• sources Alterinfo Mireille Delamarre Mercredi 12 Août 2009

    Des responsables tchèques des services de santé gouvernementaux ont refusé d'acheter le vaccin Baxter le jugeant à risques. En France, le vaccin Baxter fait partie des 4 vaccins choisis contre la prétendue pandémie de grippe porcine. Pourtant, ce vaccin n'a pas encore reçu l'autorisation de mise sur le marché (AMM) de l'EMEA (European Medecine Agency).

    D
    es responsables du secteur santé admettent que des injections rapprochées pourraient provoquer des décès.

    Des responsables des services de santé gouvernementaux de la République Tchèque ont refusé d'acheter les vaccins H1N1 contre la grippe porcine du laboratoire pharmaceutique US Baxter International expliquant ce refus par les inquiétudes suscitées par les risques encourus.

    Selon une dépêche de l'agence de presse tchèque, CTK, l'une des plus grandes agences en langue anglaise du pays, le ministère de la santé tchèque a arrêté les discussions avec Baxter citant " l'incapacité du laboratoire à garantir que le vaccin est sans danger et de dire à qui incombe la prise en charge des risques de possibles effets secondaires "

    Le pays projette d'acheter des vaccins pour couvrir 25% de sa population (10 millions de Tchèques) mais a dit qu'il n'achèterait pas le vaccin contre la grippe porcine Baxter avant qu'il n'ait été homologué en Europe.


    "C'est dommage, mais malheureusement au moment ou nous avons reçu les offres, Baxter a été incapable de confirmer qu'il livrerait un vaccin homologué" a dit la ministre de la santé, Dana Juraskova.

    A la place, le pays va probablement acheter ses vaccins chez Novartis et GlaxoSmithKline, mais seulement après que les vaccins aient subi les tests cliniques habituels et aient obtenu l'autorisation de mise sur le marché de l'EMEA.

    Dans une autre dépêche de CTK, le vice ministre de la santé, Marek Snajdr, a été cité disant que le vaccin " pourrait avoir des effets secondaires et qu'il pourrait même causer la mort si administré".

    Dans le pays, les cas confirmés de personnes atteintes du virus H1N1 restent en dessous de 150 selon toutes les estimations faites, et personne n'est décédé à cause du virus.

    Comme il a déjà été fait mention dans un article précédent, Baxter a un lien très récent et particulièrement troublant avec des vaccins contre la grippe en République Tchèque.

    En Mars dernier de multiples sources d'information, dont le Times d'Inde, ont rapporté que des vaccins contaminés avec le virus vivant de la grippe aviaire H5N1, mortel, ont été distribués à 18 pays en Décembre 2008, par un laboratoire de la branche autrichienne de Baxter.

    Ce n'est que par hasard qu'un lot a d'abord été testé sur des furets en République Tchèque avant que le vaccin ne soit utilisé sur des humains. Tous les furets sont morts et la découverte choquante rendue publique.

    Les journaux tchèques se sont immédiatement posés la question de savoir si cet évènement ne faisait pas partie d'une conspiration pour délibérément provoquer une pandémie, faisant écho à des accusations déjà portées par des responsables de la santé dans plusieurs autres pays.

    D'abord, Baxter a tenté de courcircuiter les questions en invoquant le " secret commercial" et a refusé de révéler comment les vaccins avaient été contaminés avec le virus H5N1. De plus en plus pressés de s'expliquer, ils ont alors affirmé que les lots de H5N1 ont été envoyés par erreur.

    Alors même que la possibilité de mélanger par accident un virus vivant constituant une arme biologique avec du matériel viral est pratiquement impossible, il ne reste que l'explication comme quoi la contamination était une tentative délibérée d'utiliser le virus H5N1 comme arme biologique à des fins extrêmes et de le distribuer via les vaccins anti grippaux habituels aux populations qui ensuite infecteraient d'autres populations dans des proportions dévastatrices car la maladie se répand par voie aérienne.

    Le fait que Baxter ait mélangé le virus mortel H5N1 avec un mélange de virus de la grippe saisonnière H3N2 est un signal d'alarme. Le virus H5N1 à lui seul a tué des centaines de personnes, mais il se déplace moins par voie aérienne et est plus limité dans son aisance à se répandre. Cependant, lorsqu'il est mélangé avec des virus grippaux saisonniers, qui comme chacun le sait se répandent facilement par voie aérienne, l'effet donne une arme biologique pouvant potentiellement se répandre super rapidement par voie aérienne et super mortelle.

    En fait, certains ont déjà suggéré que l'actuelle peur de la grippe porcine pourrait signalé l'utilisation d'une telle arme.

    Par ailleurs, des poursuites judiciaires ont été engagées contre Baxter l'accusant d'avoir intentionnellement utilisé des composants dangereux et non testés dans certains de ces vaccins pour augmenter ses profits.

    Des responsables de l'OMS contrôlent de près les enquêtes en cours sur les vaccins contaminés de Baxter, mais malgré cela, ce laboratoire est en tête de la production de vaccins contre la grippe porcine dont la vaccination pourrait devenir obligatoire. En fait, Baxter s'est montré particulièrement prévoyant en déposant un brevet * pour son vaccin contre la grippe porcine exactement un an avant que le virus ne se répande.

    Le laboratoire a annoncé la semaine dernière qu'il avait achevé la production de ces premiers lots commercialisables de vaccins N1N1 fin Juillet et qu'il est actuellement en pourparlers avec des responsables de santé publique nationale partout dans le monde. La multinationale a déposer une demande de licence pour le vaccin auprès de l'EMEA mais celle-ci ne l'a pas encore approuvé.

    Baxter a dit qu'il fournirait environ 80 millions de doses à 40 millions de personnes dans 5 pays dont la Grande Bretagne, l'Irlande, et la Nouvelle Zélande ( et la France ndlt).

    En plus des dispositions prises par des organismes de contrôle en Europe et aux US prévoyant d'accorder une autorisation de mise sur le marché rapide pour les vaccins contre la grippe porcine, des nouvelles dispositions ont été prises pour protéger les laboratoires pharmaceutiques de poursuites judiciaires.

    Selon une dépêche de l'AP du mois dernier, " les fabricants de vaccins et les responsables fédéraux ne pourront être poursuivis pour les conséquences des vaccins contre la grippe porcine" d'après un document signé par la secrétaire à la santé et aux services à la personne Kathleen Sebelius.

    La campagne de vaccination en masse commencera probablement fin Novembre et début Décembre. Selon ce qui a déjà été rapporté, des responsables de la santé en Grande Bretagne et aux Etats Unis prévoient de créer un dispensaire dans chaque école dans les deux pays.

    Steve Watson - 10/08/09 www.infowars.net

    * Brevet US 2009/0060950 A1 dont la demande de brevet stipule et précise que « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ...des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile." En l’absence de toute responsabilité juridique comme stipulé dans l'article, BAXTER s'apprête donc à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium.

    Information complémentaire

    En France, la Sarkozie/Bachelot a décidé de passer une commande ferme de 100 millions de doses de vaccins pour un coût estimé à 700 millions d'euros auprès de 4 laboratoires sélectionnés par deux départements du ministère de la Santé : l’Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (l’Eprus, la centrale d’achat du ministère) et la Direction générale de la santé (DGS). Quatre laboratoires ont été sélectionnés : Sanofi, GSK, Novartis, Baxter parce que, selon l’Eprus, « ils étaient les seuls capables de produire des vaccins en grande quantité et à pouvoir les livrer rapidement ». Autrement dit afin d'obtenir les vaccins dans les meilleurs délais, et au prix le plus bas selon Thierry Coudert, le patron de l’Eprus qui a affirmé que « les pouvoirs publics font le maximum pour avoir les prix les plus bas" la ministre de la santé, Roseline Bachelot, est prête à sacrifier le principe de précaution en matière de vaccination qui veut que les vaccins doivent être scrupuleusement testés cliniquement avant d'être utilisés.

    Comme le montre l'article ci dessus, pour les vaccins Baxter ce n'est pas le cas, ce laboratoire a des antécédents suspects. Bachelot est aussi, semble-t-il, prête à engager sa responsabilité - car s'il arrive quoi que ce soit dans l'utilisation de vaccins insuffisamment testés elle sera tenue pour responsable - pour que l'industrie pharmaceutique dont elle est proche de par sa profession, étant elle-même pharmacienne, fasse un maximum de profits. Les laboratoires pharmaceutiques ont tout intérêt à obtenir des gouvernements les plus grosses commandes car l’enjeu financier est considérable. Un laboratoire qui vend 50 millions de doses, pourra espérer une recette d’environ 350 millions d’euros. Baxter a prévu de fournir 80 millions de doses à 5 pays dont la France, et pour faire un maximum de profits n'est pas trop regardant.

    Le ministère de la santé sous la direction de Roselyne Bachelot, en prévoyant l'achat de 100 millions de doses, envisage de vacciner deux fois les français, pour "une garantie supérieure d'efficacité" selon son ministère.

    Autrement dit si vous ne décédez pas ou ne restez pas handicapé à vie, victimes des effets secondaires de vaccins insuffisamment testés suite à la première injection, Roseline Bachelot vous offre une deuxième chance..... grâce à une deuxième injection.

    Une campagne internationale a été lancée contre ces vaccinations à risque. Plus d'information et des coordonnées pour y participer en pièce jointe en pdf. Merci de faire circuler cette information le plus largement possible



    PS: Si les vaccins Baxter sont à risque cela ne veut pas dire que les autres vaccins ne le sont pas. La précipitation pour obtenir les autorisations de mise sur le marché de vaccins insuffisamment testés est le fait de tous les laboratoires, et la recherche d'un maximum de profits aussi.

    http://www.planetenonviolence.org/ 


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  • source : solidarité et progres

     

    11 août 2009 (LPAC) — Hier, Lyndon LaRouche a fait la déclaration suivante sur la situation quasi-insurrectionelle aux Etats-Unis :

    "Ce qui vient d’arriver ici ce dernier week-end rappelle aux historiens les mois de juin et juillet 1789 de la Révolution française. C’était le moment où le roi et la reine, se dérobant face à leurs responsabilités, avaient fait appel à des armées étrangères pour assiéger Paris. En même temps, le duc d’Orléans organisait la prise de la Bastille.

    Ainsi, pendant cette période, personne parmi les responsables, ni le Roi, ni le Parlement, ni aucun autre pouvoir, tenait le gouvernail.

    La situation de ce week-end dernier, à partir de vendredi, était identique à celle-là. Nous sommes dans une situation où le président des Etats-Unis fuit devant toute confrontation directe avec le peuple américain. Les membres du Congrès se trouvent essentiellement dans le même type de posture incompétente. En d’autres termes, nous sommes dans une situation où le pouvoir de gouvernement – l’aptitude à se gouverner – des Etats-Unis a été détruit par l’action de ce président et de ses dupes au sein du Congrès.

    Si ceci ne vous fait pas peur, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas en vous. Et dans cette période, ce qui m’incombe, c’est d’agir en fonction de cette situation. Je dois exprimer un sens de leadership et de direction, pour inspirer la nation, car je sais que l’institution présidentielle ne fonctionne pas comme elle le devrait ; et le Congrès non plus. Se pose alors la question : qui fonctionne ?

    Ceci est une crise, semblable à celle de la Révolution française, dans laquelle le vide politique, créé par l’absence de compétence de l’Exécutif – un Exécutif qui n’engendre que panique et stupidité ! – et aussi par l’absence de compétence des autres éléments du gouvernement, peut conduire aux plus tragiques conséquences."

    Vidéo (en anglais) : déclaration de Lyndon LaRouche sur la grève de masse aux Etats-Unis

     


    Article : pour le meilleurs ou pour le pire : situation révolutionnaire aux Etats-Unis (suite et pas fin).


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  • 11 août 2009 - 11:01

    source : solidarite et progres 

    10 août 2009 (LPAC) — La réforme de la santé d’Obama a été la goutte qui a fait déborder le vase. Dictée par la clique d’économistes comportementalistes nazis qui conseillent le président américain, elle vise à mettre la santé américaine sous la dictature d’un comité d’experts (Independant Medicare Advisory Commission ou IMAC) chargé de gérer à la baisse les dépenses et le rationnement des soins.

    Déjà frappé par l’éviction de sa maison et fragilisé par un chômage qui explose, le citoyen américain comprend intuitivement que cette réforme est une menace mortelle de plus pour sa vie et sa santé. Obama, pensent-ils est un danger et les membres du Congrès qui lui ont fait la courte échelle ne sont que des lavettes.

    Comme résultat, depuis le début du mois d’août des milliers de citoyens américains accourent comme un seul homme et en masse aux « town hall meetings », ces rencontres informelles organisées lors de la période estivale dans chaque circonscription entre les élus et leurs électeurs. Animés par « une rage rationnelle », ces citoyens y interpellent violemment les élus, qu’ils soient démocrates, républicains ou indépendant, nouveaux ou anciens, sur le droit à la santé pour tous et surtout la leur.

    Dépassés par cette contestation que Lyndon LaRouche estime inarrêtable et similaire au processus de « grève de masse » ou de nouveau « Pearl Harbor », les démocrates, qui savent très bien qu’ils sont contestés par leur propres rangs, tentent en vain de faire croire qu’il ne s’agit là que d’une meute organisée par quelques têtes brûlées isolées de l’ultra-droite conservatrice qui s’amuse à saboter d’une façon systématique et par des mises en scène tout débat « honnête ».

    Ce fut notamment l’explication un peu légère qu’a présentée sur la chaîne CNN la tête de la fraction démocrate au Sénat, Dick Durbin pendant l’émission State of the Union, parlant d’une « opposition orchestrée ».

    John King, l’animateur de l’émission, a fait voler brutalement en éclat cette interprétation des faits. King n’a pas hésité à interrompre le sénateur au milieu d’une phrase en disant : « Permettez-moi de vous demander quelque chose, permettez-moi de vous interrompre : Sénateur, y a-t-il quelque chose de mauvais à cela ? Ce pays a été fondé suite à tout une série d’évènements, y compris la Boston Tea Party* qui a eu lieu dans ma ville d’origine, où les gens s’étaient organisés et suivaient un plan préétabli. Ils avaient prévu d’aller à un endroit précis et de semer la pagaille (raise hell). Il y a-t-il quelque chose de mauvais à cela ? »

    Note :

    * La Boston Tea Party fut une révolte politique à Boston, la capitale de la Colonie de la baie du Massachusetts, contre le Parlement britannique en 1773. Contestant une taxe injuste à l’encontre des colonies américaines, soixante Bostoniens grimpèrent à bord de trois navires Britanniques costumés en Amérindiens et jetèrent 45 tonnes de thé par-dessus bord.


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  • Lundi 10 Août 2009

    source alterinfo

    Irina Feodora, une experte russe des questions internationales à l’Institut oriental de l’académie des Sciences de Russie évoquant les rapports de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) ainsi que les récentes déclarations du directeur de l'Agence centrale de renseignement, a déclaré que « le programme nucléaire iranien n’est pas de nature militaire et poursuit des buts uniquement pacifique ». 
    Madame Irina Feodora dimanche au cours d’un entretien exclusif avec notre correspondant a Moscou a précisé que les récentes déclarations du directeur de l'Agence centrale de renseignement affirmant que le programme nucléaire iranien ne cherche pas à disposer de l’arme nucléaire a prouve une fois de plus l’exactitude des positions de Téhéran. 

    Le directeur de l'Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency),, l'amiral Denis Blair, interrogé par la commission du sénat en février 2009 sur le programme nucléaire iranien et d’autres questions a annoncé en avril 2009 que les documents démontrant que l’Iran cherchait à obtenir l’arme nucléaire n’existent pas. 

    Ce haut responsable des renseignements américains dans son rapport a rejeté les allégations portant sur les efforts de l’Iran d’accéder à l’arme nucléaire soulignant que même si l’Iran cherche à accéder à l’arme nucléaire, il n’existe aucune preuve attestant de cette volonté iranienne et que techniquement cela ne serait pas possible avant 2013. 

    Madame Irina Feodora évoquant la position de la Russie face au programme iranien, a déclaré que le conseil de sécurité des Nations Unies doit remettre ce dossier auprès de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique et que le processus normal d’études doit s’appliquer également à ce dossier. 

    L’experte russe de conclure que le nouveau directeur de l’AIEA, qui est un diplomate actif devra s’atteler à résoudre le dossier nucléaire iranien.


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  • source: solidariteetprogres

    8 août 2009 (Nouvelle Solidarité) – Face à la colère des citoyens américains contre la politique de renflouements, le système de droits d’émission carbone et le projet de loi sur la réforme de la santé, les congressistes démocrates se retrouvent obligés de se dissocier de la Maison Blanche et de la présidente de la Chambre pour éviter le lynchage et espérer être réélus. Depuis le début des vacances parlementaires la semaine dernière, les élus américains participent aux traditionnels Town hall meetings où ils doivent rendre des comptes à leurs concitoyens. Dans tout le pays, la foule, républicaine comme démocrate, se rend massivement dans ces réunions pour crier son mécontentement.

    Jeudi, devant une assemblée de plus de 500 personnes en colère (il n’en attendait qu’une centaine), le député démocrate de New York, Eric Massa, a dû affirmer à plusieurs reprises qu’il avait tout fait pour ralentir le projet de loi sur la santé et qu’il avait voté contre Pelosi sur les droits d’émission carbone. De nombreux citoyens ont pris la parole pour demander la création d’une sécurité sociale universelle en lieu et place du projet de rationnement des soins et d’euthanasie. Eric Massa s’est même entendu dire « Dites à Nancy Pelosi que les Etats-Unis ne sont pas un pays de nazis ».
    Dans l’Alabama, les trois congressistes démocrates ont aussi dû répudier Obama et Pelosi, et affirmer publiquement qu’ils ne soutenaient pas le projet de loi sur la santé. Le député Parker Griffith a même été contraint de transformer sa conférence de presse en réunion publique après que 150 de ses concitoyens en colère aient pris la salle d’assaut.

    Le député démocrate progressiste John Conyers, président de la Commission judiciaire et promoteur du projet de sécurité sociale universelle, a déclaré la semaine dernière que la réforme de la santé était de la « foutaise ». Il a affirmé que l’attitude de Barack Obama était « mauvaise » et qu’elle lui coûterait politiquement très cher. Conyers a déploré l’influence du chef de cabinet de la Maison Blanche, Rahm Emanuel, qui « ne cherche qu’à réussir et est prêt pour cela à passer des accords sur tout et n’importe quoi » (rassurant lorsque l’on parle de la santé publique, a-t-il ajouté), alors que jadis le sénateur Obama soutenait le programme de sécurité sociale universelle. « Il n’y a pas plus déçu que moi au sujet de Barack Obama » a-t-il dit. Qu’il fasse voté un projet de loi « affaibli » ou qu’il échoue complètement, il sera perdant dans tous les cas, a expliqué en substance Conyers. « Nous devons le lui dire ou bien il ne fera qu’un seul mandat ».


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