en récupérer à partir des tissus les éléments nécessaires pour reproduire ou pour re-synthétiser le virus.

    Récapitulons. Cela arriva en 1977 et selon ‘’The New England Journal of Medecine’’ cela est un fait établi. À partir de 1977, nous avons alors le virus de la grippe A-H1N1 comme faisant partie d’un pool ou d’un mélange de virus des grippes saisonnières.

    Alors, qu’est-ce qui est nouveau cette année? La nouveauté est la souche virale (S-OVI, pour Swine-Origine Influenza Virus, en français, Virus de l’influenza d’origine porcine), la souche inconnue jusqu’à maintenant. C’est une nouvelle souche qui fut diagnostiquée pour la première fois le 17 avril (2009). Il semble que c’est l’origine du premier diagnostique avec les deux cas en Californie. Ce sont les premiers cas rapportés lorsque nous avons entendu parler pour la première fois du nouveau virus. Donc la nouveauté est juste la souche (S-OIV). C’est le premier fait scientifique.

    Le second fait scientifique important à avoir en tête, c’est que depuis le 17 avril jusqu’au 15 septembre, la dernière fois que j’ai lu les statistiques, les données montrent 137 morts en Europe et 3 559 morts à travers le monde. Donc, l’hiver austral est déjà passé dans les pays de l’hémisphère sud, à travers de ce qu’on appelle l’hiver austral, avec le nouveau virus. Et, il y a eu un taux de mortalité moindre que d’habitude durant cette période. Les nombres que je cite… du 17 avril au 15 septembre, 137 morts en Europe et 3 559 morts à travers le monde. Et je les cite parce qu’il est important de la faire, il y a eu des tas de déclarations, mais je n’en citerai qu’une fait par un membre du Comité d’éthique médicale national de France qui se nomme J. Dupré ou, par exemple, une autre par le Président des Associations médicales générales de l’état espagnol, Rodriguez Sendin, deux docteurs prestigieux qui ont confirmé, en se basant sur des données scientifiques, que nous avons devant nous ce nouveau virus ayant une plus basse mortalité que la grippe ordinaire ou que les grippes saisonnières.

    Je terminerai cette partie scientifique sur une note importante, un morceau important de données pleinement accrédité par la littérature médicale qui dit qu’il est établit que les gens âgés de 60 ans et plus ont déjà 33% d’immunité contre le nouveau virus. Ce sont des faits objectifs importants à prendre en compte avant d’entrer dans une plus profonde évaluation.

    Ensuite, je mentionnerai deux irrégularités ou conséquences qui se sont produites dans la découverte de ce virus relativement à la nouvelle souche. Les irrégularités demeurent et sont demeurées, à ma connaissance et à la connaissance de tout observateur, non clarifiées, et ils sont trop sérieux pour restez non-clarifiées.

    D’abord, la journaliste d’enquête Jane Bürgermeister a intenté une poursuite pou bioterrorisme et tentative de meurtre de masse à l’encontre de l’OMS, certains Présidents directeurs généraux des compagnies et des gouvernements. (J. Bürgermeister est une journaliste née en Suisse avec une citoyenneté autrichienne et irlandaise qui a appris… et qui est la seule qui a fourni l’information, chacun peut vérifier cette information que je vais vous révéler, elle est véridique et objective)+.

    Qu’est-ce qui est arrivé ?

    À la fin de janvier 2009, donc avant que le nouveau virus fût découvert Baxter Pharmaceutical – une compagnie des Etats-Unis avec très importante filiale en Autriche a procédé à la distribution à partir de sa filiale autrichienne, via quatre pays voisins européens dont la République Tchèque, la Slovénie et l’Allemagne, à seize différents laboratoires, du matériel de vaccination pour la grippe pour le vaccin de la grippe saisonnière à être administré, entre février et mars, aux populations de ces pays. Ce matériel pesait 72 kilogrammes, bien que je n’ais pas calculé le nombre exact de doses mais cela veut dire des milliers et des milliers de doses. Cela fut distribué et ici il se produit à travers une de ces coïncidences de la vie qui font que des situations et des plans sont révélés qui autrement seraient restés dans le noir.

    La compagnie Bio-test de la République tchèque fut l’un des destinataires de ce matériel. Un des techniciens de laboratoire décida de son propre chef de procéder, à un test de sécurité additionnel sur le matériel de vaccination reçu. Il était qualifié pour le faire le test, mais il n’y était pas obligé. Ainsi, avant la distribution de ce vaccin, le technicien l’a inoculé à des belettes ou des furets, des petits mammifères qui ont été utilisés depuis 1918 pour tester les vaccins de la grippe. Il inocula les belettes et tous moururent. Lorsqu’il observa ces mortalités imprévues et étant donné que le vaccin inoculé ne devait pas causer la mortalité des belettes, il sonna immédiatement l’alarme et ils débutèrent des vérifications afin d’établir le contenu de ce matériel reçu de Baxter, parce que si leur contenu était un vaccin, la mort de tous ces animaux était inexplicable.

    Les résultats des analyses montrèrent que du matériel expédié par Baxter, à ces seize laboratoires. Deux virus vivants coexistaient. L’un était le virus de la grippe aviaire. Le virus de la grippe aviaire qui apparut en 2005 et qui causa un taux de mortalité élevé et n’infecta que quelques personnes. Le nombre de morts à travers le monde (par cœur) fut autour de 250. Mais ce que nous savons, ce furent environ 600 qui furent infectés. Donc, le taux de mortalité de ce virus est très élevé, mais le taux d’infection est minimal. Ce virus fut mélangé avec un virus de la grippe saisonnière qui, comme nous le savons tous, a un taux de mortalité extrêmement bas, ce qui signifie plus bas que 0,01% , plus bas que 1% de mortalité, mais avec un haut degré de transmission. Bien, c’est très contagieux.

    Si vous mélangez ces deux virus et, ensuite vous les distribuez à des milliers de personnes, ce que vous faites, c’est de maximiser les probabilités que ces deux virus se fusionnent pour se recombiner pour en former un nouveau virus pour être, à la fois, très létal et très infectieux. Cela a été officiellement admis par Baxter...

    Note : Ils ont admis que la contamination s’est produite, mais que le matériel n’était pas destiné aux humains. Réclamant la protection derrière les droits à la confidentialité, ils n ‘ont pas révélé l’information au sujet de sa destination.

    … que le total de 72 kilogrammes du matériel contenait un mélange de virus vivants de la grippe aviaire et de la grippe saisonnière. C’est un fait.

    Cela serait-il arrivé par hasard?

    La première chose qui doit être dite c’est que c’est pratiquement impossible (…) Les laboratoires qui manipulent ces sortes de virus ont des niveaux de bio-sécurité en place. La bio-sécurité de niveau 3 est le plus élevé et celui qui doit être appliqué dans ce laboratoire. Cela signifie, que si nous parlons dans un contexte scientifique à propos de la probabilité, en se basant sur des faits connus, la probabilité que cela ait pu se produire par hasard est extrêmement basse.

    Non seulement cela, ce n’est pas seulement comment peut-on expliquer le mélange de ces deux différents virus vivants? Mais aussi parce que le vaccin de la grippe, nous le savons tous, est fait avec des virus atténués. Cela signifie qu’il est parfaitement normal pour le vaccin de la grippe de contenir du virus vivant; ce n’est pas une exception. Mais atténué, signifie que le virus doit passer par une procédure de radiation. Ces virus trouvés en République tchèque et dans tout le matériel de Baxter n’avaient pas été atténués. Donc, les chances que cela arrive par hasard, bien, c’est ce que je dis que scientifiquement ou simplement à partir d’une position humaine prudente, nous ne pouvons pas dire que c’est 100% impossible. Mais soyons clairs, c’est important de savoir comment c’est improbable qu’un accident se produise dans ces circonstances. En tout cas, cela est arrivé et c’est sous enquête.

    Cette journaliste Bürgermeister a déposé des accusations n’ont seulement à l’encontre de Baxter, mais aussi à l’encontre de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), elle a aussi déposé des accusations à l’encontre des gouvernements d’importants pays, parce que… il apparaît qu’avec l’information en main il est plus probable de penser en termes d’intention malicieuse et c’est ce qu’elle dénonce plutôt que de penser qu’il s’est produit une série de hasards presque impossible à concevoir. Mais, et j’insiste, il est très important de séparer les faits objectifs de ceux qui n’ont pas encore été prouvés.

    Je pense que la bonne chose au sujet du vidéo, à propos de cette information, c’est qu’il peut rejoindre le plus large public, plus de gens c’est mieux et par lui rejoindre ceux … à propos de l’existence des plans d’une élite mondiale qui veut qu’une partie de la population mondiale disparaisse ou même une grande partie de la population. Lorsque nous entendons tout cela, on peut se demander d’où tout ça provient. ‘’C’est de la science-fiction, je n’ai rien entendu parler de cela!’’ Je sais qu’il y a des personnes qui ont étudié cela pendant longtemps, mais j’espère que mon message atteigne quelqu’un qui dira : ‘’Regarde, je ne connais rien de ce matériel, mais j’ai juste entendu parlé qu’il y a un laboratoire qui a livré un vaccin contaminé et que, c’est intéressant (je n’ai pas mentionné cela, mais c’est un fait…) c’est l’un des laboratoires en charge de la fabrication des vaccins de la grippe cette année. Bien, ce seul fait rend justifiable à moi-même de penser que ‘’jusqu’à un tel temps comme une explication est donnée du pourquoi de cette contamination, je ne la voudrais pour moi, ni pour mon enfant, ni aucune personne près de moi.’’ Je ne sais pas si j’ai été assez clair sur ce point, parce que je crois qu’il est important que je me rende clair.

    Partie #2

    Je voudrais aller à la seconde irrégularité, parce qu’il y a cette seconde irrégularité encore plus scandaleuse que la première. La seconde irrégularité s’est passée ainsi.

    Ce que je viens de dire à propos de Baxter arriva en février. J’ai aussi dit que le 17 avril nous avons eu le premier diagnostic de la nouvelle grippe. Alors, le 29 avril, 12 jours après cette découverte des deux premiers cas, la directrice générale de l’OMS qui dépend de l’ONU, Dr. Margaret Chan, a fait une apparition publique et a annoncé un état d’alerte mondiale de niveau 5 pour la prévention de la pandémie. Qu’est-ce que cela signifie? Le niveau 5 est un très haut niveau, après le 5 il reste seulement le niveau 6. Le niveau 6 signifie que la pandémie se produit déjà.

    Qu’est-ce qu’une pandémie signifie? Demandons-nous comment Dr. Chan et l’Organisation Mondiale de la Santé, déclarent-ils une pandémie? Parce que je n’ai pas mentionné cela, mais, le 29 avril ils annoncent le niveau 5 et juste un mois et demi après l’apparition des premiers cas, le 17 avril, le 11 juin 2009 l’OMS déclare une pandémie de niveau 6, le niveau d’alerte médicale maximale. Nous avons alors une pandémie globale du virus de la grippe A-H1N1.

    Comment l’OMS pouvait-elle déclarer une pandémie, sachant que de virus a un taux de mortalité plus bas que le virus annuel? Alors, comment se fait-il qu’il n’y ait pas une pandémie chaque année, si le virus annuel est pire que ce nouveau virus? Comment il se fait-il que nous ne déclarons pas une pandémie chaque année? La réponse est que cette année, au mois de mai 2009, l’OMS a changé la définition de la pandémie à partir de cette définition courante d’une infection par un agent infectieux simultanément présent dans différents pays au même moment et avec un taux de mortalité significatif dans la proportion de la population affectée, en enlevant de la définition cette caractéristique de la mortalité.

    Alors, la nouvelle définition décrit une pandémie comme une infection simultanée présente dans plusieurs pays et portant un agent infectieux montrant toute nouvelle caractéristique,

    donc, nous laissant incapable de connaître le type d’immunité présent à l’intérieur de la population. Avec cette nouvelle définition et c’est toute une définition. Je la cite du ‘’British Medical Journal’’. Aussi, j’insiste que toute cette information que je vous donne ne provient pas de la presse alternative pour laquelle j’ai un grand respect, mais il est important de savoir que toute cette information provient de revues les plus prestigieuses et absolument ‘’main stream’’, comme il le dise en anglais, libre de toute suspicion d’être tendancieux. Donc, cette définition a été amendée en mai cette année. Si l’exigence de mortalité disparaît de la définition de la pandémie, comme je l’ai dit, alors nous devons nous demander à nous-mêmes, ce qui empêche la grippe commune annuelle d’être déclarée une pandémie? Et avec cette définition en place rien ne l’empêche.

    (…)

    Tout ce qui arrive actuellement qui semble être justifiable à cause de sa nature exceptionnelle s’il n’y avait rien d’exceptionnel à ce sujet, aussi cela serait la situation année après année, et cela est juste pour la grippe, pour ne pas mentionner les autres maladies avec les mêmes caractéristiques… N’est-il pas vrai que ce virus est moins létal, qu’il présente un taux de mortalité moindre que le virus annuel?

    (…)

    Aux États-Unis, par la déclaration de pandémie à cause du nouveau virus, ce même mois, les États-Unis déclarèrent l’urgence nationale de la santé publique (26-04-2009), qui a aussi des conséquences politiques. Cela a été possible aux États-Unis ou il y avait 20 cas d’infections et 0 mort. Avec 20 personnes infectées chacune d’elles documentées.

    (…)

    Il est important de savoir que la documentation n’est pas aussi solide (…) C ‘était en juin ou juillet, lorsque l’OMS a dit cesser de vérifier les tests de laboratoire pour savoir qui a la grippe ou ne l’a pas. En Grande-Bretagne, par exemple, ils l’ont fait par une consultation téléphonique ou la personne rapporte les symptômes de la grippe, alors ils notent la grippe porcine. Alors, lorsqu’ils disent qu’il y a 12 000, 13 000 cas… peu importe le nombre qu’ils disent maintenant, il est important d’être conscient de la façon qu’on utilise ces données. Encore une fois, ce sont des faits objectifs qui peuvent être vérifiés sur le site web officiel.

    L’OMS a dit en juillet qu’il n’y a aucun besoin de vérifier chaque cas en laboratoire, par conséquent, ils assumaient que chaque cas de grippe est un cas et dans certains pays

    (dans plusieurs ils ne font même pas cela) ils font des sondages… basés sur ‘’nous avons 100 et 50 cas de grippe, ainsi nous assumons que le reste c’est aussi cela’’, mais c’est un sondage ou une généralisation de données suffisantes au moins sur ceux que j’ai vus dans les livres…Ce sont des irrégularités.

    Maintenant, la troisième partie qui met l’accent sur les conséquences politiques d’une déclaration de pandémie. C’est simple, l’OMS est une organisation internationale qui normalement émet des recommandations. Les recommandations sont… Alors, on assume que chaque pays souverain applique ou non les recommandations en suivant ses propres critères, ses propres circonstances, et bien, ses propres recherches internes.

    En 2005, cela a changé en permettant une exception précisément dans le cas d’une pandémie, cela signifie que dans le cas de pandémie l’OMS ne fait pas de recommandations, elle donne des ordres. Cela signifie que les pays contre, cela est un fait vérifiable et objectif, dans le cas d’une pandémie, les pays (…) par conséquent avec la définition actuelle, le titre demeure le même, pandémie globale, mais le contenu a totalement changé, parce que le taux significatif de mortalité n’existe plus, mais les conséquences politiques demeurent à cause de l’entente. Il y a la loi qui dit ‘’en cas d’une pandémie… ou les règles internes ou les règlements de l’OMS avec leurs traités et accords avec les pays membres. Ainsi, à partir de 2005 lorsqu’il fait face à une pandémie l’OMS ne recommande pas, mais ordonne aux pays membres des actions à entreprendre. C’est pourquoi nous entendons de la part des autorités en Catalogne et dans toute l’Espagne ‘’nous attendons les recommandations de l’OMS…’’ Peut-être que c’est une façon de parler … mais ce n’est pas juste ce qu’ils attendent d’eux parce qu’ils pensent que c’est la bonne chose à faire (…) à partir du moment que c’est émis. Bien, vous pouvez demander … et quelle chose de terrible peut arriver? Bien, … la vaccination obligatoire, c’est le point le plus important pour moi. C’est très important de répandre cette information même si la vaccination est offerte sur une base volontaire, le grand nombre de personnes qui connaissent les circonstances entourant ce vaccin et tous les faits que nous présentons le mieux possible, afin que chacun de nous puisse prendre une décision informée.

    Le point que nous allons discuter maintenant est légèrement différent. C’est une possibilité réelle que ce vaccin ait été émis, ou distribué, ou annoncé, comme un vaccin obligatoire. Et, comment peut-il être possible que je sois forcé d’avoir ou d’accepter un vaccin que je ne désire pas avoir? Bien, le raisonnement est très clair… Si nous sommes dans une situation de pandémie globale, même si le cas actuel ne la qualifie pas, il semble qu’il y a un risque que si une personne ne prend pas le vaccin cela peut mettre la santé des autres personnes à risque. Par conséquent, les pays sont obligés de s’assurer que la loi soit suivie. Si c’est la loi, qu’est-ce que cela signifie? Bien, la même chose habituelle : l’amende ou la prison. Parlant d’amende, il semble qu’au Massachusetts un document a déjà été émis publiquement en préparation d’une possible vaccination obligatoire. Si ce fut le cas, une amende serait de 1000 $ par jour ou pourrait atteindre 1000 $ par jour. Ainsi, la chose fonctionne de cette façon, vous dites ‘’OK, ok, alors voyez, 1000 $ quotidiennement pour le service civil, pour chaque jour que vous n’êtes pas vacciné, c’est ainsi! Il y a les autres choses qui arrivent dès maintenant, mais cela sans la loi générale de nature obligatoire. Il y a des compagnies qui disent à leurs travailleurs, ‘’Si vous ne prenez pas le vaccin, je vous mets à pied.’’ Il y a des poursuites ouvertes dans différents pays, aux États-Unis, au Royaume-Unis, en France, parce qu’il y a des gens qui ont déjà affronté ce dilemme, et qui ont essayé de refuser et, dans certains cas dans les compagnies privées, ou il n’y a pas de convention collective de travail, aux États-Unis, cela a déjà provoqué les gens à perdre leur emploi pour avoir refusé le vaccin. Et vous dites : ‘’Mais il n’y a pas encore le vaccin.’’ Pas encore, mais celui qui est déjà en distribution, parce que ici au monastère, nous l’avons déjà eu, et il existe déjà, c’est celui pour la grippe saisonnière. Cela a été apporté plus tôt, parce que l’OMS a recommandé de donner le saisonnier et puis, dans la plupart des cas, en deux dose celui de la nouvelle grippe. (…)

    Alors, qu’est-ce qui peut arriver à une personne qui refuse de prendre ce vaccin? Si le vaccin n’est pas obligatoire et maintenant n’est dans aucun pays, alors rien n’arrive. Vous dites non et vous signez un document si nécessaire, et la même chose pour vos enfants, ils ne le reçoivent pas et il n’y a pas de problème. Si le vaccin était obligatoire, comme je l’ai dit, l’amende ou la prison, comme cela doit être fait dans un pays, si c’est la loi, elle doit être suivie, si elle ne l’est pas ce serait une farce. Voyant affronter cela…, quotidiennement une amende de 1000 $ ou affronter une possibilité d’une sentence de prison, quelqu’un pourrait dire ‘’n’exagérons pas, je reçois un vaccin chaque année, ou mon père l’a reçu, ou je connais des gens qui l’ont reçu, aussi nous l’avons simplement reçu cette année et c’est correct d’envisager un désastre. Ils font de l’argent comme toujours comme c’est arrivé avec le papillome. Mais que puis-je dire, ‘’je ne vais pas payer 1000 $ par jour ou je ne vais pas risquer d’aller en prison.’’ Face à cette réponse possible, il est important de connaître les trois facteurs qui rendent le vaccin de la grippe porcine, de cette grippe annuelle, différent de chaque vaccin annuel. Je veux dire cet argument que c’est la même chose que chaque vaccin annuel, mais cette fois c’est pour le virus de la grippe porcine. Bien, alors nous le prenons, nous avons été fourvoyés encore une fois, par les politiciens ou qui que ce soit, mais ce ne va pas être la dernière fois. Ce vaccin a trois nouveautés en contraste avec le vaccin annuel de chaque année.

    Pourquoi ce vaccin ne sera pas être le même chaque année? La première nouveauté, parce que l’OMS recommande à la plupart des pharmacies qui produisent le vaccin, de le donner en deux doses. Personne n’a déjà entendu dire avant que les vaccins de la grippe viennent en deux doses. (…) Normalement il est donné en une fois et c’est fini… (…) L’OMS a déjà recommandé, de fait que la livraison du vaccin est déjà faite dans les maisons de personnes âgées, les monastères et d’autres places, ainsi, tous prennent le vaccin pour le virus saisonnier. Si les recommandations de l’OMS sont suivies cette année, ceux qui les suivent vont finir par recevoir trois vaccins de la grippe, la saisonnière, la première dose pour la grippe porcine. J’ai entendu dire que certains laboratoires le produisent avec une dose, mais la plupart ont annoncé qu’il sera en deux doses. Toutefois, le saisonnier, qui est déjà disponible ce mois-ci (octobre), la première pour la grippe porcine et la deuxième dose. De cette façon, théoriquement c’est multiplié par trois, et les vaccins ont des effets secondaires, mais c’est seulement théorique. En pratique, personne ne sait ce qui peut arriver, parce que cela ne s’est jamais produit avant. (…) Trois vaccins avec des virus vivants de la grippe et de différents types, l’un après l’autre, au milieu d’une supposée pandémie ou saison de grippe. C’est la première nouveauté, …

    La deuxième nouveauté, cela a affaire avec les co-adjuvants. Cela a été dénoncé par l’Union française du travail des infirmières. (Ce syndicat) a publié un document qui peut aussi être vérifié ou ils parlent de la compagnie Glaxo Smith Kline, l’une des pharmacies qui produisent le vaccin. En fait, elle est responsable de la recherche avec des enfants qui a été faite en Espagne; le pays pionnier dans le monde qui a accepté que des enfants, je pense, âgés de 6 mois à 17 ans, testent un vaccin expérimental, et alors voir ce que peuvent être les effets secondaires, ou quel point ils ont atteint. C’est cette compagnie qui fait la promotion de cette recherche. Cette compagnie utilise un co-adjuvant qui n’a jamais été utilisé avant dans les vaccins de la grippe. Et cela, de différentes façons, toutes les compagnies qui produisent les vaccins de la grippe porcine ont annoncé qu’ils emploient ces sortes de co-adjuvants renforcés plutôt que les sortes normalement utilisées chaque année pour les vaccins de la grippe.

    Qu’est-ce qu’un co-adjuvant? Un co-adjuvant est une substance qui est généralement ajoutée au vaccin de la grippe. ‘’Ce qui est ajouté’’ signifie que l’objectif du co-adjuvant est de stimuler et d’exciter le système immunitaire pour produire une réponse plus élevée de la part du système immunitaire. Cela est principalement fait pour que le vaccin soit plus efficace, mais dans ce cas, les infirmières françaises ont dénoncé que ce co-adjuvant va le multiplier par dix. C’est l’intention des premières études de multiplier par dix fois la réponse du système immunitaire (..) L’excitation du système immunitaire d’une personne ainsi produit une réponse dix fois plus élevée que celui normal et commun. Ce co-adjuvant paraît mélanger le polysorbate avec l’excipient, ou le co-adjuvant squalène, lequel est le même (que celui) utilisé contre l’anthrax et qui fut donné aux soldats lors de la guerre du Golfe. Et, il y a plusieurs études qui prouvent qu’il y a de sérieux effets secondaires au niveau du système neurologique central, la paralysie et l’arthrite, c’est le squalène, ce nouveau co-adjuvant est ainsi la deuxième nouveauté.

    Il y a aussi des co-adjuvants encore non testés, et les compagnies pharmaceutiques justifient cela précisément parce qu’on leur demande d’en produire des milliers et des millions, en fait des milliards, 4,6 milliards de doses de ce vaccin. C’est ce qui a été prévu pour vacciner la population entière. Les pays riches et ces pharmacies ont déjà annoncé qu’ils feront parvenir des dons de milliers de doses aux pays du tiers monde qui ne peuvent les payer. Ainsi, le plan est de vacciner la totalité de la population. Bien, dans ces circonstances de production, certaines compagnies pharmaceutiques justifient l’utilisation de co-adjuvants, encore non testées, ainsi ils peuvent utiliser moins d’antigènes. - Ils sauvent. Ils peuvent sauver l’antigène dans chaque dose injectée du vaccin, moins d’antigènes et plus de co-adjuvant. Ce qui signifie moins d’excitation du système immunitaire naturel et plus d’excitation artificielle afin de compenser le manque d’antigène pour produire les vaccins. C’est l’explication officielle.

    La chose est cette seconde nouveauté, le co-adjuvant n’est pas le même qu’à chaque année. Ainsi, personne ne sait à quel degré cette excitation artificielle du système immunitaire va causer des maladies auto-immunes. De fait, il y en a une, la paralysie évolutive de Guillain-Barré. Cela est connu ou associé à l’administration, par exemple, des vaccins de la grippe en 1976. À ce moment-là, cela affecta seulement les États-Unis, dans campagne similaire que nous vivons maintenant, aussi par les médias de masse et les politiciens. Cette campagne prit fin avec la vaccination de 40 millions de citoyens américains. Parmi ces 48 millions , il y a eu environ 3 000 plaintes pour la paralysie associée au syndrome de Guillain-Barré. Ainsi, cela fut accepté comme une conséquence. De fait, le CDC, Center for Disease Control and Prevention of the United States (www.cdc.gov) a déjà annoncé que c’est inévitable qu’il y aura des cas de paralysie si la population entière reçoit le vaccin, mais en dépit de cela, ils iront de l’avant. Alors, j’insiste, nous devons toujours garder en tête, que ce virus de la grippe est plus bénin que le virus habituel. Alors, si je vérifie les pour et les contre, et c’est ce que les infirmières françaises font avec leur document, la possibilité de passer quelques jours à la maison avec la grippe, comme à chaque année, en fait moins qu’à chaque année, ou la possibilité de souffrir d’une paralysie progressive, dont pour certains cas les gens s’en remettent, mais pour plusieurs cas ils ne s’en remettent pas, ça peut mener à la mort. Alors, au moins, cette information doit rejoindre chacun d’entre-vous, de façon que tous prennent leur responsabilité.

    Et la dernière nouveauté, la troisième nouveauté au sujet du vaccin de chaque année… c’est que les compagnies pharmaceutiques, parce que cela leur aurait prétendument été demandé, font cet extraordinaire effort pour produire une telle quantité de doses en un temps record. Ils forcent les ententes, et aux États-Unis, c’est officiel qu’une telle entente a été signée, les ententes qui les absolvent de toute responsabilité légale dans le cas ou le vaccin occasionnerait des effets secondaires non désirables ou encore s’il causerait la mort.

    Aux États-Unis, la secrétaire de la santé, Sebelius, a signé un document qui donne l’impunité, l’impunité politique, il ne sera pas possible de demander des compensations pour leurs responsabilités, ni des politiciens, ni des compagnies pharmaceutiques impliqués. C’est la troisième nouveauté que je pense très significative. L’argent ne peut acheter la santé ou la vie, mais si la compagnie pharmaceutique ou la personne responsable n’est (…) pas prête à compenser financièrement, à avoir une avalanche de plaintes. Si la personne responsable s’assure, avec des documents publics objectifs, clairs et vérifiables, qu’il ne sera pas possible d’intenter une poursuite contre eux, il prend de nous une garantie que ce vaccin n’aura pas d’effets secondaires non désirables. Comme réflexion, j’ai tenté de résumer ce que j’ai dit jusqu’à maintenant si ce qui est arrivé avec Baxter et ces vaccins contaminés, qui est prouvé être vrai et ils furent contaminés, nous ne savons pas pourquoi ni comment ils furent contaminés, mais ils furent contaminés, c’est certain. Si cette contamination n’avait pas été découverte par hasard, et cela le fut en février 2009, aujourd’hui nous aurions la pandémie, cette terrible pandémie qu’ils ont annoncée sans base réelle. Ils ont parlé au sujet de cette pandémie sans base réelle ou objective. Si, en février, cela n’avait pas été découvert par hasard par ce chercheur tchèque ou technicien de laboratoire qui a procédé à ce test qu’il n’avait pas à faire, aujourd’hui nous aurions eu cette pandémie qui a été annoncée.

    Alors, sachant cela et ayant à l’esprit la législation courante de l’OMS, et les irrégularités, par exemple, comment est-ce possible que, ce qui est arrivé en février, n’a pas été discuté dans la presse internationale? Comment est-ce possible que les politiciens n’aient pas parlé de cela? Cela n’a eu aucun impact politique ou médiatique. Nous devrions nous demander, à nous-mêmes, comment tout cela est possible?

    En gardant cela à l’esprit et en gardant à l’esprit que la pandémie aurait eu lieu si cela n’avait pas été découvert par hasard. Je crois qu’il est très important d’établir que la menace réelle que ces vaccins, qui arriveront très bientôt, sont contaminés, peuvent être contaminés, et qu’une législation coercitive pourrait être imposée lorsque, en dépit du fait qu’ils peuvent être contaminés, une législation coercitive pourrait être imposée qui forcerait, par la loi, toute la population à se faire vacciner. Je pense que c’est un risque qui ne peut pas et ne doit pas être minimisé.

    D’aucune façon, ne paniquez pas, parce que la panique n’aide d’aucune façon, au contraire. Mais c’est qu’une chose de ne créer ou voir ou exprimer la panique et de ne pas diffuser ou partager l’information ou une réflexion, comme je le fais, ce qui peut être important comme nous avons encore le temps de susciter une réaction et c’est pourquoi je pense cette initiative si importante. Donc, juste ce risque ne doit pas être minimisé, aussi je ne peux certifier que les vaccins seront contaminés. Je n’en suis pas certaine. Je ne les ai pas fabriqués, ni analysés. Je ne pense pas que cela va être facile, non plus, d’accéder à ce vaccin de façon à l’analyser de façon indépendante. Si c’est possible, nous essaierons ou aiderons à le faire. Mais, je ne connais personne qui a été capable de le faire. Qu’est-ce qui arrive si plus de gens commencent à mourir maintenant? Ou ce qui fut annoncé, qu’une seconde vague s’en vient et qu’une mutation s’en vient? En ces conditions, il est très important de savoir que le virus de la grippe porcine n’a pas muté en 70 ans. Alors, comment est-il possible d’annoncer une mutation cette année alors que ce virus n’est pas reconnu pour avoir déjà muté en cette courte période de temps…? Je veux dire que durant 70 ans nous n’avons pas eu une grippe qui est venue en deux vagues avec différents virus. Alors, c’est encore une irrégularité. Mais assumons que plusieurs personnes commencent à mourir maintenant à cause de la grippe ou avec des symptômes compatibles, alors il sera encore plus important de refuser cette vaccination, cela pour deux raisons.

    Premièrement, parce que, si ce virus commence à donner une mortalité croissante, c’est parce qu’il n’est pas le même. C’est qu’il aura muté quoique c’est quelque chose qui ne s’accorde pas avec les récentes données. S’il a muté, le vaccin n’est plus utilisable. (…) c’est le pourquoi de la production d’un différent vaccin chaque année parce qu’il y a des mutations, nous devons produire un vaccin adapté à la nouvelle mutation. Aussi, si une importante partie de la population ne meurt pas, il n’est pas nécessaire de se faire vacciner, parce que, comme je l’ai dit, le risque est très élevé, le risque est plus grand que le bénéfice. Si nous commençons à voir un haut taux de mortalité causé par cette grippe ou à cause de symptômes compatibles, alors, cette surprise pourrait être seulement due à deux raisons. La première est que le virus a muté, donc le vaccin n’est pas bon. Ou la seconde, c’est un autre virus ou d’autres virus, et par conséquent le vaccin n’est pas bon non plus, et ce pourrait même être le vaccin lui-même le moyen de transmission de ces nouveaux virus, selon ce qui est arrivé avec Baxter en février. C’est là ou mes réflexions m’ont dirigée.

    Et maintenant, j’aimerais conclure avec une proposition . La proposition est très claire. D’une part, restez calme, c’est fondamental. Pour restez calme, prenez les précautions habituelles pour ne pas vous infecter, des précautions du sens commun et ne vous faites pas vacciner. Ne vous faites pas vacciner cette année parce qu’il y a toutes ces circonstances. C’est ma recommandation, mais aussi la recommandation de plusieurs personnes de ‘’seny’’ en catalonais - Du sens commun, - Du sens commun. Il y a plusieurs personnes qui pensent ainsi, plusieurs médecins, une association entière, les unions d’infirmières, etc., etc. C’est la première partie, mais nous avons la deuxième partie que nous ne pouvons avoir entendue si souvent…

    (…)

    Parce que la semaine dernière, en Catalogne, j’ai débuté une initiative appelée Catalunya Religio (.cat). C’est un site web (…) il vient juste de débuter. Mais on m’a invité d’y collaborer un peu. Aussi, cette semaine, je vais télécharger sur le serveur le lien du document dont j’ai parlé. Je vais aussi vous donner ce document aussi, je pense qu’il va être accessible… Aussi, je lance l’appel sur ce document, et maintenant à partir de cette plate-forme visuelle, j’appelle d’urgence à activer rapidement toutes les ressources citoyennes et les ressources légales afin d’éviter deux choses dans notre pays.

    La première, que personne dans ce pays ne peut forcer quelqu’un d’autre à se faire vacciner contre son gré. Et la deuxième, ceux qui, de leur propre volonté, désirent être vaccinés ne seront pas privés de leur droit d’exiger des responsabilités ou une compensation financière au cas ou le vaccin leur causerait une maladie sérieuse ou la mort.

    Une note personnelle, ce serait à propos cette partie des ‘’experts’’. De plus en plus, le monde semble tourner autour des experts, et qu’une personne qui n’est pas un docteur ou un docteur en santé public, ou qui n’a pas eu de qualifications, ou qui ne se considère pas elle-mêmes posséder assez de savoir pour, de façon critique, évaluer cette masse d’information qui nous arrive de partout, ça semble dur… à moins qu’il soit du journalisme d’enquête ou une personne qui a été préparée pendant plusieurs années pour le faire.

    Qu’est-ce qui arrive avec ceux qui sont actuellement des professionnels de la santé? Ce qu’ils ont, non pas comme moi, dans mon cas c’est différent, leur travail dépend d’eux agissant selon que la profession comme une entité dit de ne pas aller trop loin. C’’est réellement difficile.

    Si je pratique la médecine dans un hôpital comme je le fais durant plusieurs années, je ne sais pas si je vous parlerais ici et maintenant. Je sais que j’ai le savoir et l’éducation, mais mon travail, ma vie quotidienne et mon environnement ne dépendent pas de cela. Ma communauté médicale, à partir de Barcelone ou de mon pays, peut penser que ce que je dis est correct ou incorrect. C’est que je n’ai pas à ressentir cette peur, et je dis, c’est juste pointer une raison pour certains professionnels qui pensent de la même façon que moi, ou qui se posent eux-mêmes ces mêmes questions, mais disent ‘’si je ne suis pas 100% sûr, je ne prends pas le risque de poser ces questions.’’



    Transcription et traduction JGB
    http://www.incapabledesetaire.com/


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